Investing.com - L'euro a engrangé plus de 1% face au yen ce lundi après-midi, atteignant ainsi un pic de cinq mois et demi, ce dernier se trouvant en large difficulté, la faiblesse du commerce extérieur nippon ayant renforcé l'hypothèse d'injections de liquidités dès ce mois-ci de la part de son émettrice.
La paire EUR/JPY est montée jusqu'à 104.4 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 8 mai, puis s'est stabilisée vers 104.36, raflant 1.04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 103.12, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 105.56, son plafond du 4 mai.
La devise nippone était en effet sur la sellette après que les piètres résultats des échanges internationaux de l'archipel soient venus conforter les rumeurs d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon, qui filaient déjà bon train dans l'expectative de sa réunion du 30 octobre.
Une étude a en effet montré ce matin que le déficit de la balance commerciale nationale s'était élevé en septembre sans crier gare de 558.6 milliards de JPY après ajustement saisonnier, les exportations subissant en septembre un passage à vide inattendu de 10.3% par rapport à l'année précédente, leur pire effondrement depuis mai 2011, deux mois après la triple catastrophe ayant mis le pays à genoux.
La monnaie unique a pour sa part retrouvé des couleurs après que les élections régionales de l'Espagne aient semblé montrer un soutien des électeurs à la politique d'austérité menée par le premier ministre Mariano Rajoy.
Le Parti Populaire de centre droit dirigé par ce dernier a en effet renforcé hier sa majorité dans son fief de Galice, éliminant du même coup un obstacle possible à son appel à l'aide auprès de ses partenaires de la zone euro.
Une telle décision permettrait du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts des emprunts des membres de la périphérie du bloc.
Il avait cependant déclaré vendredi ne toujours pas avoir décidé si il était résigné à accepter la main tendue ou non.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD grignotant 0.37% pour se hisser à 1.307, et s'est rapprochée d'un sommet de quatre mois contre la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.11% pour s'élever à 0.8144.
Une étude officielle a quand à elle révélé à la mi-journée que le déficit budgétaire de la zone euro était tombé l'année passée à 4.1% du produit intérieur brut, contre 6.2% en 2010, la première année de la crise de la dette régionale, mais que l'endettement public avait tout de même augmenté.
La paire EUR/JPY est montée jusqu'à 104.4 en début de seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 8 mai, puis s'est stabilisée vers 104.36, raflant 1.04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 103.12, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 105.56, son plafond du 4 mai.
La devise nippone était en effet sur la sellette après que les piètres résultats des échanges internationaux de l'archipel soient venus conforter les rumeurs d'accomodements supplémentaires de la part de la Banque du Japon, qui filaient déjà bon train dans l'expectative de sa réunion du 30 octobre.
Une étude a en effet montré ce matin que le déficit de la balance commerciale nationale s'était élevé en septembre sans crier gare de 558.6 milliards de JPY après ajustement saisonnier, les exportations subissant en septembre un passage à vide inattendu de 10.3% par rapport à l'année précédente, leur pire effondrement depuis mai 2011, deux mois après la triple catastrophe ayant mis le pays à genoux.
La monnaie unique a pour sa part retrouvé des couleurs après que les élections régionales de l'Espagne aient semblé montrer un soutien des électeurs à la politique d'austérité menée par le premier ministre Mariano Rajoy.
Le Parti Populaire de centre droit dirigé par ce dernier a en effet renforcé hier sa majorité dans son fief de Galice, éliminant du même coup un obstacle possible à son appel à l'aide auprès de ses partenaires de la zone euro.
Une telle décision permettrait du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts des emprunts des membres de la périphérie du bloc.
Il avait cependant déclaré vendredi ne toujours pas avoir décidé si il était résigné à accepter la main tendue ou non.
La devise européenne a par ailleurs gagné du terrain sur le dollar U.S. avec un couple EUR/USD grignotant 0.37% pour se hisser à 1.307, et s'est rapprochée d'un sommet de quatre mois contre la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0.11% pour s'élever à 0.8144.
Une étude officielle a quand à elle révélé à la mi-journée que le déficit budgétaire de la zone euro était tombé l'année passée à 4.1% du produit intérieur brut, contre 6.2% en 2010, la première année de la crise de la dette régionale, mais que l'endettement public avait tout de même augmenté.