Investing.com - Les bourses européennes étaient plutôt calmes ce mardi matin, l'ambiance toujours apaisée grâce à l'accord sur le nucléaire iranien, bien que des nuages se profilent en direction de l'Italie.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,04%, mais le CAC 40 français trébuchait de 0,05%, et le DAX 30 allemand frémissait de 0,09%.
Les Etats-Unis, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont en effet pu trouver en fin de semaine un "premier accord" visant à limiter les ambitions de l'Iran en l'échange d'un assouplissement des sanctions touchant ses exportations d'or noir, en réaction aux allégations selon lesquelles le pays chercherait à développer l'arme atomique.
L'Italie était aussi sur le devant de la scène, alors que Silvio Berlusconi devait faire face mercredi à un vote du sénat pouvant entériner son inéligibilité suite à sa récente condamnation pour fraude fiscale.
Il avait tenté hier soir une dernière pirouette pour tenter d'y échapper, assurant détenir de nouvelles preuves de son innocence.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,60%, suivie du français Société Générale avec 0,12%, tandis que BNP Paribas laissait échapper 0,05%.
La périphérie affichait un sourire plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant respectivement 0,25 et 0,22%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,26 et 0,29%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Bayer arrachait 0,02% à Francfort, alors qu'il se disait qu'il "préparait le terrain" pour négocier l'acquisition de son partenaire norvégien Algeta, dont un traitement contre le cancer de la prostate a reçu en mai le feut vert des autorités sanitaires américaines, le faisant s'envoler de 29,61%.
Le madrilène Repsol bondissait pour sa part de 3,66% après que les gourvernements espagnol et argentin aient trouvé un compromis destiné à compenser la nationalisation de ses parts de YPF SA.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,07%, bien que les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivent le chemin majoritairement positif tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking avançait ainsi de 0,09% et HSBC Holdings de 0,49%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland joignaient le peloton de tête avec 0,68 et 0,69%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient moins unanimes, le mastodonte minier Glencore Xstrata fondant de 1,14%, alors que ses rivaux Polymetal et Randgold Resources amassaient 0,68 et 0,81%.
Les supermarchés Tesco étaient parmi les lanternes rouges, plongeant de 1,89% après qu'il ait été annoncé que leur chiffre d'affaires avait subi un dérapage de 6% au cours de la période de 12 semaines achevée le 10 novembre, entraînant une diminution de ses parts du marché irlandais, représentant plusieurs milliards.
Les perspectives des marchés américains étaient modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.
Les autorités des Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, tandis que des spécialistes fourniront des informations au sujet de la confiance des consommateurs et de l'évolution des prix des logements.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,04%, mais le CAC 40 français trébuchait de 0,05%, et le DAX 30 allemand frémissait de 0,09%.
Les Etats-Unis, la Russie, la Chine, le Royaume-Uni, l'Allemagne et la France ont en effet pu trouver en fin de semaine un "premier accord" visant à limiter les ambitions de l'Iran en l'échange d'un assouplissement des sanctions touchant ses exportations d'or noir, en réaction aux allégations selon lesquelles le pays chercherait à développer l'arme atomique.
L'Italie était aussi sur le devant de la scène, alors que Silvio Berlusconi devait faire face mercredi à un vote du sénat pouvant entériner son inéligibilité suite à sa récente condamnation pour fraude fiscale.
Il avait tenté hier soir une dernière pirouette pour tenter d'y échapper, assurant détenir de nouvelles preuves de son innocence.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,60%, suivie du français Société Générale avec 0,12%, tandis que BNP Paribas laissait échapper 0,05%.
La périphérie affichait un sourire plus unanime, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant respectivement 0,25 et 0,22%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,26 et 0,29%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Bayer arrachait 0,02% à Francfort, alors qu'il se disait qu'il "préparait le terrain" pour négocier l'acquisition de son partenaire norvégien Algeta, dont un traitement contre le cancer de la prostate a reçu en mai le feut vert des autorités sanitaires américaines, le faisant s'envoler de 29,61%.
Le madrilène Repsol bondissait pour sa part de 3,66% après que les gourvernements espagnol et argentin aient trouvé un compromis destiné à compenser la nationalisation de ses parts de YPF SA.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,07%, bien que les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivent le chemin majoritairement positif tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking avançait ainsi de 0,09% et HSBC Holdings de 0,49%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland joignaient le peloton de tête avec 0,68 et 0,69%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient moins unanimes, le mastodonte minier Glencore Xstrata fondant de 1,14%, alors que ses rivaux Polymetal et Randgold Resources amassaient 0,68 et 0,81%.
Les supermarchés Tesco étaient parmi les lanternes rouges, plongeant de 1,89% après qu'il ait été annoncé que leur chiffre d'affaires avait subi un dérapage de 6% au cours de la période de 12 semaines achevée le 10 novembre, entraînant une diminution de ses parts du marché irlandais, représentant plusieurs milliards.
Les perspectives des marchés américains étaient modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient un frémissement de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,13%.
Les autorités des Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, tandis que des spécialistes fourniront des informations au sujet de la confiance des consommateurs et de l'évolution des prix des logements.