Tiens, l’entame de cette séance de jeudi a donné lieu à un enchaînement des montagnes russes (à moins qu’il ne s’agisse d’une séquence portes de saloon entre 4502 et 4556 afin de « nettoyer » quelques stops)… et puis plus rien.
Calme plat, pot au noir, zéro volatilité… la dérive latérale semble devoir perdurer, autour d’un pivot de 4530 points, probablement jusqu’à la clôture.
Les chiffres américains de 14h30 auraient pu débloquer la situation mais ils s’avèrent sans relief, à l’image des commandes de biens durables américains (qui se tassent imperceptiblement de -0,1% mais hors « transport », elles progressent de +0,2%) et les inscriptions hebdomadaires au chômage se contractent de -3000 à 258 000 (après +11.000 la semaine précédente).
Mais ce scénario nous étonne à peine, car nous n’avons pas oublié que les « sherpas » font clôturer les indices boursiers au plus haut tous les mois, depuis le février dernier, à l’exception du mois de juin (Brexit), lequel s’était néanmoins achevé loin des « plus bas » du 24 juin 2016.
Voyez vous une raison pour qu’un des plus calmes et des meilleurs mois d’octobre du 21ème siècle ne se termine pas au zénith… d’ici deux séances ?