Lundi, les analystes de Morgan Stanley ont décidé de maintenir leur évaluation sous-pondérée de l'action Carvana (CVNA), tout en augmentant leur objectif de cours à 75 dollars, contre 45 dollars précédemment. Cet ajustement implique qu'il existe un potentiel de diminution du prix de l'action de 40 % par rapport à sa valeur actuelle.
Au cours de l'année 2023, Carvana est passée d'une entreprise en difficulté financière à une entreprise qui améliore ses opérations, tout en restructurant ses obligations de dette, selon Morgan Stanley. La banque souligne qu'en 2024, Carvana devrait reprendre la croissance de ses revenus, avec une prévision d'augmentation de 16 % du nombre d'unités de vente au détail vendues au premier trimestre par rapport à la même période de l'année précédente, après une tendance de six trimestres de baisse des ventes.
Morgan Stanley note que l'évolution de Carvana vers une croissance rentable des revenus et un flux de trésorerie disponible positif a modifié la perception du marché à l'égard de l'entreprise, réduisant la probabilité d'émettre de nouvelles actions pour lever des capitaux et rendant l'action à nouveau attrayante pour les investisseurs intéressés par la croissance.
En évaluant la période pendant laquelle l'action de Carvana était évaluée à plus de 100 dollars par action, Morgan Stanley observe que l'entreprise a maintenant un profil de marge nettement amélioré par rapport à avril 2022.
Néanmoins, bien que la banque reconnaisse la majeure partie de l'augmentation récente de la capitalisation boursière de Carvana, elle estime que le ratio actuel du prix de l'action de la société par rapport à son chiffre d'affaires est quelque peu élevé, surtout si l'on tient compte des incertitudes économiques et des défis opérationnels auxquels Carvana est toujours confrontée.
Pour que Carvana atteigne l'objectif de cours optimiste de 180 dollars, Morgan Stanley affirme que la société doit démontrer une stratégie crédible pour atteindre un taux de croissance annuel composé du chiffre d'affaires de 25 % et des marges EBITDA (bénéfices avant intérêts, impôts, dépréciation et amortissement) à deux chiffres d'ici la fin de la décennie.
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