Investing.com - Le dollar U.S. prenait à peine le dessus face à la plupart de ses concurrents ce jeudi matin, laissant l'avantage au yen mais culminant à son meilleur niveau en plusieurs mois contre son homologue européen, qui subissait de mauvaises nouvelles et les incertitudes concernant Chypre, encourageant les valeurs refuge.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.23% pour tomber à 1.2903, aux abords d'une ornière de quatre mois.
La monnaie unique a en effet perdu des plumes après qu'il ait été révélé que l'activité des usines là où il a cours avait plongé en mars au plus bas du trimestre.
L'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la région a ainsi plongé depuis 47.9 vers 46.6 après ajustement saisonnier, au lieu des 48.2 espérés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 47.9 vers 46.5 dans le même temps.
L'Allemagne a vu son premier sombrer de 50.3 à 48.9, alors que ses services connaissaient leur plus faible expansion en quatre mois.
La France voyait par contre le sien rester stable à 43.9, alors que son second sombrait à 41.9, son niveau le plus bas en 49 mois.
Les turbulences dans le bloc se prolongeaient, sur fond de négociations destinées à trouver une alternative au plan de sauvetage international à hauteur de 10 milliards d'euros, entravé mardi par le refus du parlement chypriote d'un prélèvement sur les comptes bancaires.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY glissant de 0.73% pour déraper à 95.3.
Les observateurs guettaient une conférence de presse imminente d'Haruhiko Kuroda, qui devrait rappeller que la Banque du Japon, dont il est le nouveau gouverneur, se prépare à des assouplissements plus musclés afin de lutter contre la déflation et donner un coup de fouet à la croissance.
L'unité monétaire nippone avait retrouvé des couleurs à l'aube, après qu'il ait été montré que le déficit du commerce extérieur là où elle a cours s'était limité de 1.63 billions de JPY à 777.5 milliards pour février, au lieu des 1.01 billions redoutés.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0.28% pour se hisser à 1.5139.
Le franc suisse a cependant subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0.09% pour culminer à 0.9459.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.13% pour aller vers 1.0246, l'AUD/USD raflant 0.16% pour monter à 1.0394 et le NZD/USD empochant 0.84% pour culminer à 0.8290.
Les devises dépendantes de la croissance avaient repris des couleurs après qu'il ait été noté que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC avait grimpé depuis 50.4 vers 51.7 pour mars, indiquant du coup que la relance de la seconde économie mondiale était toujours sur les rails.
Celle de la Nouvelle-Zélande profitait aussi d'une étude obbicielle montrant une croissance nationale de 1.5% au quatrième trimestre, au lieu des 0.9% espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a frémi de 0.02% pour se situer à 83.03.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'un autre sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie, tandis que les experts en immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements d'occasion.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.23% pour tomber à 1.2903, aux abords d'une ornière de quatre mois.
La monnaie unique a en effet perdu des plumes après qu'il ait été révélé que l'activité des usines là où il a cours avait plongé en mars au plus bas du trimestre.
L'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la région a ainsi plongé depuis 47.9 vers 46.6 après ajustement saisonnier, au lieu des 48.2 espérés.
Celui du tertiaire suivait le même chemin, passant de 47.9 vers 46.5 dans le même temps.
L'Allemagne a vu son premier sombrer de 50.3 à 48.9, alors que ses services connaissaient leur plus faible expansion en quatre mois.
La France voyait par contre le sien rester stable à 43.9, alors que son second sombrait à 41.9, son niveau le plus bas en 49 mois.
Les turbulences dans le bloc se prolongeaient, sur fond de négociations destinées à trouver une alternative au plan de sauvetage international à hauteur de 10 milliards d'euros, entravé mardi par le refus du parlement chypriote d'un prélèvement sur les comptes bancaires.
Il n'en était pas de même avec le yen, l'USD/JPY glissant de 0.73% pour déraper à 95.3.
Les observateurs guettaient une conférence de presse imminente d'Haruhiko Kuroda, qui devrait rappeller que la Banque du Japon, dont il est le nouveau gouverneur, se prépare à des assouplissements plus musclés afin de lutter contre la déflation et donner un coup de fouet à la croissance.
L'unité monétaire nippone avait retrouvé des couleurs à l'aube, après qu'il ait été montré que le déficit du commerce extérieur là où elle a cours s'était limité de 1.63 billions de JPY à 777.5 milliards pour février, au lieu des 1.01 billions redoutés.
Le billet vert a par contre cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD grimpant de 0.28% pour se hisser à 1.5139.
Le franc suisse a cependant subi sa pression, l'USD/CHF grignotant 0.09% pour culminer à 0.9459.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD régressant de 0.13% pour aller vers 1.0246, l'AUD/USD raflant 0.16% pour monter à 1.0394 et le NZD/USD empochant 0.84% pour culminer à 0.8290.
Les devises dépendantes de la croissance avaient repris des couleurs après qu'il ait été noté que l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier de la Chine établi par HSBC avait grimpé depuis 50.4 vers 51.7 pour mars, indiquant du coup que la relance de la seconde économie mondiale était toujours sur les rails.
Celle de la Nouvelle-Zélande profitait aussi d'une étude obbicielle montrant une croissance nationale de 1.5% au quatrième trimestre, au lieu des 0.9% espérés.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a frémi de 0.02% pour se situer à 83.03.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'un autre sur l'activité manufacturière dans la région de Philadelphie, tandis que les experts en immobilier divulgueront le nombre des ventes de logements d'occasion.