Mardi, Jefferies a ajusté sa position sur Big Yellow Group Plc (BYG:LN) (OTC: BYLOF), faisant passer la recommandation de "Acheter" à "Conserver" et fixant un nouvel objectif de cours à 12,24£, en baisse par rapport aux 13,59£ précédents. Cette révision s'inscrit dans le cadre d'une réévaluation plus large des fiducies immobilières, influencée par une augmentation sectorielle du coût moyen pondéré du capital (CMPC) de 190 points de base à 10% depuis le début de l'année.
La firme a noté que les rendements immobiliers moyens ont été modestes, à 3% en glissement annuel, certains secteurs spécifiques comme les bureaux connaissant une baisse de 5%, tandis que le commerce de détail et l'industrie ont enregistré des gains de 5% et 6% respectivement, selon les indices MSCI All Property. Cette performance a conduit à une valeur économique ajoutée (EVA) négative dans l'ensemble du secteur, suggérant que les valorisations actuelles ne contribuent pas à la valeur actionnariale au-delà du coût du capital.
Jefferies prévoit que les sociétés d'investissement immobilier cotées (SIIC) continueront à faire face à des décotes de valorisation, les marchés actions ajustant les valeurs nettes d'actifs (VNA) basées sur des données historiques. Le rapport a souligné que les SIIC sont actuellement examinées sous le "macroscope", les facteurs macroéconomiques jouant un rôle plus important dans leur valorisation que les facteurs internes tels que les revenus locatifs.
Le secteur du self-stockage, dans lequel opère Big Yellow, est étroitement lié au volume des transactions sur le marché immobilier. Étant donné que le marché immobilier a été atone, les perspectives pour le secteur restent prudentes. Jefferies a également souligné que le secteur du self-stockage fait face à des coûts généraux élevés. Avec les récents changements apportés aux cotisations d'assurance nationale (NIC), la firme s'attend à ce que la croissance des bénéfices et des dividendes puisse être contrainte. Cela intervient malgré une augmentation de 17% du cours de l'action en glissement annuel.
En résumé, la dégradation reflète des perspectives prudentes pour les rendements immobiliers, influencées par des facteurs macroéconomiques et des défis spécifiques au secteur, notamment un volume de transactions de marché atone et des frais généraux croissants.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.