Investing.com - Les bourses européennes étaient dans une forme partagée ce vendredi matin, guettant la cascade de résultats du jour, et subissant le flou au sujet du moment où la banque centrale américains réduira l'ampleur de ses coups de pouce.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,35%, le CAC 40 français de 0,71%, et le DAX 30 allemand de 0,02%.
Les résultats peu glorieux publiés hier par les Etats-Unis ont en effet ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de leur banque centrale dès cette année.
L'autre côté de l'Atlantique a par contre profité des informations selon lesquelles le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,45%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,61 et 1,71%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,50 et 0,76%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,28 et 1,08%.
La compagnie aérienne Air France s'envolait de 1,95% avec l'annonce de bénéfices d'exploitation.
L'empire médiatique Vivendi faisait encore mieux avec 2,47% grâce à la vente pour 8,17 milliards d'USD de ses parts de l'éditeur de jeux vidéo Activision Blizzard.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,02%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,29 et 0,60%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,92%.
La City ne suivait quand à elle pas vraiment le chemin tracé sur le continent, Barclays se rétractant de 0,02%, Lloyds Banking de 0,39%, et la Royal Bank of Scotland de 1,91%, tandis que HSBC Holdings émergeait cependant de 0,53%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,08%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec les chiffres révisés du moral de leurs consomateurs établi par l'université du Michigan.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,35%, le CAC 40 français de 0,71%, et le DAX 30 allemand de 0,02%.
Les résultats peu glorieux publiés hier par les Etats-Unis ont en effet ravivé les inquiétudes au sujet d'un éventuel début de fermeture des vannes de leur banque centrale dès cette année.
L'autre côté de l'Atlantique a par contre profité des informations selon lesquelles le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,45%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,61 et 1,71%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,50 et 0,76%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,28 et 1,08%.
La compagnie aérienne Air France s'envolait de 1,95% avec l'annonce de bénéfices d'exploitation.
L'empire médiatique Vivendi faisait encore mieux avec 2,47% grâce à la vente pour 8,17 milliards d'USD de ses parts de l'éditeur de jeux vidéo Activision Blizzard.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, laissait échapper 0,02%, tiré vers le bas par des exploitants et des extracteurs en berne.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto s'enfonçaient de 0,29 et 0,60%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American partageant le même sort avec 0,92%.
La City ne suivait quand à elle pas vraiment le chemin tracé sur le continent, Barclays se rétractant de 0,02%, Lloyds Banking de 0,39%, et la Royal Bank of Scotland de 1,91%, tandis que HSBC Holdings émergeait cependant de 0,53%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,08%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec les chiffres révisés du moral de leurs consomateurs établi par l'université du Michigan.