Wall Street limite la casse avec des écarts limités à -0,82% au maximum alors que la séance semblait très mal partie à 2 heures de la clôture puisque le Dow Jones reperdait -275Pts, le 'S&P' -1,1%, ce qui effaçait ses gains de la veille (le Dollar s'envolait à un moment vers 1,0460 contre Euro).
Cela s'est arrangé en fin de parcours et au final l'indice Dow Jones ne cède que 0,8% environ à 17.749 (-0,6% hebdo), le S&P-500 -0,61% (-0,9% hebdo) et le Nasdaq -0,44% (soit -1,1% hebdo).
Cette séance de vendredi restera marquée par la spectaculaire rechute de -4,5% du baril de pétrole vers 45$ sur le NYMEX avec la parution d'un rapport de l'AIE qui constate que la production de brut continue d'augmenter aux Etats Unis, malgré les surplus et la fermeture de puits jugés non rentables... mais le nombre de gisements mis en exploitation progresse plus vite encore.
Outre la lourdeur du secteur énergie, le repli des indices US parait logique compte tenu de la chute inattendue du baromètre de la confiance de l'Université of Michigan: c'est est une authentique déception avec -4,2Pts à 91,2 au lieu d'une progression anticipée de +0,5Pts.
Par ailleurs, les prix à la production chutent de -0,5% en février, ce qui est comparable aux replis observés en Europe sur la même période.
Ceci pourrait remettre en cause le calendrier du relèvement des taux de la Fed que le consensus situait en juin (l'économie US envoie de nombreux signaux négatifs comme on l'a vu jeudi s'agissant des ventes au détail.
On rappellera en effet que les ventes ont reculé de 0,6% le mois dernier après, déjà, une baisse de 0,8% en janvier, alors que le consensus tablait sur un rebond de l'ordre de 0,5%).
Outre les replis logiques de -2% d'Halliburton, de -1,5 de Nal Oilwell, de -1,35% d'Apache, le 'S&P' a été plombé par Google (NASDAQ:GOOGL) et General Electric (NYSE:GE) -1,5%, Netflix -2,2%, IBM (NYSE:IBM) -2,3%, Mattel et Priceline -2,4%.
Copyright (c) 2015 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Cela s'est arrangé en fin de parcours et au final l'indice Dow Jones ne cède que 0,8% environ à 17.749 (-0,6% hebdo), le S&P-500 -0,61% (-0,9% hebdo) et le Nasdaq -0,44% (soit -1,1% hebdo).
Cette séance de vendredi restera marquée par la spectaculaire rechute de -4,5% du baril de pétrole vers 45$ sur le NYMEX avec la parution d'un rapport de l'AIE qui constate que la production de brut continue d'augmenter aux Etats Unis, malgré les surplus et la fermeture de puits jugés non rentables... mais le nombre de gisements mis en exploitation progresse plus vite encore.
Outre la lourdeur du secteur énergie, le repli des indices US parait logique compte tenu de la chute inattendue du baromètre de la confiance de l'Université of Michigan: c'est est une authentique déception avec -4,2Pts à 91,2 au lieu d'une progression anticipée de +0,5Pts.
Par ailleurs, les prix à la production chutent de -0,5% en février, ce qui est comparable aux replis observés en Europe sur la même période.
Ceci pourrait remettre en cause le calendrier du relèvement des taux de la Fed que le consensus situait en juin (l'économie US envoie de nombreux signaux négatifs comme on l'a vu jeudi s'agissant des ventes au détail.
On rappellera en effet que les ventes ont reculé de 0,6% le mois dernier après, déjà, une baisse de 0,8% en janvier, alors que le consensus tablait sur un rebond de l'ordre de 0,5%).
Outre les replis logiques de -2% d'Halliburton, de -1,5 de Nal Oilwell, de -1,35% d'Apache, le 'S&P' a été plombé par Google (NASDAQ:GOOGL) et General Electric (NYSE:GE) -1,5%, Netflix -2,2%, IBM (NYSE:IBM) -2,3%, Mattel et Priceline -2,4%.
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