Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce mercredi matin, encuragées par la force du commerce extérieur chinois et les rumeurs persistantes, voire précipitées, de nouvelles baisses de taux européens.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,03%, le CAC 40 français de 0,36%, et le DAX 30 allemand de 0,05%.
Une étude officielle a en effet montré à l'aube que les exportations et les importations chinoises avaient davantage augmenté en avril que prévu, laissant entrevoir de bonnes perspectives de croissance.
Les premières ont ainsi bondi de 14,7% d'une année sur l'autre le mois dernier, et les secondes de 16,8%, amenant l'excédent mensuel de la balance commerciale du pays à 18,6 milliards d'USD au lieu des 15,05 milliards envisagés.
Les yeux étaient désormais tournés vers la prochaine initiative de la Banque Centrale Européenne, les espoirs de nouveaux rabotages s'étant emballés après que son président Mario Draghi ait déclaré lundi que celle-ci surveillerait tous les résultats économiques du bloc ayant adopté la monnaie unique au cours des semaines à venir et se tiendrait prête à agir de nouveau au besoin.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,32%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,22 et 2,32%.
La périphérie était cependant moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA décevant avec des faux pas de 0,01 et 0,66%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant par contre 0,79 et 0,92%.
Le fournisseur d'électrivité E.ON grimpait quand à lui de 0,80% après avoir revendiqué des revenus du premier trimestre dépassant les estimations, confirmant ses objectifs des rentrées annuelles.
Ce n'était pas la seule bonne nouvelle de cette ampleur, le Delhaize Group bondissant de 2,47% après avoir annoncé que son directeur général abandonnerait son poste cette année.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,14%, tiré vers le haut par ses exploitants, après qu'il ait aussi été montré que les prix des logements britanniques avaient davantage augmenté le mois dernier qu'envisagé.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto se renforçaient de 1,26 et 0,98%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 1,52%.
La City était au contraire majoritairement sur la défensive, Lloyds Banking trébuchant de 0,04%, HSBC Holdings de 0,39% et la Royal Bank of Scotland de 0,47%, tandis que Barclays émergeait pour sa part de 0,50%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt partagées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,04%, celles sur le S&P 500 laissant entrevoir une glissade de 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 à tablant sur un frémissement de 0,02%.
L'Allemagne comptait de son côté dévoiler aujourd'hui le volume de sa production industrielle.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,03%, le CAC 40 français de 0,36%, et le DAX 30 allemand de 0,05%.
Une étude officielle a en effet montré à l'aube que les exportations et les importations chinoises avaient davantage augmenté en avril que prévu, laissant entrevoir de bonnes perspectives de croissance.
Les premières ont ainsi bondi de 14,7% d'une année sur l'autre le mois dernier, et les secondes de 16,8%, amenant l'excédent mensuel de la balance commerciale du pays à 18,6 milliards d'USD au lieu des 15,05 milliards envisagés.
Les yeux étaient désormais tournés vers la prochaine initiative de la Banque Centrale Européenne, les espoirs de nouveaux rabotages s'étant emballés après que son président Mario Draghi ait déclaré lundi que celle-ci surveillerait tous les résultats économiques du bloc ayant adopté la monnaie unique au cours des semaines à venir et se tiendrait prête à agir de nouveau au besoin.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,32%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,22 et 2,32%.
La périphérie était cependant moins unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA décevant avec des faux pas de 0,01 et 0,66%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant par contre 0,79 et 0,92%.
Le fournisseur d'électrivité E.ON grimpait quand à lui de 0,80% après avoir revendiqué des revenus du premier trimestre dépassant les estimations, confirmant ses objectifs des rentrées annuelles.
Ce n'était pas la seule bonne nouvelle de cette ampleur, le Delhaize Group bondissant de 2,47% après avoir annoncé que son directeur général abandonnerait son poste cette année.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,14%, tiré vers le haut par ses exploitants, après qu'il ait aussi été montré que les prix des logements britanniques avaient davantage augmenté le mois dernier qu'envisagé.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto se renforçaient de 1,26 et 0,98%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 1,52%.
La City était au contraire majoritairement sur la défensive, Lloyds Banking trébuchant de 0,04%, HSBC Holdings de 0,39% et la Royal Bank of Scotland de 0,47%, tandis que Barclays émergeait pour sa part de 0,50%.
Les perspectives des marchés américains étaient plutôt partagées: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,04%, celles sur le S&P 500 laissant entrevoir une glissade de 0,02% et celles sur le Nasdaq 100 à tablant sur un frémissement de 0,02%.
L'Allemagne comptait de son côté dévoiler aujourd'hui le volume de sa production industrielle.