Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en forte baisse ce jeudi, sur la lancée des bourses mondiales, alors que les craintes
grandissantes concernant les perspectives économiques mondiales déclenchaient de larges reventes des investissements risqués.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient alors une chute de 2.6%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.9% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.5%.
Les inquiétudes concernant le futur de l'économie américaine avaient été ravivées après que la Réserve Fédérale ait fait savoir mercredi que des "risques de ralentissement significatifs" pesaient sur l'économie américaine et annoncé de nouvelles mesures destinées à soutenir sa croissance.
Elle a présenté un plan de vente de bons du trésor à court terme afin de racheter un volume identique de dettes à long termee, essayant ainsi de stimuler l'économie en rabaissant les taux à long terme, une manoeuvre dénommée "Opération Twist".
L'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats chinois de HSBC soit tombé en septembre à 49.4, son plus bas niveau en deux mois, dénotant ainsi une contraction durant un trimestre entier, n'a pas contribué à assainir l'atmosphère.
La finance se trouvait en première ligne, la Bank of America plongeant ainsi de 3.3%, Citigroup de 4.2% et les banques d'affaires Morgan Stanley et Goldman Sachs de respectivement 4.1 et 2.9%.
Les extracteurs de matières premières ont également tiré les bourses vers le bas après que les cours en soient tombés en raison du pessimisme ambiant. Le fournisseurs de métaux Freeport McMoran dérapant de 5.3%, le géant des hydrocarbures Exxon-Mobil de 3% et les parts de BHP Billiton cotées à Wall Street de 5.2%.
Concernant les revenus, l'incontournable FedEx a glissé de 1.5% après avoir raboté ses prévisions de bénéfices pour l'année complète, invoquant la hausse des prix des carburants et la croissance modeste de l'économie mondiale, tout en revevndiquant une hausse de 22% de ses rentrées au premier trimestre fiscal.
Tout n'était cependant pas désespéré, le spécialiste de l'informatiqe Red Hat bondissant de 6% suite à l'annonce des 21% de profits supplémentaires enregistrés au second trimestre, dépassant les 18.9% attendus par les observateurs.
Goodrich, sous-traitant de matériel aérospatial, s'est quand à lui envolé de 10.3% après avoir accepté son acquisition par United Technologies qui prenait 4.5% du même coup, avec un accord évalué à 18.4 milliards d'USD.
Les bourses européennes ont prolongé leur tendance baissière après qu'une étude ait montré ce matin une chute de la production manufacturée allemande pour septembre à son pire niveau en 24 mois, tandis que l'activité manufacturière de la zone euro dérapait vers un niveau inconnu depuis août 2009.
L'EURO STOXX 50 a sombré de 5%, le CAC 40 français de 5.2%, le DAX allemand de 4.7% et le FTSE 100 britannique de 4.75%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était écroulé de 4.85%, et le Nikkei 225 japonais de 2.1%.
Des chiffres officiels avaient auparavant indiqué 9 000 nouvelles inscriptions au chômage américaines de moins, pour un total de 432 000 pour la semaine dernière, une déception par rapport aux 420 000 espérés.
grandissantes concernant les perspectives économiques mondiales déclenchaient de larges reventes des investissements risqués.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient alors une chute de 2.6%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 2.9% et celles sur le Nasdaq 100 à 2.5%.
Les inquiétudes concernant le futur de l'économie américaine avaient été ravivées après que la Réserve Fédérale ait fait savoir mercredi que des "risques de ralentissement significatifs" pesaient sur l'économie américaine et annoncé de nouvelles mesures destinées à soutenir sa croissance.
Elle a présenté un plan de vente de bons du trésor à court terme afin de racheter un volume identique de dettes à long termee, essayant ainsi de stimuler l'économie en rabaissant les taux à long terme, une manoeuvre dénommée "Opération Twist".
L'évaluation préliminaire de l'indice des directeurs des achats chinois de HSBC soit tombé en septembre à 49.4, son plus bas niveau en deux mois, dénotant ainsi une contraction durant un trimestre entier, n'a pas contribué à assainir l'atmosphère.
La finance se trouvait en première ligne, la Bank of America plongeant ainsi de 3.3%, Citigroup de 4.2% et les banques d'affaires Morgan Stanley et Goldman Sachs de respectivement 4.1 et 2.9%.
Les extracteurs de matières premières ont également tiré les bourses vers le bas après que les cours en soient tombés en raison du pessimisme ambiant. Le fournisseurs de métaux Freeport McMoran dérapant de 5.3%, le géant des hydrocarbures Exxon-Mobil de 3% et les parts de BHP Billiton cotées à Wall Street de 5.2%.
Concernant les revenus, l'incontournable FedEx a glissé de 1.5% après avoir raboté ses prévisions de bénéfices pour l'année complète, invoquant la hausse des prix des carburants et la croissance modeste de l'économie mondiale, tout en revevndiquant une hausse de 22% de ses rentrées au premier trimestre fiscal.
Tout n'était cependant pas désespéré, le spécialiste de l'informatiqe Red Hat bondissant de 6% suite à l'annonce des 21% de profits supplémentaires enregistrés au second trimestre, dépassant les 18.9% attendus par les observateurs.
Goodrich, sous-traitant de matériel aérospatial, s'est quand à lui envolé de 10.3% après avoir accepté son acquisition par United Technologies qui prenait 4.5% du même coup, avec un accord évalué à 18.4 milliards d'USD.
Les bourses européennes ont prolongé leur tendance baissière après qu'une étude ait montré ce matin une chute de la production manufacturée allemande pour septembre à son pire niveau en 24 mois, tandis que l'activité manufacturière de la zone euro dérapait vers un niveau inconnu depuis août 2009.
L'EURO STOXX 50 a sombré de 5%, le CAC 40 français de 5.2%, le DAX allemand de 4.7% et le FTSE 100 britannique de 4.75%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était écroulé de 4.85%, et le Nikkei 225 japonais de 2.1%.
Des chiffres officiels avaient auparavant indiqué 9 000 nouvelles inscriptions au chômage américaines de moins, pour un total de 432 000 pour la semaine dernière, une déception par rapport aux 420 000 espérés.