Investing.com - Les options sur le brut étaient sur la défensive ce vendredi matin, les opérateurs encaissant leurs plus-values découlant de l'ascension d'hier, entraînée par les bonnes surprises provenant du front de l'emploi et de l'état des réserves des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 107,72 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0,0ç%.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 24.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 13 juillet, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 13.000 pour les amener à 345.000 était espérée, renforçant le billet vert.
L'Agence américaine d'Information sur l'Energie a ainsi déclaré hier que les stocks d'or noir avaient vu la soustraction de 6,9 millions de barils la semaine passée, au lieu des 2 millions attendus.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a quand à lui rappelé jeudi que la politique monétaire demeurerait fortement assouplie, même en cas de diminution de ses injections de liquidités.
Il tenait ses propos lors du second jour de son audition semestrielle devant les élus du pays.
Il avait déjà déclaré la veille qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il avait aussi assuré que ses rachats d'actifs pourraient diminuer plus ou moins vite, voire augmenter temporairement en fonction de l'évolution de la situation économique.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont laissé échapper 0,01% pour reprendre pied à 108,68 USD du baril dans le même temps, soit seulement 0,96 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour septembre se sont échangés à 107,72 USD le baril en première partie de séance européenne, trébuchant de 0,0ç%.
Le département d'état au travail américain a en effet dénombré 24.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 13 juillet, pour un total hebdomadaire de 334.000 après correction saisonnière, alors qu'une soustraction de 13.000 pour les amener à 345.000 était espérée, renforçant le billet vert.
L'Agence américaine d'Information sur l'Energie a ainsi déclaré hier que les stocks d'or noir avaient vu la soustraction de 6,9 millions de barils la semaine passée, au lieu des 2 millions attendus.
Le pays garde sa première part dans la demande globale, avec près de 22%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a quand à lui rappelé jeudi que la politique monétaire demeurerait fortement assouplie, même en cas de diminution de ses injections de liquidités.
Il tenait ses propos lors du second jour de son audition semestrielle devant les élus du pays.
Il avait déjà déclaré la veille qu'elle s'attendait à rendre ses coups de pouce plus modestes d'ici la fin de l'année, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il avait aussi assuré que ses rachats d'actifs pourraient diminuer plus ou moins vite, voire augmenter temporairement en fonction de l'évolution de la situation économique.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour septembre ont laissé échapper 0,01% pour reprendre pied à 108,68 USD du baril dans le même temps, soit seulement 0,96 USD de mieux que leurs homologues américaines.