Un biais négatif prévaut pour les indices actions européens à la suite de la conclusion de la réunion de politique monétaire de la Banque d'Angleterre : le FTSE de Londres stagne, mais le DAX de Francfort cède 0,1% et le CAC40 parisien 0,5%.
Comme attendu par le marché, la Banque d'Angleterre a maintenu son principal taux directeur à 0,25%, décision votée par sept voix contre une au sein du comité de politique monétaire, et laissé son programme de rachat d'actifs à 435 milliards de livres.
'Le rapport sur l'inflation confirme que le comité n'est pas pressé de relever ses taux, mais soutient notre vision qu'il pourrait commencer à durcir sa politique monétaire plus tôt que prévu par le marché', réagit-on chez Capital Economics.
Avant cette annonce, on notera que le Royaume Uni a vu son déficit commercial se creuser à 10,5 milliards de livres au premier trimestre en rythme séquentiel, tandis que sa production industrielle a augmenté de 0,1%.
Les opérateurs européens ont aussi pris connaissance, cet après-midi aux Etats-Unis, d'une hausse de 0,5% des prix à la production en avril, ainsi que d'un tassement des inscriptions aux allocations chômage de 2.000 à 236.000 la semaine dernière.
Sur le front des valeurs, ils réservent des accueils assez froids aux publications trimestrielles de KBC (-2,9% à Bruxelles), Telefonica (MC:TEF) (-3,6% à Madrid) et Deutsche Post (-3,7% à Francfort), mais acclament celle d'Unicredit (MI:CRDI) (+5,4% à Milan).
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Comme attendu par le marché, la Banque d'Angleterre a maintenu son principal taux directeur à 0,25%, décision votée par sept voix contre une au sein du comité de politique monétaire, et laissé son programme de rachat d'actifs à 435 milliards de livres.
'Le rapport sur l'inflation confirme que le comité n'est pas pressé de relever ses taux, mais soutient notre vision qu'il pourrait commencer à durcir sa politique monétaire plus tôt que prévu par le marché', réagit-on chez Capital Economics.
Avant cette annonce, on notera que le Royaume Uni a vu son déficit commercial se creuser à 10,5 milliards de livres au premier trimestre en rythme séquentiel, tandis que sa production industrielle a augmenté de 0,1%.
Les opérateurs européens ont aussi pris connaissance, cet après-midi aux Etats-Unis, d'une hausse de 0,5% des prix à la production en avril, ainsi que d'un tassement des inscriptions aux allocations chômage de 2.000 à 236.000 la semaine dernière.
Sur le front des valeurs, ils réservent des accueils assez froids aux publications trimestrielles de KBC (-2,9% à Bruxelles), Telefonica (MC:TEF) (-3,6% à Madrid) et Deutsche Post (-3,7% à Francfort), mais acclament celle d'Unicredit (MI:CRDI) (+5,4% à Milan).
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