Malgré des comptes trimestriels encourageants, l'action Telefonica (MC:TEF), en recul de près de 2% au sein d'un marché madrilène proche de l'équilibre, accuse l'une des plus fortes baisses de l'Ibex 35.
Et pour cause: le géant espagnol des télécommunications a fait savoir qu'il abaisserait le dividende payé aux actionnaires.
Le but ? Alléger une dette lourde et de fait source de préoccupations depuis de longs mois, mais que Telefonica s'emploie à réduire.
Celle-ci a en effet été ramenée à un peu moins de 50 milliards d'euros au 30 septembre, contre environ 52,6 milliards 3 mois plus tôt.
Telefonica a donc encore du pain sur la planche en la matière, ce qui explique sa décision de raboter de 20 centimes d'euro son dividende annuel à 0,55 euro.
Une décision qui ne peut que plaire modérément aux actionnaires et qui tend à éclipser la hausse de 38,5% du bénéfice net par rapport au troisième trimestre de l'exercice clos à 938 millions d'euros, largement au-dessus des 708 millions sur lesquels tablait le consensus.
Le résultat opérationnel avant amortissement (OIBDA) a en revanche reculé de 1% sur un an à 4,17 milliards d'euros, tandis que le chiffre d'affaires s'est inscrit en baisse de 6% à 13 milliards d'euros. Telefonica a invoqué une diminution des ventes de terminaux dont de nombreux consommateurs ont repoussé le renouvellement.
Par zones géographiques, le Brésil a surnagé avec des revenus en hausse de 7,9% à 2,9 milliards d'euros. A contrario, les ventes en Grande-Bretagne, en Amérique latine et en Allemagne se sont repliées de respectivement 17, 13,9 et 5%, alors que celles générées sur le marché domestique se sont effritées de 0,4%.
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Et pour cause: le géant espagnol des télécommunications a fait savoir qu'il abaisserait le dividende payé aux actionnaires.
Le but ? Alléger une dette lourde et de fait source de préoccupations depuis de longs mois, mais que Telefonica s'emploie à réduire.
Celle-ci a en effet été ramenée à un peu moins de 50 milliards d'euros au 30 septembre, contre environ 52,6 milliards 3 mois plus tôt.
Telefonica a donc encore du pain sur la planche en la matière, ce qui explique sa décision de raboter de 20 centimes d'euro son dividende annuel à 0,55 euro.
Une décision qui ne peut que plaire modérément aux actionnaires et qui tend à éclipser la hausse de 38,5% du bénéfice net par rapport au troisième trimestre de l'exercice clos à 938 millions d'euros, largement au-dessus des 708 millions sur lesquels tablait le consensus.
Le résultat opérationnel avant amortissement (OIBDA) a en revanche reculé de 1% sur un an à 4,17 milliards d'euros, tandis que le chiffre d'affaires s'est inscrit en baisse de 6% à 13 milliards d'euros. Telefonica a invoqué une diminution des ventes de terminaux dont de nombreux consommateurs ont repoussé le renouvellement.
Par zones géographiques, le Brésil a surnagé avec des revenus en hausse de 7,9% à 2,9 milliards d'euros. A contrario, les ventes en Grande-Bretagne, en Amérique latine et en Allemagne se sont repliées de respectivement 17, 13,9 et 5%, alors que celles générées sur le marché domestique se sont effritées de 0,4%.
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