Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse ce mardi, au lendemain d'un rebond les ayant propulsées au-dessus de la barre des 100 USD du baril, les investisseurs attendant une réunion des ministres des finances de la zone euro à bruxelles devant se dérouler en cours de journée.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 97.74 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.48%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 97.23 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.65% de fléchissement.
Les ministres des finances des 17 pays membres de la zone euro devraient se rencontrer aujourd'hui à Bruxelles afin d'évoquer la crise financière secouant actuellement la région, l'augmentation de la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen ainsi que l'attribution probable de la nouvelle tranche d'aides à la Grèce.
L'Italie a quand à elle prévu de mettre aux enchères jusqu'à 8 milliards d'euros en obligations à dix ans, ce qui devrait constituer un test crucial de l'attractivité des dettes nationales.
Leurs taux se situaient à 7.38% avant la vente, se rapprochant dangereusement de son pic historique à 7.46% du 9 novembre, du jamais vu depuis la mise en place de la monnaie unique.
Le journal français La Tribune a pour sa part fait savoir dans la matinée que l'agence Standard & Poor's pourrait placer sa notation triple A de la France sous une perspective négative d'ici une semaine à 10 jours.
L'article citait plusieurs sources anonymes, et affirmait que la décision devrait être prise "rapidement".
Sa collègue Fitch a quand à elle passé son appréciation monétaire des Etats-Unis sous une perspective négative, après que le comité parlementaire ait échoué à dégager un consensus concernant la réduction des déficits, attisant les angoisses pesant sur les perspectives économiques mondiales.
Elle a accordé au pays jusqu'à 2013 pour établir un "plan crédible" de lutte contre ses déficits budgétaires, ou risquer une révision à la baisse de sa note AAA.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs d'or noir au monde, et la zone euro le troisième, l'ensemble représentant, d'après les informations de British Petroleum, près de 39% de la consommation de la planète.
Les cours s'étaient envolés hier jusqu'à 100.73 USD, s'étant trouvés tirés vers le haut par l'espoir d'un accord des dirigeants européens pour endiguer la crise de la dette souveraine de la zone euro et la peur d'une perturbation des approvisionnements provenant de l'Iran.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont reculé de 0.&5% pour glisser à 108.84 USD du baril dans le même temps, soit 11.1 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La National Oil Corporation, compagnie pétrolière d'état libyenne, a déclaré hier que la production quotidienne nationale dépassait à présent les 750 000 barils, contre environ 1.6 millions vant l'éclatement de la guerre civile ayant touché le pays en début d'année.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour janvier se sont échangés à 97.74 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.48%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 97.23 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 0.65% de fléchissement.
Les ministres des finances des 17 pays membres de la zone euro devraient se rencontrer aujourd'hui à Bruxelles afin d'évoquer la crise financière secouant actuellement la région, l'augmentation de la puissance de feu du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen ainsi que l'attribution probable de la nouvelle tranche d'aides à la Grèce.
L'Italie a quand à elle prévu de mettre aux enchères jusqu'à 8 milliards d'euros en obligations à dix ans, ce qui devrait constituer un test crucial de l'attractivité des dettes nationales.
Leurs taux se situaient à 7.38% avant la vente, se rapprochant dangereusement de son pic historique à 7.46% du 9 novembre, du jamais vu depuis la mise en place de la monnaie unique.
Le journal français La Tribune a pour sa part fait savoir dans la matinée que l'agence Standard & Poor's pourrait placer sa notation triple A de la France sous une perspective négative d'ici une semaine à 10 jours.
L'article citait plusieurs sources anonymes, et affirmait que la décision devrait être prise "rapidement".
Sa collègue Fitch a quand à elle passé son appréciation monétaire des Etats-Unis sous une perspective négative, après que le comité parlementaire ait échoué à dégager un consensus concernant la réduction des déficits, attisant les angoisses pesant sur les perspectives économiques mondiales.
Elle a accordé au pays jusqu'à 2013 pour établir un "plan crédible" de lutte contre ses déficits budgétaires, ou risquer une révision à la baisse de sa note AAA.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs d'or noir au monde, et la zone euro le troisième, l'ensemble représentant, d'après les informations de British Petroleum, près de 39% de la consommation de la planète.
Les cours s'étaient envolés hier jusqu'à 100.73 USD, s'étant trouvés tirés vers le haut par l'espoir d'un accord des dirigeants européens pour endiguer la crise de la dette souveraine de la zone euro et la peur d'une perturbation des approvisionnements provenant de l'Iran.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour janvier ont reculé de 0.&5% pour glisser à 108.84 USD du baril dans le même temps, soit 11.1 USD de mieux que leurs homologues américaines.
La National Oil Corporation, compagnie pétrolière d'état libyenne, a déclaré hier que la production quotidienne nationale dépassait à présent les 750 000 barils, contre environ 1.6 millions vant l'éclatement de la guerre civile ayant touché le pays en début d'année.