Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mardi matin, profitant de l'intervention du chef de l'autorité monétaire de la région, ainsi que de l'espoir du maintien des aides de celle des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,18%, le CAC 40 français de 0,33%, et le DAX 30 allemand de 0,20%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet déclaré qu'une troisième série d'injections de liquidités au sein des établissements financiers de la région était envisageable au cas où la sauvegarde de l'économie régionale en dépendrait.
Ces propos survenaient après que les résultats du domaine secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique aient déçu, bien que le tertiaire ait marqué des points.
William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, a en effet déclaré hier qu'une "politique monétaire très assouplie" demeurait nécessaire pour soutenir l'économie américaine.
Il a ajouté, après avoir voté pour le statu quo la semaine passée, que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,05%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,73 et 0,11%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA sombrant de 0,07%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant au contraire 0,59 et 0,45%.
A Rome, l'opérateur téléphonique Telecom Italia bondissait de 1,86% après que son collègue Telefonica ait accepté de payer 324 millions d'euros pour renforcer depuis 46 vers 66% son emprise sur Telco SpA, qui en détient 22,4%.
A Londres, le FTSE 100 frémissait de 0,08%, profitant de la vigueur de ses établissements bancaires.
Lloyds Banking grimpait ainsi de 0,16% et la Royal Bank of Scotland de 0,31%, tandis que HSBC Holdings et Barclays se plaçant en pointe avec 0,42% et 0,53%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont cependant souffert, les mastodontes miniers Evraz et Glencore Xstrata fondant respectivement de 0,94 et 0,02%, leurs concurrents Polymetal et Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 1,02 et 1,57%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
L'institut Ifo pour la recherche économique s'apprêtaait à rendre aujourd'hui un rapport très attendu sur la confiance des entreprises germaniques, après quoi les Etats-Unis verront pour leur part leurs spécialistes de l'immobilier fournir leur mesure de l'évolution des prix des logements, qui précèdera un rapport sur l'humeur des ménages.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,18%, le CAC 40 français de 0,33%, et le DAX 30 allemand de 0,20%.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a en effet déclaré qu'une troisième série d'injections de liquidités au sein des établissements financiers de la région était envisageable au cas où la sauvegarde de l'économie régionale en dépendrait.
Ces propos survenaient après que les résultats du domaine secondaire du bloc ayant adopté la monnaie unique aient déçu, bien que le tertiaire ait marqué des points.
William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, a en effet déclaré hier qu'une "politique monétaire très assouplie" demeurait nécessaire pour soutenir l'économie américaine.
Il a ajouté, après avoir voté pour le statu quo la semaine passée, que tout ajustement du volume de ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs "devait trouver sa source dans des statistiques portant sur l'état réel de l'économie".
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,05%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient respectivement 0,73 et 0,11%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA sombrant de 0,07%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant au contraire 0,59 et 0,45%.
A Rome, l'opérateur téléphonique Telecom Italia bondissait de 1,86% après que son collègue Telefonica ait accepté de payer 324 millions d'euros pour renforcer depuis 46 vers 66% son emprise sur Telco SpA, qui en détient 22,4%.
A Londres, le FTSE 100 frémissait de 0,08%, profitant de la vigueur de ses établissements bancaires.
Lloyds Banking grimpait ainsi de 0,16% et la Royal Bank of Scotland de 0,31%, tandis que HSBC Holdings et Barclays se plaçant en pointe avec 0,42% et 0,53%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont cependant souffert, les mastodontes miniers Evraz et Glencore Xstrata fondant respectivement de 0,94 et 0,02%, leurs concurrents Polymetal et Randgold Resources n'étant pas à l'abri avec 1,02 et 1,57%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,09%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,17%.
L'institut Ifo pour la recherche économique s'apprêtaait à rendre aujourd'hui un rapport très attendu sur la confiance des entreprises germaniques, après quoi les Etats-Unis verront pour leur part leurs spécialistes de l'immobilier fournir leur mesure de l'évolution des prix des logements, qui précèdera un rapport sur l'humeur des ménages.