Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce vendredi après-midi, bien que le président d'une des réserves fédérales régionales ait affirmé que la banque centrale américaine pourrait réduire ses acquisitions d'actifs dès cet été, dans l'expectative des résultats nationaux du jour.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,30%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,19%.
John Williams, à la tête de la succursale de la Réserve Fédérale de San Francisco, avait en effet estimé hier que la maison-mère pourrait diminuer le volume de ses injections de capitaux dès l'été et y mettre un coup d'arrêt en fin d'année.
Les récentes déceptions économiques ont pourtant ravivé les inquiétudes au sujet de la relance du pays.
La Réserve Fédérale de Philadelphie a en effet révélé que son indice manufacturier de la région avait sombré depuis 1,3 vers -5,2 pour avril, alors que le département d'état au travail américain avait auparavant dénombré un total hebdomadaire de 360.000 incriptions au chômage au cours de la semaine achevée le 10 mai, tanis que 330.000 était déjà redoutées.
Cisco Systems, premier fournisseur d'infrastructures pour réseaux informatiques, semblait devoir rester sur le devant de la scène pour la seconde journée, ayant dépassé les espérances pour ses bénéfices du troisième trimestre, s'envolant de 12% hier mais laissant échapper 0,24% en pré-ouverture.
Toujours dans l'informatique, l'assembleur Dell déplorait une forte diminution de ses profits trimestriels dans le sillage de la cloche de fermeture, subissant l'effondrement des ventes d'ordinateurs de bureau, se repliant de 0,22% après la fin des hostilités.
Applied Materials, premier constructeur de matériel de fonte de puces informatiques, suivait le même chemin avec 0,68%, prévoyant un chiffre d'affaires et des rentrées pouvant se révéler inférieures à certaines estimations.
La grande distribution n'était pas en reste, J.C. Penney s'étant retrouvé sous les feux de la rampe suite à l'aveu postérieur à la clôture de la session d'hier que ses marges opérationnelles avaient fondu lors des trois premiers mois de l'année, tandis que les ventes totales et celles à magasin identique subissait des régressions à deux chiffres.
Ses actions dérapaient du coup de 3,03% avant l'entrée en matière.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Donaldson, dont les résultats trimestriels seront proclamés incessamment.
Les bourses européennes ont quand à elles retrouvé le sourire, l'EURO STOXX 50 empochant 0,35%, le CAC 40 français 0,42%, le DAX 30 allemand 0,22% et le FTSE 100 britannique 0,15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong était inactif pour cause de jour férié, et le Nikkei 225 japonais se rétractait de 0,39%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les informations préliminaires de l'université du Michigan portant sur le moral des consommateurs ainsi que sur l'inflation attendue.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,30%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,19%.
John Williams, à la tête de la succursale de la Réserve Fédérale de San Francisco, avait en effet estimé hier que la maison-mère pourrait diminuer le volume de ses injections de capitaux dès l'été et y mettre un coup d'arrêt en fin d'année.
Les récentes déceptions économiques ont pourtant ravivé les inquiétudes au sujet de la relance du pays.
La Réserve Fédérale de Philadelphie a en effet révélé que son indice manufacturier de la région avait sombré depuis 1,3 vers -5,2 pour avril, alors que le département d'état au travail américain avait auparavant dénombré un total hebdomadaire de 360.000 incriptions au chômage au cours de la semaine achevée le 10 mai, tanis que 330.000 était déjà redoutées.
Cisco Systems, premier fournisseur d'infrastructures pour réseaux informatiques, semblait devoir rester sur le devant de la scène pour la seconde journée, ayant dépassé les espérances pour ses bénéfices du troisième trimestre, s'envolant de 12% hier mais laissant échapper 0,24% en pré-ouverture.
Toujours dans l'informatique, l'assembleur Dell déplorait une forte diminution de ses profits trimestriels dans le sillage de la cloche de fermeture, subissant l'effondrement des ventes d'ordinateurs de bureau, se repliant de 0,22% après la fin des hostilités.
Applied Materials, premier constructeur de matériel de fonte de puces informatiques, suivait le même chemin avec 0,68%, prévoyant un chiffre d'affaires et des rentrées pouvant se révéler inférieures à certaines estimations.
La grande distribution n'était pas en reste, J.C. Penney s'étant retrouvé sous les feux de la rampe suite à l'aveu postérieur à la clôture de la session d'hier que ses marges opérationnelles avaient fondu lors des trois premiers mois de l'année, tandis que les ventes totales et celles à magasin identique subissait des régressions à deux chiffres.
Ses actions dérapaient du coup de 3,03% avant l'entrée en matière.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Donaldson, dont les résultats trimestriels seront proclamés incessamment.
Les bourses européennes ont quand à elles retrouvé le sourire, l'EURO STOXX 50 empochant 0,35%, le CAC 40 français 0,42%, le DAX 30 allemand 0,22% et le FTSE 100 britannique 0,15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong était inactif pour cause de jour férié, et le Nikkei 225 japonais se rétractait de 0,39%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les informations préliminaires de l'université du Michigan portant sur le moral des consommateurs ainsi que sur l'inflation attendue.