Investing.com - Les options sur le brut étaient à la baisse pour la première fois en trois jours ce mercredi, sur fond de persistance des craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro, et après que des chiffres émanant de spécialistes aient mis en évidence pour la semaine passée la plus forte hausse des réserves américaines en plus d'un mois.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 83.69 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 0.96%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 82.67 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 1.5% de fléchissement.
Le moral des observateurs s'est trouvé malmené par les rumeurs de divisions au sein du bloc euro à propos de la prochaine tranche des 109 milliards d'euros du second plan de secours à la Grèce, en raison de l'inquiétude causée par la nette hausse des besoins financiers du pays des derniers mois.
Le parlement finlandais a quand à lui prévu de voter aujourd'hui à propos d'un élargissement potentiel du fonds de secours européen, aggravant la nervosité des investisseurs.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celles-ci ont de fortes chances de montrer une augmentation de 1 million de barils des premières, et de 1.1 millions des secondes.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain dévoilés après la clôture d'hier avaient quand à eux évalué la progression des stocks à 560 000 barils de brut pour la semaine passée, tandis que l'essence engrangeait pas moins de 4.6 millions de barils, attisant l'angoisse d'un affaiblissement de la demande en essence nationale.
Les Etats-Unis représentent 21% des besoins mondiaux en 2011, et l'Union Européenne 16%, si on en croit les chiffres de British Petroleum.
Quelques achats d'opportunité ont également eu lieu, suite aux 5.3% de rebond de mardi, malgré les incertitudes à propos de la croissance mondiale.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont engrangé 2.66% pour grimper à106.7 USD du baril dans le même temps, soit 23.01 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Cette poussée du Brent est survenue après que Royal Dutch Shell ait diminué de 25 000 barils quotidiens sa production au nigeriane, tandis que celle de la Libye n'avait pas encore été mise sur le marché.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 83.69 USD le baril en première partie de séance européenne, plongeant de 0.96%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 82.67 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 1.5% de fléchissement.
Le moral des observateurs s'est trouvé malmené par les rumeurs de divisions au sein du bloc euro à propos de la prochaine tranche des 109 milliards d'euros du second plan de secours à la Grèce, en raison de l'inquiétude causée par la nette hausse des besoins financiers du pays des derniers mois.
Le parlement finlandais a quand à lui prévu de voter aujourd'hui à propos d'un élargissement potentiel du fonds de secours européen, aggravant la nervosité des investisseurs.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
Celles-ci ont de fortes chances de montrer une augmentation de 1 million de barils des premières, et de 1.1 millions des secondes.
Les chiffres émanant des experts de l'institut pétrolier américain dévoilés après la clôture d'hier avaient quand à eux évalué la progression des stocks à 560 000 barils de brut pour la semaine passée, tandis que l'essence engrangeait pas moins de 4.6 millions de barils, attisant l'angoisse d'un affaiblissement de la demande en essence nationale.
Les Etats-Unis représentent 21% des besoins mondiaux en 2011, et l'Union Européenne 16%, si on en croit les chiffres de British Petroleum.
Quelques achats d'opportunité ont également eu lieu, suite aux 5.3% de rebond de mardi, malgré les incertitudes à propos de la croissance mondiale.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont engrangé 2.66% pour grimper à106.7 USD du baril dans le même temps, soit 23.01 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Cette poussée du Brent est survenue après que Royal Dutch Shell ait diminué de 25 000 barils quotidiens sa production au nigeriane, tandis que celle de la Libye n'avait pas encore été mise sur le marché.