Et pendant que le Dow Jones rejoint les 20 000, les Chinois vendent et vendent encore plus de yuan.
Le yuan reste désespérément collé à son plancher face au dollar, à 6,91, et le marché continuent à s’en désintéresser tout aussi désespérément.
D’ailleurs, rien ne préoccupe le « marché » : il a d’autres chats à fouetter et un score de 20 000 à inscrire sur le Dow Jones d’ici 20h (c’est programmé comme ça depuis bien avant le « Brexit » si on en juge par le nombre de pilules empoisonnées que le marché a digéré depuis 6 mois).
La PBOC, la banque centrale chinoise, a fait face en novembre aux plus importantes demandes de devises étrangères émanant des entreprises et des particuliers cette année, à hauteur de 382,8 milliards de yuan (55,45 milliards dollars), après 267.8 en octobre.
Cela reste encore assez éloigné des -644 milliards de janvier, mais les réserves de change de la PBOC continuent de se dégonfler inexorablement… dans l’indifférence générale.
Pour l’instant…