Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en léger repli ce vendredi après-midi, dans l'expectative du rapport crucial sur l'emploi américain, sur fond d'incertitudes concernant le futur du programme de stimulation de la Réserve Fédérale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,07%.
Le département d'état au travail américain avait déjà dénombré hier 11.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le premier juin, pour un total hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 12.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Celui de la précédente s'était pour sa part situé à 357.000, après révision vers le haut des 354.000 préalablement avancés.
Les faibles performances du marché du travail mises en évidence la veille étaient déjà venues étouffer les bruits saugrenus selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année l'ampleur de ses apports mensuels de capitaux.
Les télécommunications étaient sur le devant de la scène après qu'AT&T ait révélé que le nombre de ses abonnés aux bouquets de télévision, à Internet et à la téléphonie mobile avait davantage augmenté au second trimestre que lors de l'année précédente, nuançantt toutefois l'enthousiasme en avouant que ses marges souffraient des coûts nécessaires pur les attirer.
L'opérateur de réseaux trébuchait du coup de 0,34% après la clôture.
L'informatique était aussi en ébullition, après qu'un certain nombre de mastodontes du secteur, parmi lesquels Applet et Yahoo!, aient affirmé qu'ils ne fournissaient pas au gouvernement américain d'accès direct à leurs systèmes, en réponse à un article dénonçant un programme de surveillance électronique confidentiel.
Les quotidiens Washington Post et Guardian ont ainsi fait savoir dans la soirée que la NSA et le FBI pouvaient extraire à l'envi des données de conversations audio et vidéo, des photographies, des courriers électroniques, des documents et des compte-rendus de conexion depuis le serveurs centraux de neuf acteurs de poids dans ce domaine.
Du côté de l'industrie pharmaceutique, GlaxoSmithKline était attendu au tournant après que les autorités sanitaires aient estimé que l'Avandia, son cheval de bataille contre le diabète, entraînait des effets inférieurs à ce qui avait été avancé, et que les restrictions touchant sa prescription devraient être assouplies.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,21%, le CAC 40 français de 0,17%, le DAX 30 allemand de 0,34% et le FTSE 100 britannique de 0,14%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 1,05%, et le Nikkei 225 japonais de 0,85%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec leurs informations sur le volume de la masse salariale non-agricole et la proportion de leurs demandeurs d'emploi.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,08% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,07%.
Le département d'état au travail américain avait déjà dénombré hier 11.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le premier juin, pour un total hebdomadaire de 346.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 12.000 pour les amener à 345.000 était espérée.
Celui de la précédente s'était pour sa part situé à 357.000, après révision vers le haut des 354.000 préalablement avancés.
Les faibles performances du marché du travail mises en évidence la veille étaient déjà venues étouffer les bruits saugrenus selon lesquels la Réserve Fédérale compterait réduire dès cette année l'ampleur de ses apports mensuels de capitaux.
Les télécommunications étaient sur le devant de la scène après qu'AT&T ait révélé que le nombre de ses abonnés aux bouquets de télévision, à Internet et à la téléphonie mobile avait davantage augmenté au second trimestre que lors de l'année précédente, nuançantt toutefois l'enthousiasme en avouant que ses marges souffraient des coûts nécessaires pur les attirer.
L'opérateur de réseaux trébuchait du coup de 0,34% après la clôture.
L'informatique était aussi en ébullition, après qu'un certain nombre de mastodontes du secteur, parmi lesquels Applet et Yahoo!, aient affirmé qu'ils ne fournissaient pas au gouvernement américain d'accès direct à leurs systèmes, en réponse à un article dénonçant un programme de surveillance électronique confidentiel.
Les quotidiens Washington Post et Guardian ont ainsi fait savoir dans la soirée que la NSA et le FBI pouvaient extraire à l'envi des données de conversations audio et vidéo, des photographies, des courriers électroniques, des documents et des compte-rendus de conexion depuis le serveurs centraux de neuf acteurs de poids dans ce domaine.
Du côté de l'industrie pharmaceutique, GlaxoSmithKline était attendu au tournant après que les autorités sanitaires aient estimé que l'Avandia, son cheval de bataille contre le diabète, entraînait des effets inférieurs à ce qui avait été avancé, et que les restrictions touchant sa prescription devraient être assouplies.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,21%, le CAC 40 français de 0,17%, le DAX 30 allemand de 0,34% et le FTSE 100 britannique de 0,14%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 1,05%, et le Nikkei 225 japonais de 0,85%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec leurs informations sur le volume de la masse salariale non-agricole et la proportion de leurs demandeurs d'emploi.