Investing.com - La livre sterling a contré ses pertes du matin face au dollar U.S. après que le procès-verbal de la dernière réunion de son émettrice ait montré que ses décideurs avaient opté unanimement pour le statu quo.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1,5079 jusqu'à 1,5244 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5195, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5043, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,5287, son plafond du 4 juillet.
Les membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre ont en effet opté pour l'absence de changements à son programme de rachats d'obligations totalisant 25 milliards de GBP, ainsi qu'à son taux directeur de 0,5% au cour de leur première réunion sous l'égide de Mark Carney, son nouveau gouverneur.
Les deux d'entre eux qui avaient auparavant voté pour davantage de coups de pouces les estimaient toujours "nécessaires".
Il était précisé: "Une augmentation du volume des acquisitions d'actifs demeurait un des moyens de mettre de l'huile dans les engrenages, mais d'autres options seront étudiés au cours du mois, et il semblerait plus raisonnable de ne pas prendre d'initiatives en attendant."
La banque centrale du Royaume-Uni avait aussi décidé de donner des indications sur les évolutions futures, affirmant que les taux de base avaient des chances d'être maintenus aux abords de leurs taux les plus bas de l'histoire, étant donné l'état de faiblesse de la relance nationale.
Une étude officielle a d'autre part montré que le nombre des demandeurs d'emploi du pays avait davantage diminué en juin qu'espéré, mais que le taux de chômage avait stagné.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi dénombré 21.200 inscrits de moins après ajustement saisonnier, au lieu des 8.000 pressentis.
Les 8.600 suppressions du mois précédent ont aussi été révisées jusqu'à 16.200.
Leur proportion n'avait alors pas non plus varié des 7,8% déjà constatés en avril, comme prévu.
Il ajouté que les revenus moyens s'étaient élevés de 1,7% en mai, au lieu des 1,4% anticipés après les 1,3% précédents.
L'avancée de la devise de la Grande-Bretagne demeurait limitée dans l'expectative pour cet après-midi de l'intervention semestrielle de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs sur le moment où débuterait une éventuelle diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Il répètera vraisemblablement qu'ils pourraient être réduits d'ici la fin de l'année en cas d'accélération de la relance, mais que les taux d'intérêt demeureront à leur plus bas niveaux historiques aussi loin que les projections puissent porter.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro et le yen, l'EUR/GBP reculant de 0,37% pour chuter à 0,8651 et le GBP/JPY dérapant de 0,88% pour glisser à 151,45.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés ainsi qu'avec celui des lancements de chantiers, tandis que la Fed diffusera son livre beige.
La paire GBP/USD est remontée depuis 1,5079 jusqu'à 1,5244 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1,5195, gagnant 0,26%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5043, son plancher d'hier, et de rencontrer de la résistance à 1,5287, son plafond du 4 juillet.
Les membres du conseil directeur de la Banque d'Angleterre ont en effet opté pour l'absence de changements à son programme de rachats d'obligations totalisant 25 milliards de GBP, ainsi qu'à son taux directeur de 0,5% au cour de leur première réunion sous l'égide de Mark Carney, son nouveau gouverneur.
Les deux d'entre eux qui avaient auparavant voté pour davantage de coups de pouces les estimaient toujours "nécessaires".
Il était précisé: "Une augmentation du volume des acquisitions d'actifs demeurait un des moyens de mettre de l'huile dans les engrenages, mais d'autres options seront étudiés au cours du mois, et il semblerait plus raisonnable de ne pas prendre d'initiatives en attendant."
La banque centrale du Royaume-Uni avait aussi décidé de donner des indications sur les évolutions futures, affirmant que les taux de base avaient des chances d'être maintenus aux abords de leurs taux les plus bas de l'histoire, étant donné l'état de faiblesse de la relance nationale.
Une étude officielle a d'autre part montré que le nombre des demandeurs d'emploi du pays avait davantage diminué en juin qu'espéré, mais que le taux de chômage avait stagné.
Le bureau britannique des statistiques a ainsi dénombré 21.200 inscrits de moins après ajustement saisonnier, au lieu des 8.000 pressentis.
Les 8.600 suppressions du mois précédent ont aussi été révisées jusqu'à 16.200.
Leur proportion n'avait alors pas non plus varié des 7,8% déjà constatés en avril, comme prévu.
Il ajouté que les revenus moyens s'étaient élevés de 1,7% en mai, au lieu des 1,4% anticipés après les 1,3% précédents.
L'avancée de la devise de la Grande-Bretagne demeurait limitée dans l'expectative pour cet après-midi de l'intervention semestrielle de Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, au sujet de sa politique monétaire, sur fond de rumeurs sur le moment où débuterait une éventuelle diminution de ses 85 milliards d'USD rachats mensuels.
Il répètera vraisemblablement qu'ils pourraient être réduits d'ici la fin de l'année en cas d'accélération de la relance, mais que les taux d'intérêt demeureront à leur plus bas niveaux historiques aussi loin que les projections puissent porter.
L'unité monétaire à l'effigie de la reine a par ailleurs gagné du terrain sur l'euro et le yen, l'EUR/GBP reculant de 0,37% pour chuter à 0,8651 et le GBP/JPY dérapant de 0,88% pour glisser à 151,45.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront accordés ainsi qu'avec celui des lancements de chantiers, tandis que la Fed diffusera son livre beige.