Les records pleuvent mais ce lundi constitue une journée absolument historique puisque ce sont au final 5, et non pas 4 indices majeurs, qui pulvérisent des records historiques absolus.
En plus du Dow Jones, S&P500, Nasdaq, Russel-2000, le 'Dow Transport' s'impose comme la 5ème pièce du quinté avec une envolée in extremis (dernier quart d'heure) vers 9.475 contre 9.469 le 26 janvier en clôture.
Pour en revenir aux 3 principaux indices historiques, le Dow Jones s'adjuge +0,7% à 20.412 (contre 20.441 au plus haut), le Nasdaq prend 0,52% à 5.763 (5.771 au plus haut).
Le S&P500 prend également 0,52% à 2.323 et sa capitalisation franchit pour la toute première fois de l'histoire les 20.000Mds$, dépassant de plus en plus nettement le PIB des Etats Unis (19.000Mds$ fin 2016), une situation également hors norme.
En rajoutant les milliers de valeurs du Nasdaq composite et du Russel-2000, la capitalisation globale des valeurs américaines devance d'environ +20% le PIB US, témoignant de la généralisation de PER stratosphériques.
Le Russel-2000 affiche +16,5% depuis l'élection de Donald trump contre 'seulement' +11,5% pour le Nasdaq (grâce à des 'GAFA' en ébullition).
Ce dernier a établi un 5ème record consécutif de clôture, un 9ème depuis que Donald Trump est officiellement président et un 23ème depuis son élection: cela lui fait un record de plus que le Dow Jones.
Le Nasdaq doit en grande partie sa marche triomphale à l'ascension d'Apple (NASDAQ:AAPL) qui inscrit un nouveau record absolu de clôture, au contact des 133,2$, quelques fractions au-dessus du précédent 'plus haut' qui remontait au 23 février 2015 (le titre avait fini à 133,00$).
Apple a gagné +20% depuis le 9 novembre et +44% depuis le 11/02/2016.
La question que les commentateurs US ne se posent pas, c'est: 'quel est le catalyseur de ce rallye' en ce lundi 13 février.
La réponse c'est: les investisseurs achètent (les yeux 'wide shut') le 'projet fiscal sensationnel' promis par Donald trump.
Dès lors, peu importe que la séance fut un désert en terme de statistiques (rien au calendrier), de déclarations de banquiers centraux (aucune avant mardi pour Janet Yellen qui planchera devant le Congrès), de tweets présidentiels (Donald trump s'est abstenu alors qu'il reçoit Justin Trudeau à la Maison Blanche) et de résultats trimestriels (pratiquement rien au programme).
Parmi les titres les plus travaillés, outre Apple, on notait Intel (NASDAQ:INTC) +1,3%, Amazon (NASDAQ:AMZN) +2,2% à 793$, puis les banques avec Bank of America +1,4%, Goldman Sachs +1,5%, Citigroup +2,3%.
Parmi les quelques perdants, on remarquait Gap -3%, Expedia -2,6%, News Corp -1,8%, Nordstrom -1,4% et un peu détaché du peloton, Nvidia à -4,6%.
Le secteur des valeurs pétrolière -plombé par un baril en recul de -1,9% à 52,9$- fut l'un des seuls à clôturer franchement dans le rouge avec de nombreux écarts allant de -1,5% à -2% (Anadarko (NYSE:APC) et Range lâchant -1,8%).
Copyright (c) 2017 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
En plus du Dow Jones, S&P500, Nasdaq, Russel-2000, le 'Dow Transport' s'impose comme la 5ème pièce du quinté avec une envolée in extremis (dernier quart d'heure) vers 9.475 contre 9.469 le 26 janvier en clôture.
Pour en revenir aux 3 principaux indices historiques, le Dow Jones s'adjuge +0,7% à 20.412 (contre 20.441 au plus haut), le Nasdaq prend 0,52% à 5.763 (5.771 au plus haut).
Le S&P500 prend également 0,52% à 2.323 et sa capitalisation franchit pour la toute première fois de l'histoire les 20.000Mds$, dépassant de plus en plus nettement le PIB des Etats Unis (19.000Mds$ fin 2016), une situation également hors norme.
En rajoutant les milliers de valeurs du Nasdaq composite et du Russel-2000, la capitalisation globale des valeurs américaines devance d'environ +20% le PIB US, témoignant de la généralisation de PER stratosphériques.
Le Russel-2000 affiche +16,5% depuis l'élection de Donald trump contre 'seulement' +11,5% pour le Nasdaq (grâce à des 'GAFA' en ébullition).
Ce dernier a établi un 5ème record consécutif de clôture, un 9ème depuis que Donald Trump est officiellement président et un 23ème depuis son élection: cela lui fait un record de plus que le Dow Jones.
Le Nasdaq doit en grande partie sa marche triomphale à l'ascension d'Apple (NASDAQ:AAPL) qui inscrit un nouveau record absolu de clôture, au contact des 133,2$, quelques fractions au-dessus du précédent 'plus haut' qui remontait au 23 février 2015 (le titre avait fini à 133,00$).
Apple a gagné +20% depuis le 9 novembre et +44% depuis le 11/02/2016.
La question que les commentateurs US ne se posent pas, c'est: 'quel est le catalyseur de ce rallye' en ce lundi 13 février.
La réponse c'est: les investisseurs achètent (les yeux 'wide shut') le 'projet fiscal sensationnel' promis par Donald trump.
Dès lors, peu importe que la séance fut un désert en terme de statistiques (rien au calendrier), de déclarations de banquiers centraux (aucune avant mardi pour Janet Yellen qui planchera devant le Congrès), de tweets présidentiels (Donald trump s'est abstenu alors qu'il reçoit Justin Trudeau à la Maison Blanche) et de résultats trimestriels (pratiquement rien au programme).
Parmi les titres les plus travaillés, outre Apple, on notait Intel (NASDAQ:INTC) +1,3%, Amazon (NASDAQ:AMZN) +2,2% à 793$, puis les banques avec Bank of America +1,4%, Goldman Sachs +1,5%, Citigroup +2,3%.
Parmi les quelques perdants, on remarquait Gap -3%, Expedia -2,6%, News Corp -1,8%, Nordstrom -1,4% et un peu détaché du peloton, Nvidia à -4,6%.
Le secteur des valeurs pétrolière -plombé par un baril en recul de -1,9% à 52,9$- fut l'un des seuls à clôturer franchement dans le rouge avec de nombreux écarts allant de -1,5% à -2% (Anadarko (NYSE:APC) et Range lâchant -1,8%).
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