Investing.com - Les bourses européennes ont poursuivi leur offensive ce mercredi après-midi, encouragées par le niveau étonnamment haut de l'activité industrielle allemande et les rumeurs persistantes, voire précipitées, de nouvelles baisses des taux européens.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,43%, le CAC 40 français de 0,74%, et le DAX 30 allemand de 0,65%.
Une étude officielle a en effet révélé en fin de matinée que la production des usines germaniques avait réalisé un bond de 1,2% le mois dernier, le plus important des 12 mois écoulés, prenant à rebours les experts prévoyant une érosion de 0,1%, tandis que les 0,5% d'amélioration de février se voyaient revus à la hausse vers 0,6%.
Elle a cependant fondu en mars de 2,5% d'une année sur l'autre, mais la surprise reste bonne au vu des 3,8% redoutés.
Les yeux étaient désormais tournés vers la prochaine initiative de la Banque Centrale Européenne, les espoirs d'accommodements supplémentaires s'étant emballés après que son président Mario Draghi ait déclaré lundi que celle-ci surveillerait tous les résultats économiques du bloc ayant adopté la monnaie unique au cours des semaines à venir et se tiendrait prête à agir de nouveau au besoin.
La finance avait toutefois perdu le sourire, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank chutant respectivement de 4,60 et 0,75%, suivis du français BNP Paribas avec 0,33, tandis que son compatriote Société Générale bondissait par contre de 2,59% grâce à des entrées dépassant les espérances entre début janvier et fin mars.
La périphérie était elle aussi partagée, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant 0,07 et 1,16%, l'espagnol Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0,71% alors que son collègue BBVA trébuchait de 0,01%
Le fournisseur d'électricité E.ON grimpait quand à lui de 0,46% après avoir revendiqué des revenus du premier trimestre dépassant les estimations, confirmant ses objectifs des rentrées annuelles.
Ce n'était pas la seule bonne nouvelle de cette ampleur, le Delhaize Group s'envolant de 3,43% après avoir annoncé que son directeur général abandonnerait son poste cette année.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,21%, tiré vers le haut par ses exploitants, après qu'il ait aussi été montré que les prix des logements britanniques avaient davantage augmenté le mois dernier qu'envisagé.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto se renforçaient de 1,34 et 0,90%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 2,25%.
La City se reprenait quand à elle de son malaise matinal, Barclays empochant 0,48%, HSBC Holdings 0,57%, et Lloyds Banking 0,62%, tandis que la Royal Bank of Scotland décevait avec un faux pas de 0,64%.
Les perspectives des marchés américains par ailleurs modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,10%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.
Une étude officielle avait aussi montré à l'aube que les exportations et les importations de la Chine avaient davantage augmenté en avril que prévu, laissant entrevoir de bonnes perspectives de croissance pour la seconde économie mondiale.
Les premières ont ainsi bondi de 14,7% d'une année sur l'autre le mois dernier, et les secondes de 16,8%, amenant l'excédent mensuel de la balance commerciale du pays à 18,6 milliards d'USD au lieu des 15,05 milliards pressentis.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,43%, le CAC 40 français de 0,74%, et le DAX 30 allemand de 0,65%.
Une étude officielle a en effet révélé en fin de matinée que la production des usines germaniques avait réalisé un bond de 1,2% le mois dernier, le plus important des 12 mois écoulés, prenant à rebours les experts prévoyant une érosion de 0,1%, tandis que les 0,5% d'amélioration de février se voyaient revus à la hausse vers 0,6%.
Elle a cependant fondu en mars de 2,5% d'une année sur l'autre, mais la surprise reste bonne au vu des 3,8% redoutés.
Les yeux étaient désormais tournés vers la prochaine initiative de la Banque Centrale Européenne, les espoirs d'accommodements supplémentaires s'étant emballés après que son président Mario Draghi ait déclaré lundi que celle-ci surveillerait tous les résultats économiques du bloc ayant adopté la monnaie unique au cours des semaines à venir et se tiendrait prête à agir de nouveau au besoin.
La finance avait toutefois perdu le sourire, les allemands Commerzbank et Deutsche Bank chutant respectivement de 4,60 et 0,75%, suivis du français BNP Paribas avec 0,33, tandis que son compatriote Société Générale bondissait par contre de 2,59% grâce à des entrées dépassant les espérances entre début janvier et fin mars.
La périphérie était elle aussi partagée, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant 0,07 et 1,16%, l'espagnol Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0,71% alors que son collègue BBVA trébuchait de 0,01%
Le fournisseur d'électricité E.ON grimpait quand à lui de 0,46% après avoir revendiqué des revenus du premier trimestre dépassant les estimations, confirmant ses objectifs des rentrées annuelles.
Ce n'était pas la seule bonne nouvelle de cette ampleur, le Delhaize Group s'envolant de 3,43% après avoir annoncé que son directeur général abandonnerait son poste cette année.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0,21%, tiré vers le haut par ses exploitants, après qu'il ait aussi été montré que les prix des logements britanniques avaient davantage augmenté le mois dernier qu'envisagé.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto se renforçaient de 1,34 et 0,90%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American suivant le même chemin avec 2,25%.
La City se reprenait quand à elle de son malaise matinal, Barclays empochant 0,48%, HSBC Holdings 0,57%, et Lloyds Banking 0,62%, tandis que la Royal Bank of Scotland décevait avec un faux pas de 0,64%.
Les perspectives des marchés américains par ailleurs modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,10%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.
Une étude officielle avait aussi montré à l'aube que les exportations et les importations de la Chine avaient davantage augmenté en avril que prévu, laissant entrevoir de bonnes perspectives de croissance pour la seconde économie mondiale.
Les premières ont ainsi bondi de 14,7% d'une année sur l'autre le mois dernier, et les secondes de 16,8%, amenant l'excédent mensuel de la balance commerciale du pays à 18,6 milliards d'USD au lieu des 15,05 milliards pressentis.