Investing.com - La livre sterling n'a guère éévolué face au dollar U.S. ce lundi après-midi, les observateurs guettant ce qui émergera de la réunion des ministres des finances européens devant commencer aujourd'hui, dans l'ombre de la crise de la dette de la zone euro et des incertitudes concernant la croissance mondiale.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5428 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5489, grignotant 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5428, son plancher du 7 juin, et de rencontrer de la résistance à 1.5562, son plafond du 14.
L'atmosphère demeurait tendue, le taux des obligations décennales espagnoles s'étant pour sa part situé à 7.11% ce matin, repassant au-dessus du seuil critique des 7% généralement considéré intenable sur le long terme, dans l'attente d'une rencontre des chargés des finances du bloc euro prévue en cours de journée.
Celle-ci devrait porter sur le plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.
Les craintes concernant l'état de santé de l'économie mondiale demeuraient fortes suite aux résultats décevants des Etats-Unis et de la Chine.
Des chiffres officiels avaient montré vendredi que l'économie des Etats-Unis n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés, échouant pour le troisième mois consécutif à atteindre le seuil des 100 000 postes.
D'autres, émanant des autorités chinoises, avaient souligné en début de journée que l'inflation des prix à la consommation du pays s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ranimant l'angoisse d'un coup de frein plus important que pressenti de la croissance de l'économie nationale.
Le premier ministre Wen Jiabao avait déclaré en fin de semaine que celle-ci devait faire face à des risques baissiers "relativement importants" à court terme.
La devise de la Grande-Bretagne se maintenait par contre aux abords d'un pic de trois ans et demi contre l'euro, bien que l'EUR/GBP ait arraché 0.05% pour se hisser à 0.7938.
Il avait d'autre part été indiqué ce matin que la confiance des investisseurs dans la zone euro avait reculé en juillet jusqu'à son pire niveau depuis le même mois de l'année 2009, constituant du même coup son douzième mois d'affilée en territoire négatif.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet vu son baromètre de celle-ci passer de -28.9 en juin à -29.6.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait de son côté témoigner cet après-midi à Bruxelles devant le parlement européen.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1.5428 en seconde partie de séance européenne, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5489, grignotant 0.01%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5428, son plancher du 7 juin, et de rencontrer de la résistance à 1.5562, son plafond du 14.
L'atmosphère demeurait tendue, le taux des obligations décennales espagnoles s'étant pour sa part situé à 7.11% ce matin, repassant au-dessus du seuil critique des 7% généralement considéré intenable sur le long terme, dans l'attente d'une rencontre des chargés des finances du bloc euro prévue en cours de journée.
Celle-ci devrait porter sur le plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.
Les craintes concernant l'état de santé de l'économie mondiale demeuraient fortes suite aux résultats décevants des Etats-Unis et de la Chine.
Des chiffres officiels avaient montré vendredi que l'économie des Etats-Unis n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés, échouant pour le troisième mois consécutif à atteindre le seuil des 100 000 postes.
D'autres, émanant des autorités chinoises, avaient souligné en début de journée que l'inflation des prix à la consommation du pays s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ranimant l'angoisse d'un coup de frein plus important que pressenti de la croissance de l'économie nationale.
Le premier ministre Wen Jiabao avait déclaré en fin de semaine que celle-ci devait faire face à des risques baissiers "relativement importants" à court terme.
La devise de la Grande-Bretagne se maintenait par contre aux abords d'un pic de trois ans et demi contre l'euro, bien que l'EUR/GBP ait arraché 0.05% pour se hisser à 0.7938.
Il avait d'autre part été indiqué ce matin que la confiance des investisseurs dans la zone euro avait reculé en juillet jusqu'à son pire niveau depuis le même mois de l'année 2009, constituant du même coup son douzième mois d'affilée en territoire négatif.
L'institut de recherches économiques Sentix a en effet vu son baromètre de celle-ci passer de -28.9 en juin à -29.6.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, devrait de son côté témoigner cet après-midi à Bruxelles devant le parlement européen.