Investing.com - Le dollar U.S. était largement en forme face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, alors que l'humeur se trouvait assombrie par l'ombre du plafond d'endettement américain.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.67% pour tomber à 1.3098.
La monnaie unique n'avait guère fait cas de la nouvelle selon laquelle le nombre de demandeurs d'emploi allemands avait nettement moins augmenté en novembre que redouté, en en dénombrant 3 000 de plus, prolongeant les 5 000 du mois précédent.
Les experts redoutaient pourtant d'en compter 10 000 pour la période considérée.
La nervosité restait toutefois présente à long terme, avec à l'horizon de février les tractations visant à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis.
Le moral était pourtant revenu hier après que leur parlement ait ratifié une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.6% pour chuter à 1.6157.
Il avait été montré ce matin que l'indice des chefs des acquisitions dans le domaine du bâtiment britannique, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS, s'était replié depuis 49.3 vers 48.7 corrigés saisonnièrement pour décembre, se situant ainsi au plus bas des six mois passés.
Les analystes espéraient pourtant le voir frémir à 49.5 pour la période considérée.
Le yen a toutefois exercé sa pression, l'USD/JPY se rétractant de 0.57% pour se reprendre pied à 86.84, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.54% pour culminer à 0.9229.
Il était aussi à souligner ce matin que l'indice des directeurs des achats helvète, établi par leur association SVME en collaboration avec le Crédit Suisse était repassé de 49.3 à 48.5 pour le mois dernier, sa plus faible valeur des neuf mois écoulés.
Une stagnation était semblait pourtant probable.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.14% pour monter à 0.9863, l'AUD/USD cédant 0.05% pour se retrouver à 1.0499 et le NZD/USD se laissant arracher 0.19% pour toucher le fond à 0.8325.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.49% pour se situer à 80.29.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté voir en fin de journée l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendre son rapport sur la masse salariale non agricole, accompagné du décompte hebdomadaire par les autorités des nouvelles inscriptions au chômage, tandis que la Réserve Fédérale devait publier le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de sa politique monétaire.
En seconde partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.67% pour tomber à 1.3098.
La monnaie unique n'avait guère fait cas de la nouvelle selon laquelle le nombre de demandeurs d'emploi allemands avait nettement moins augmenté en novembre que redouté, en en dénombrant 3 000 de plus, prolongeant les 5 000 du mois précédent.
Les experts redoutaient pourtant d'en compter 10 000 pour la période considérée.
La nervosité restait toutefois présente à long terme, avec à l'horizon de février les tractations visant à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis.
Le moral était pourtant revenu hier après que leur parlement ait ratifié une loi ménageant la chèvre et le chou pour échapper au mur fiscal, qui aurait découlé de la conjonction de la fin d'importantes réductions d'impôts et de l'activation de coupes budgétaires, et aurait probablement entraîné un retour en récession.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.6% pour chuter à 1.6157.
Il avait été montré ce matin que l'indice des chefs des acquisitions dans le domaine du bâtiment britannique, établi conjointement par le groupe de recherches économiques Markit et l'institut agréé des achats et fournitures CIPS, s'était replié depuis 49.3 vers 48.7 corrigés saisonnièrement pour décembre, se situant ainsi au plus bas des six mois passés.
Les analystes espéraient pourtant le voir frémir à 49.5 pour la période considérée.
Le yen a toutefois exercé sa pression, l'USD/JPY se rétractant de 0.57% pour se reprendre pied à 86.84, mais pas le franc suisse, l'USD/CHF grignotant 0.54% pour culminer à 0.9229.
Il était aussi à souligner ce matin que l'indice des directeurs des achats helvète, établi par leur association SVME en collaboration avec le Crédit Suisse était repassé de 49.3 à 48.5 pour le mois dernier, sa plus faible valeur des neuf mois écoulés.
Une stagnation était semblait pourtant probable.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.14% pour monter à 0.9863, l'AUD/USD cédant 0.05% pour se retrouver à 1.0499 et le NZD/USD se laissant arracher 0.19% pour toucher le fond à 0.8325.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.49% pour se situer à 80.29.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté voir en fin de journée l'agence de gestion des ressources humaines ADP rendre son rapport sur la masse salariale non agricole, accompagné du décompte hebdomadaire par les autorités des nouvelles inscriptions au chômage, tandis que la Réserve Fédérale devait publier le compte-rendu détaillé de la plus récente réunion du comité d'orientation de sa politique monétaire.