Investing.com - Les bourses européennes ont consolidé leur avance ce jeudi après-midi, les yeux braqués sur des résultats économiques américains cruciaux, malgré la pression des inquiétudes au sujet de la gestion des problèmes de surendettement de l'Espagne et de la Grèce.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.73%, le CAC 40 français de 0.69% aussi, et le DAX 30 allemand de 0.7%.
La circonspection restait à l'ordre du jour, sur fond d'incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Mais le soulagement avait été général après que des chiffres officiels aient montré que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine était remonté depuis 49.8 jusqu'à 50.2 pour octobre, soit à peine moins que les 50.3 escomptés.
La valeur finale de celui établi dans le même secteur par la banque HSBC se situait quand à elle à 49.5 pour septembre, sa plus forte valeur en huit mois.
La finance avait remis de l'ordre dans ses rangs, les français BNP Paribas et Société Générale grignotant respectivement 0.59 et 0.01%, dépassés par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.6 et 0.81%.
Leurs collègues italiens n'étaient pas en reste, Unicredit grimpant de 1.59% et Intesa Sanpaolo de 0.89%.
Maurel & Prom a pour sa part gonflé de 0.8% suite à la diffusion de bruits selon lesquels China Petrochemical, alias le Sinopec Group, serait en discussions informelles avec depuis un an, mais que des obstacles barraient encore la route pouvant mener à un accord.
A Londres, le FTSE 100 a raflé 0.67%, encouragé par les bonnes performances de la City.
HSBC holdings a bondi de 1.23%, et Barclays de 2.67, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking les laissant loin derrière avec 3.28 et 6.46%.
Ce dernier avait auparavant affirmé que la somme mensuelle allouée à résoudre les problèmes d'assurance des paiements était tombée depuis 300 millions de GBP au premier semestre à 250 millions au troisième trimestre.
Les mastodontes miniers Rio Tinto s'est joint au cortège en avançant de 0.6%, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys subissaient un coup de mou par rapport au matin avec seulement 0.12 et 0.28%.
Parmi les autres bonnes nouvelles, British Sky Broadcasting a engrangé 5.01% après avoir enregistré 16% de bénéfices trimestriels supplémentaires, l'augmentation des tarifs et du nombre des produits proposés à ses clients éclipsant un recrutement de nouveaux abonnés sans éclat.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 redoutant 0.02% de fléchhissement et celles sur le Nasdaq 100 envisageant 0.17% d'amélioration.
L'agence de gestion des ressources humaines américaine ADP comptait de son côté diffuser en fin de journée une étude au sujet des emplois hors agriculture, tandis que le gouvernement rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements fera de même avec ses informations concernant l'activité manufacturière nationale.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.73%, le CAC 40 français de 0.69% aussi, et le DAX 30 allemand de 0.7%.
La circonspection restait à l'ordre du jour, sur fond d'incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Mais le soulagement avait été général après que des chiffres officiels aient montré que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine était remonté depuis 49.8 jusqu'à 50.2 pour octobre, soit à peine moins que les 50.3 escomptés.
La valeur finale de celui établi dans le même secteur par la banque HSBC se situait quand à elle à 49.5 pour septembre, sa plus forte valeur en huit mois.
La finance avait remis de l'ordre dans ses rangs, les français BNP Paribas et Société Générale grignotant respectivement 0.59 et 0.01%, dépassés par les allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 0.6 et 0.81%.
Leurs collègues italiens n'étaient pas en reste, Unicredit grimpant de 1.59% et Intesa Sanpaolo de 0.89%.
Maurel & Prom a pour sa part gonflé de 0.8% suite à la diffusion de bruits selon lesquels China Petrochemical, alias le Sinopec Group, serait en discussions informelles avec depuis un an, mais que des obstacles barraient encore la route pouvant mener à un accord.
A Londres, le FTSE 100 a raflé 0.67%, encouragé par les bonnes performances de la City.
HSBC holdings a bondi de 1.23%, et Barclays de 2.67, la Royal Bank of Scotland et Lloyds Banking les laissant loin derrière avec 3.28 et 6.46%.
Ce dernier avait auparavant affirmé que la somme mensuelle allouée à résoudre les problèmes d'assurance des paiements était tombée depuis 300 millions de GBP au premier semestre à 250 millions au troisième trimestre.
Les mastodontes miniers Rio Tinto s'est joint au cortège en avançant de 0.6%, alors que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys subissaient un coup de mou par rapport au matin avec seulement 0.12 et 0.28%.
Parmi les autres bonnes nouvelles, British Sky Broadcasting a engrangé 5.01% après avoir enregistré 16% de bénéfices trimestriels supplémentaires, l'augmentation des tarifs et du nombre des produits proposés à ses clients éclipsant un recrutement de nouveaux abonnés sans éclat.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 redoutant 0.02% de fléchhissement et celles sur le Nasdaq 100 envisageant 0.17% d'amélioration.
L'agence de gestion des ressources humaines américaine ADP comptait de son côté diffuser en fin de journée une étude au sujet des emplois hors agriculture, tandis que le gouvernement rendra son décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, et l'institut de gestion des approvisionnements fera de même avec ses informations concernant l'activité manufacturière nationale.