Investing.com - L’indice-phare de la Bourse de Paris reculait de 0,34% à mi-séance mercredi, dans un volume d’échanges limité pour cause de fête de l’Assomption, alors que les inquiétudes au sujet de la croissance mondiale continuaient de peser sur le moral des investisseurs.
Le CAC 40 a cédé du terrain hier, après que les chiffres d’Eurostat ont révélé un effritement de 0,4% de l’activité économique dans la zone euro au deuxième trimestre ; en glissement annuel (-0,2 % par rapport au premier trimestre).
L’Insee avait par ailleurs indiqué que la croissance a été nulle en France au deuxième trimestre et ce, pour le troisième trimestre consécutif.
Seul point positif de la matinée, le nombre de Britanniques sans emploi est tombé à son niveau le plus bas depuis près d'un an sur les trois mois à fin juin. Le taux de chômage s'est établi à 8,0%, son niveau le plus bas depuis les trois mois à fin juillet 2011, alors que les économistes avaient tablé sur un taux inchangé à 8,1%.
Du côté des valeurs, les cycliques s’inscrivaient dans le rouge mercredi. A mi-séance, ArcelorMittal abandonnait 2,27%, tandis que Lafarge et Vallourec cédaient 1,55% et 1,36% respectivement.
Lafarge semble avoir également pâti des prévisions de son concurrent suisse Holcim, publiées plus tôt mercredi. Le deuxième cimentier mondial anticipe, en effet un repli du marché européen dans les mois à venir, surtout dans le sud de la région, ou des plans d’austérité très stricts ont dû être mis en œuvre.
Egalement dans le rouge, EADS reculait de 0,51% en milieu de séance, plombé par les révélations du Financial Times datant de mardi et selon lesquelles plusieurs dirigeants du groupe avaient été alertés il y a cinq ans de paiements suspects et de cadeaux faits à la famille régnante en Arabie Saoudite de la part d'une filiale actuellement sous le coup d'une enquête pénale britannique.
A l’inverse, le groupe Accor affichait un rebond de 0,44% en milieu de journée. La chaîne hôtelière a, par ailleurs, été classée au 8ème rang des entreprises où il fait bon travailler au Brésil, selon une enquête de l'institut "Great Place to Work".
Les banques évoluaient en ordre dispersé à mi-séance. BNP Paribas pliait de 0,30%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole s’appréciaient de 0,37% et de 0,74% respectivement.
Selon le quotidien Les Echos, BNP Paribas aurait l’intention de vendre son activité de détail en Egypte, où la banque est installée depuis 35 ans.
Sa filiale de 67 agences intéresserait plusieurs groupes dont les banques du Golfe National Bank of Abu Dhabi et Qatar National Bank, rapportait à son tour l’agence Reuters. La banque devrait inviter dans les quinze jours les candidats à déposer une offre préliminaire pour sa filiale qui pourrait lui rapporter jusqu’à 400 millions de dollars, précise le journal.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,42%, le DAX reculait de 0,45% et le Footsie 100 pliait de 0,46%.
Plusieurs indicateurs américains étaient attendus plus tard dans la journée, dont l'inflation en juillet et l'enquête sur l'activité manufacturière Empire State d'août, suivies des flux nets de capitaux en juin, de la production industrielle en juillet et de l'indice NAHB sur la confiance des promoteurs immobiliers en août.
Le CAC 40 a cédé du terrain hier, après que les chiffres d’Eurostat ont révélé un effritement de 0,4% de l’activité économique dans la zone euro au deuxième trimestre ; en glissement annuel (-0,2 % par rapport au premier trimestre).
L’Insee avait par ailleurs indiqué que la croissance a été nulle en France au deuxième trimestre et ce, pour le troisième trimestre consécutif.
Seul point positif de la matinée, le nombre de Britanniques sans emploi est tombé à son niveau le plus bas depuis près d'un an sur les trois mois à fin juin. Le taux de chômage s'est établi à 8,0%, son niveau le plus bas depuis les trois mois à fin juillet 2011, alors que les économistes avaient tablé sur un taux inchangé à 8,1%.
Du côté des valeurs, les cycliques s’inscrivaient dans le rouge mercredi. A mi-séance, ArcelorMittal abandonnait 2,27%, tandis que Lafarge et Vallourec cédaient 1,55% et 1,36% respectivement.
Lafarge semble avoir également pâti des prévisions de son concurrent suisse Holcim, publiées plus tôt mercredi. Le deuxième cimentier mondial anticipe, en effet un repli du marché européen dans les mois à venir, surtout dans le sud de la région, ou des plans d’austérité très stricts ont dû être mis en œuvre.
Egalement dans le rouge, EADS reculait de 0,51% en milieu de séance, plombé par les révélations du Financial Times datant de mardi et selon lesquelles plusieurs dirigeants du groupe avaient été alertés il y a cinq ans de paiements suspects et de cadeaux faits à la famille régnante en Arabie Saoudite de la part d'une filiale actuellement sous le coup d'une enquête pénale britannique.
A l’inverse, le groupe Accor affichait un rebond de 0,44% en milieu de journée. La chaîne hôtelière a, par ailleurs, été classée au 8ème rang des entreprises où il fait bon travailler au Brésil, selon une enquête de l'institut "Great Place to Work".
Les banques évoluaient en ordre dispersé à mi-séance. BNP Paribas pliait de 0,30%, tandis que Société Générale et Crédit Agricole s’appréciaient de 0,37% et de 0,74% respectivement.
Selon le quotidien Les Echos, BNP Paribas aurait l’intention de vendre son activité de détail en Egypte, où la banque est installée depuis 35 ans.
Sa filiale de 67 agences intéresserait plusieurs groupes dont les banques du Golfe National Bank of Abu Dhabi et Qatar National Bank, rapportait à son tour l’agence Reuters. La banque devrait inviter dans les quinze jours les candidats à déposer une offre préliminaire pour sa filiale qui pourrait lui rapporter jusqu’à 400 millions de dollars, précise le journal.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,42%, le DAX reculait de 0,45% et le Footsie 100 pliait de 0,46%.
Plusieurs indicateurs américains étaient attendus plus tard dans la journée, dont l'inflation en juillet et l'enquête sur l'activité manufacturière Empire State d'août, suivies des flux nets de capitaux en juin, de la production industrielle en juillet et de l'indice NAHB sur la confiance des promoteurs immobiliers en août.