Investing.com - Les places d'Asie terminaient sur une note négative ce mercredi matin, les incertitudes persistantes au sujet des orientations de la Réserve Fédérale nuisant au goût pour les valeurs audacieuses.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,8%, mais le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0,1% et le Nikkei 225 japonais de 0,6%.
La nervosité était en effet palpable après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait justifié le maintien du cap de la banque centrale des Etats-Unis.
Il avait affirmé lundi que le rythme de leur reprise demeurait trop lent pour envisager une réduction de la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ces propos sont venus entretenir la confusion au sujet de la durée de ses aides, après que James Bullard, son homologue de Saint Louis, ait rappelé qu'il n'était "pas exclu" qu'elles soient modérément réduites le mois prochain.
Sydney émergeait toutefois dans le sillage de résultats nationaux.
David Jones, poids lourd de la grande distribution, bondissait notamment de 5,3% après avoir revendiqué des bénéfices annuels supérieurs aux attentes.
Hong Kong était par contre sur la défensive, ses spécialistes des matières premières souffrant des cours en berne de ces dernières.
Le cuivrier Jiangxi Copper Company reculait ainsi de 1,3%.
Tokyo se trouvait pour sa part écornée par le renforcement du yen contre le billet vert, assombrissant du coup l'atmosphère.
La paire USD/JPY est tombée jusqu'à 98,54, à comparer au piédestal à 99,16 établi hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement freinées par le retour en force de la monnaie nationale, qui érode la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les poids lourds Fast Retailing et Softbank suivaient le mouvement descendant avec respectivement 2,3 et 1,35%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Tokyo Electron s'envolant de 13,2% après avoir accepté de se vendre à l'américain Applied Materials.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose malgré des performances honorables.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,2% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0,1%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes de logements neufs.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans la montée des cours mondiaux.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,8%, mais le Hang Seng de Hong Kong chutait de 0,1% et le Nikkei 225 japonais de 0,6%.
La nervosité était en effet palpable après que William Dudley, président de la réserve fédérale de New York, ait justifié le maintien du cap de la banque centrale des Etats-Unis.
Il avait affirmé lundi que le rythme de leur reprise demeurait trop lent pour envisager une réduction de la voilure de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels.
Ces propos sont venus entretenir la confusion au sujet de la durée de ses aides, après que James Bullard, son homologue de Saint Louis, ait rappelé qu'il n'était "pas exclu" qu'elles soient modérément réduites le mois prochain.
Sydney émergeait toutefois dans le sillage de résultats nationaux.
David Jones, poids lourd de la grande distribution, bondissait notamment de 5,3% après avoir revendiqué des bénéfices annuels supérieurs aux attentes.
Hong Kong était par contre sur la défensive, ses spécialistes des matières premières souffrant des cours en berne de ces dernières.
Le cuivrier Jiangxi Copper Company reculait ainsi de 1,3%.
Tokyo se trouvait pour sa part écornée par le renforcement du yen contre le billet vert, assombrissant du coup l'atmosphère.
La paire USD/JPY est tombée jusqu'à 98,54, à comparer au piédestal à 99,16 établi hier, les entreprises tournées vers l'extérieur se trouvant mécaniquement freinées par le retour en force de la monnaie nationale, qui érode la valeur des devises obtenues à l'étranger.
Les poids lourds Fast Retailing et Softbank suivaient le mouvement descendant avec respectivement 2,3 et 1,35%.
Tout n'était cependant pas désespéré, Tokyo Electron s'envolant de 13,2% après avoir accepté de se vendre à l'américain Applied Materials.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui plutôt morose malgré des performances honorables.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une baisse de 0,1%, celles sur le CAC 40 français l'estimant à 0,2%, celles sur le DAX 30 allemand à 0,2% aussi et sur le FTSE 100 britannique à 0,1%.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec le volume de leurs commandes de biens durables, ainsi que celui des ventes de logements neufs.