Les Bourses européennes commencent généralement la semaine dans un certain attentisme, les opérateurs ne sachant trop sur quel pied danser avant de multiples rendez-vous. Francfort et Paris grappillent 0,1%, tandis que Londres recule symétriquement.
'L'actualité économique et financière sera encore très américaine cette semaine', souligne Aurel BGC qui met en avant les résultats de Facebook (NASDAQ:FB) et d'Apple (NASDAQ:AAPL), derniers 'poids lourds' du secteur technologique, ainsi que le rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis.
Cette statistique sera précédée mercredi par la réunion de la Fed, qui devrait selon toute vraisemblance maintenir ses taux inchangés, mais les opérateurs attendent surtout le choix par Donald Trump du prochain président de la Réserve fédérale, prévu avant le 3 novembre.
Enfin, la communauté financière devrait garder un oeil sur la Catalogne, la Bourse de Madrid (+2,4%) affichant d'ailleurs un net rebond ce lundi, au lendemain du succès des manifestations hostiles à la sécession de cette région espagnole.
'D'ici les élections du 21 décembre, les effets économiques de cette crise politique devraient rester relativement gérables, mais les risques sont clairement en train de s'accroître', analyse-t-on chez Capital Economics.
En attendant, l'indice ESI du sentiment économique a progressé en octobre, de 0,9 point à 114 dans la zone euro et de 1,1 point à 114,2 dans l'ensemble de l'Union Européenne, ses plus hauts niveaux depuis janvier 2001 et juin 2007 respectivement.
Du côté des valeurs, les opérateurs londoniens sanctionnent les résultats trimestriels de la banque HSBC (-1,6%), tandis que ceux de Paris délaissent EDF (PA:EDF) (-0,7%) après un abaissement d'objectifs annuels par l'électricien.
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'L'actualité économique et financière sera encore très américaine cette semaine', souligne Aurel BGC qui met en avant les résultats de Facebook (NASDAQ:FB) et d'Apple (NASDAQ:AAPL), derniers 'poids lourds' du secteur technologique, ainsi que le rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis.
Cette statistique sera précédée mercredi par la réunion de la Fed, qui devrait selon toute vraisemblance maintenir ses taux inchangés, mais les opérateurs attendent surtout le choix par Donald Trump du prochain président de la Réserve fédérale, prévu avant le 3 novembre.
Enfin, la communauté financière devrait garder un oeil sur la Catalogne, la Bourse de Madrid (+2,4%) affichant d'ailleurs un net rebond ce lundi, au lendemain du succès des manifestations hostiles à la sécession de cette région espagnole.
'D'ici les élections du 21 décembre, les effets économiques de cette crise politique devraient rester relativement gérables, mais les risques sont clairement en train de s'accroître', analyse-t-on chez Capital Economics.
En attendant, l'indice ESI du sentiment économique a progressé en octobre, de 0,9 point à 114 dans la zone euro et de 1,1 point à 114,2 dans l'ensemble de l'Union Européenne, ses plus hauts niveaux depuis janvier 2001 et juin 2007 respectivement.
Du côté des valeurs, les opérateurs londoniens sanctionnent les résultats trimestriels de la banque HSBC (-1,6%), tandis que ceux de Paris délaissent EDF (PA:EDF) (-0,7%) après un abaissement d'objectifs annuels par l'électricien.
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