Investing.com - L'euro n'a pas pu prendre l'avantage sur le dollar U.S. ce lundi après-midi, malgré de de belles performances régionales, la prudence restait de mise à trois jours de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3192 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3217, trébuchant de 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3144, son plancher du 21 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3296, son plafond du 2 août.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre de l'activité manufacturière du bloc ayant adopté la monnaie unique avait évolué dans le bon sens le mois passé, passant de 51,3 à 51,4, son meilleur niveau depuis juillet 2011, échappant ainsi à la stagnation qui lui était promise.
Il avait auparavant fait savoir que son équivalent espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.
Celui de l'Italie faisait de même, passant de 50,4 à 51,3, son meilleur niveau depuis juin 2011, faisant lui aussi mieux que les 51,0 avancés.
Le soulagement avait déjà été manifeste après qu'il ait été souligné à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine élaboré par la banque HSBC avait connu en août un frémissement partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son évaluation préalable.
Le président américain Barack Obama a quand à lui lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0,52% pour déraper à 0,8482.
Cette dernière avait retrouvé du mordant après que Markit y ait également montré une résurgence manufacturière, son baromètre s'envolant depuis les 54,8 revus à la hausse de juillet jusqu'à 57,2, du jamais vu depuis 30 mois, alors que les experts n'envisageaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 55,0 pour la période considérée.
Les transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines demeurant inactives pour cause de fête du travail.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3192 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3217, trébuchant de 0,01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3144, son plancher du 21 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1,3296, son plafond du 2 août.
Le groupe de recherches économiques Markit avait fait savoir à la mi-journée que son baromètre de l'activité manufacturière du bloc ayant adopté la monnaie unique avait évolué dans le bon sens le mois passé, passant de 51,3 à 51,4, son meilleur niveau depuis juillet 2011, échappant ainsi à la stagnation qui lui était promise.
Il avait auparavant fait savoir que son équivalent espagnol avait bondi depuis 49,8 vers 51,1 pour août, sa valeur la plus élevée depuis avril 2011, dépassant du coup les 50,6 pressentis.
Celui de l'Italie faisait de même, passant de 50,4 à 51,3, son meilleur niveau depuis juin 2011, faisant lui aussi mieux que les 51,0 avancés.
Le soulagement avait déjà été manifeste après qu'il ait été souligné à l'aube que l'indice final des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine élaboré par la banque HSBC avait connu en août un frémissement partant des 47,7 du mois précédent jusqu'à 50,1, conformément à son évaluation préalable.
Le président américain Barack Obama a quand à lui lancé hier des manoeuvres politiques destinées à persuader les élus du pays d'approuver des frappes contre les forces syriennes, mais semblait peiner à les convaincre, quel que soit leur parti.
Le parlement n'étudiera toutefois la question que lors de sa rentrée le 9 septembre, retardant d'autant toute riposte suite à l'attaque chimique ayant fait des centaines de morts civils le mois dernier, dont le régime de Bachar el-Assad a été accusé d'être l'instigateur.
La devise européenne a par ailleurs cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0,52% pour déraper à 0,8482.
Cette dernière avait retrouvé du mordant après que Markit y ait également montré une résurgence manufacturière, son baromètre s'envolant depuis les 54,8 revus à la hausse de juillet jusqu'à 57,2, du jamais vu depuis 30 mois, alors que les experts n'envisageaient pourtant pas le voir passer au-dessus des 55,0 pour la période considérée.
Les transactions avaient cependant toutes les chances de demeurer éparses, les places américaines demeurant inactives pour cause de fête du travail.