Dans sa dernière analyse de marché, Sevens Report Research indique que les investisseurs devront tenir compte de deux facteurs clés en 2024.
L'entreprise suggère que les circonstances qui ont été bénéfiques pour les prix des actions en 2023, telles que la baisse des taux d'intérêt et les rapports sur les bénéfices des entreprises, pourraient avoir un impact neutre, voire négatif, en 2024.
Le premier point est que la baisse des taux d'intérêt ne soutiendra plus les prix des actions. Sevens est d'avis que le marché a déjà intégré les attentes d'une politique monétaire plus accommodante de la part de la Réserve fédérale dans les prix des actions, l'indice S&P 500 approchant les 4 800. "Le marché a anticipé six réductions des taux d'intérêt de la Réserve fédérale, avec l'espoir que le taux des fonds fédéraux soit inférieur à 4 % d'ici la fin de 2024", ont déclaré les analystes.
"Si le rendement des bons du Trésor américain à 10 ans continue de baisser jusqu'au bas de la fourchette de 3 %, voire en dessous de 3 %, cela n'aura pas pour effet de stimuler de manière significative les prix des actions. Au contraire, une telle baisse des rendements indiquerait une décélération de la croissance économique", ont précisé les analystes. "Par conséquent, des rendements plus faibles indiqueraient la probabilité d'un ralentissement économique plutôt qu'une évolution de la Réserve fédérale vers une politique plus accommodante."
Le deuxième facteur est que les rapports sur les bénéfices des entreprises seront examinés à la loupe sans l'indulgence accordée par des attentes faibles.
"Les prévisions générales pour les bénéfices du S&P 500 sont une augmentation de près de 10 % par rapport à l'année précédente, ce qui est nettement plus élevé que l'augmentation annuelle moyenne à long terme, qui est d'environ 5 %. Étant donné que l'indice S&P 500 est valorisé à plus de 19,5 fois les bénéfices prévus de 245 dollars par action, la tolérance à l'égard de toute déception en matière de bénéfices est limitée", ont fait remarquer les analystes. "En fait, des bénéfices simplement satisfaisants ne seront pas considérés comme suffisants, comme le montrent les chiffres du troisième trimestre.
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