Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture modérément positive ce mercredi, grâce au soutien dû aux nouveaux accomodements de la Banque du Japon, surmontant les inquiétudes causées par les difficultés financières espagnoles.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
La banque centrale nippone a en effet annoncé en début de matinée 10 billions de JPY d'augmentation du montant de ses rachats mensuels de dettes, afin de donner un coup de fouet à l'économie tout en contrant le renforcement du yen.
Le communiqué subséquent mentionnait le fait qu'elle estimait que la relance économique avait "connu une pause", les économies étrangères s'engluant plus profondément dans la crise, et que l'activité devrait "plus ou moins revenir à son niveau antérieur".
Mais il restait urgent d'attendre, après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand au recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
La technologie était à l'honneur, Microsoft n'ayant relevé hier son dividende que de 15%, constituant ainsi un coup de frein à l'avancée de sa rentabilité pour les investisseurs après une année marquée par la diminution des ventes d'ordinateurs et la forte dévaluation dûe à une acquisition manquée, reculant du coup de 0.28% après la fermeture.
Apple a par contre grignoté 0.12% en pré-ouverture, après s'être associé d'après la Commission Européenne à quatre mastodontes de l'édition afin de permettre aux revendeurs comme Amazon.com, qui a du coup bondi de 0.42% dans le même temps, de vendre des livres numériques à prix réduits pendant deux ans afin de mettre fin à une enquête de l'Union Européenne sur un éventuel monopole.
Du côté des établissements bancaires, Goldman Sachs a fait savoir hier soir que son haut responsable des transactions Harvey Schwartz prendrait la place de directeur financier précédemment occupée par David Viniar, qui fera désormais partie de son conseil en tant qu'administrateur non indépendant.
Il ne fallait pas non plus négliger l'annonce du partenariat de Northrop Grumman avec AgustaWestland, une filiale de l'italien Finmeccanica, dans le but de participeer aux appels d'offre pour fournir à l'armée de l'air un nouvel hélicoptère de secours opérationnel et un autre, le "Marine One", destiné à transporter le président, pour les forces embarquées.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt stables, l'EURO STOXX 50 grignotant 0.01%, et le CAC 40 0.01% aussi, tandis que le DAX 30 allemand fléchissait de 0.01% et que le FTSE 100 britannique perdait 0.15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 1.16%, et le Nikkei 225 japonais 1.19%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées, sans oublir l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, ainsi qu'un rapport des spécialistes de l'immobilier concernant les ventes de logements d'occasion.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
La banque centrale nippone a en effet annoncé en début de matinée 10 billions de JPY d'augmentation du montant de ses rachats mensuels de dettes, afin de donner un coup de fouet à l'économie tout en contrant le renforcement du yen.
Le communiqué subséquent mentionnait le fait qu'elle estimait que la relance économique avait "connu une pause", les économies étrangères s'engluant plus profondément dans la crise, et que l'activité devrait "plus ou moins revenir à son niveau antérieur".
Mais il restait urgent d'attendre, après qu'il ait été rapporté que le premier ministre espagnol Mariano Rajoy demeurait incertain quand au recours éventuel à la main tendue par la Banque Centrale Européenne, qui impliquerait de s'inscrire au fonds de secours permanent.
La technologie était à l'honneur, Microsoft n'ayant relevé hier son dividende que de 15%, constituant ainsi un coup de frein à l'avancée de sa rentabilité pour les investisseurs après une année marquée par la diminution des ventes d'ordinateurs et la forte dévaluation dûe à une acquisition manquée, reculant du coup de 0.28% après la fermeture.
Apple a par contre grignoté 0.12% en pré-ouverture, après s'être associé d'après la Commission Européenne à quatre mastodontes de l'édition afin de permettre aux revendeurs comme Amazon.com, qui a du coup bondi de 0.42% dans le même temps, de vendre des livres numériques à prix réduits pendant deux ans afin de mettre fin à une enquête de l'Union Européenne sur un éventuel monopole.
Du côté des établissements bancaires, Goldman Sachs a fait savoir hier soir que son haut responsable des transactions Harvey Schwartz prendrait la place de directeur financier précédemment occupée par David Viniar, qui fera désormais partie de son conseil en tant qu'administrateur non indépendant.
Il ne fallait pas non plus négliger l'annonce du partenariat de Northrop Grumman avec AgustaWestland, une filiale de l'italien Finmeccanica, dans le but de participeer aux appels d'offre pour fournir à l'armée de l'air un nouvel hélicoptère de secours opérationnel et un autre, le "Marine One", destiné à transporter le président, pour les forces embarquées.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt stables, l'EURO STOXX 50 grignotant 0.01%, et le CAC 40 0.01% aussi, tandis que le DAX 30 allemand fléchissait de 0.01% et que le FTSE 100 britannique perdait 0.15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 1.16%, et le Nikkei 225 japonais 1.19%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés, ainsi que celui des constructions entamées, sans oublir l'inventaire hebdomadaire des réserves pétrolières, ainsi qu'un rapport des spécialistes de l'immobilier concernant les ventes de logements d'occasion.