Investing.com - Les options sur le brut étaient en régression pour la seconde journée consécutive ce mercredi, après que le compte-rendu de la réunion de la Réserve Fédérale de mars ait réduit l'attente de nouvelles mesures stimulatrices destinées à donner un coup de fouet à la croissance des Etats-Unis, tandis que le gonflement des réserves du pays faisait planer l'inquiétude.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 103.49 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.5%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 103.43 USD, leur cours le plus bas des deux derniers jours, avec 0.6% de fléchissement.
Le procès-verbal diffusé hier de la plus récente réunion du comité fédéral des marchés ouverts avait laissé entendre que la banque centrale américaine avait peu de chances de mettre en place davaantage de mesures destinées à stimuler l'économie américaine à court terme.
Lors de leur discussion concernant l'économie, ils ont estimé qu'elle était "légèrement plus forte", mais que cela n'était pas significatif.
Les places boursières, les matières premières et les monnaies liées à la croissance ont toutes dérapé après ces révélations, tandis que le dollar U.S. réalisait un pic, les observateurs estimant que la Réserve Fédérale avait peu de chances d'acquérir de nouveaux actifs.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.25% de son côté pour se situer à 79.73, son plus haut niveau depuis le 26 mars.
Les yeux seront tournés en fin de semaine vers les chiffres de l'emploi non agricole aux Etats-Unis, qui devraient apporter un éclairage nouveau sur le force de l'économie du pays et ses éventuels besoins en soutien.
Les experts en pétrole gardent toujours un oeil sur celui-ci, qui demeure l'indicateur le plus fiable de l'état du marché du travail américain.
Ils guettaient également l'inventaire hebdomadaire très attendu des réserves de pétrole brut et raffiné établi par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis.
Celui-ci devrait indiquer que les stocks d'or noir ont bondi de 2.1 millinos de barils la semaine dernière, pour se hisser à leur niveau le plus élevé depuis août, soulignant les inquiétudes concernant un éventuel ralentissement de la demande américaine.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain avaient publié le leur après la clôture d'hier, et affirmé qu'elles avaient engrangé 7.85 millions de barils dans le même temps, pulvérisant largement les 2.21 millions attendus.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde, avec 22% des besoins mondiaux, et leurs performances manufacturières reflètent généralement la tendance de leur demande future.
La déclaration de l'Arabie saoudite selon laquelle celle-ci maintiendrait une production elevée même en cas de recours aux réserves stratégiques a également contribué à tirer les prix vers le bas.
Les acteurs du marché pétrolier doivent désormais tennir compte de l'engagement saoudien à compenser tout manque à gagner en cas d'absennce du pétrole iranien pouvant découler du durcissement des sanctions des pays occidentaux envers Téhéran suite à la controverse portant sur son programme nucléaire.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont glissé de 0.15% pour chuter à 124.66 USD du baril dans le même temps, soit 21.27 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus important depuis octobre dernier.
Elles bénéficiaient du soutien des chances de limitation des approvisionnements en provenance de la Mer du Nord, mais aussi des craintes d'interruption des livraisons du Sud Soudan et de la région irakienne du Kurdistan.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour mai se sont échangés à 103.49 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 0.5%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 103.43 USD, leur cours le plus bas des deux derniers jours, avec 0.6% de fléchissement.
Le procès-verbal diffusé hier de la plus récente réunion du comité fédéral des marchés ouverts avait laissé entendre que la banque centrale américaine avait peu de chances de mettre en place davaantage de mesures destinées à stimuler l'économie américaine à court terme.
Lors de leur discussion concernant l'économie, ils ont estimé qu'elle était "légèrement plus forte", mais que cela n'était pas significatif.
Les places boursières, les matières premières et les monnaies liées à la croissance ont toutes dérapé après ces révélations, tandis que le dollar U.S. réalisait un pic, les observateurs estimant que la Réserve Fédérale avait peu de chances d'acquérir de nouveaux actifs.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.25% de son côté pour se situer à 79.73, son plus haut niveau depuis le 26 mars.
Les yeux seront tournés en fin de semaine vers les chiffres de l'emploi non agricole aux Etats-Unis, qui devraient apporter un éclairage nouveau sur le force de l'économie du pays et ses éventuels besoins en soutien.
Les experts en pétrole gardent toujours un oeil sur celui-ci, qui demeure l'indicateur le plus fiable de l'état du marché du travail américain.
Ils guettaient également l'inventaire hebdomadaire très attendu des réserves de pétrole brut et raffiné établi par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis.
Celui-ci devrait indiquer que les stocks d'or noir ont bondi de 2.1 millinos de barils la semaine dernière, pour se hisser à leur niveau le plus élevé depuis août, soulignant les inquiétudes concernant un éventuel ralentissement de la demande américaine.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain avaient publié le leur après la clôture d'hier, et affirmé qu'elles avaient engrangé 7.85 millions de barils dans le même temps, pulvérisant largement les 2.21 millions attendus.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde, avec 22% des besoins mondiaux, et leurs performances manufacturières reflètent généralement la tendance de leur demande future.
La déclaration de l'Arabie saoudite selon laquelle celle-ci maintiendrait une production elevée même en cas de recours aux réserves stratégiques a également contribué à tirer les prix vers le bas.
Les acteurs du marché pétrolier doivent désormais tennir compte de l'engagement saoudien à compenser tout manque à gagner en cas d'absennce du pétrole iranien pouvant découler du durcissement des sanctions des pays occidentaux envers Téhéran suite à la controverse portant sur son programme nucléaire.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour mai ont glissé de 0.15% pour chuter à 124.66 USD du baril dans le même temps, soit 21.27 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus important depuis octobre dernier.
Elles bénéficiaient du soutien des chances de limitation des approvisionnements en provenance de la Mer du Nord, mais aussi des craintes d'interruption des livraisons du Sud Soudan et de la région irakienne du Kurdistan.