Investing.com - Les options sur l'or étaient en progression pour la seconde journée consécutive ce mercredi, retrouvant un peu de leur rôle de valeur refuge sur fond de craintes grandissantes concernant les perspectives économiques mondiales.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 706.85 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.38%.
Ils avaient précédement culminé à 1 710.75 USD, leur pire cours des deux derniers jours, avec 0.61% d'augmentation.
L'or est généralement considéré comme une valeur sûre pendant les périodes de grandes turbulences financières, évoluant pourtant ces derniers mois de manière semblable aux actifs plus risqués comme les actions et les matières premières industrielles, mais cette parallélité a enfin cessé, le métal précieux revenant sur les talons du dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.35% de son côté pour se situer à 78.68.
La frilosité est revenue après que des journaux belges aient rapporté que la Belgique et la France tenaient de nouvelles négociations concernant un plan de secours déjà en place pour la banque Dexia, en grande difficulté, attisant la crainte que la France ne doive y tenir un rôle plus important.
Cette nouvelle a donné du grain à moudre à ceux craignant que la notation triple A de la seconde économie régionale ne soit en danger.
Les investisseurs ont également vu leur nervosité aggravée par l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois, dérapant vers 48, valeur dénotant une régression, contre 51 en octobre.
Ce pire résultat depuis mars 2009 laissait à craindre un "atterrissage en catastrophe" de la deuxième économie du monde.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a pour sa part revu hier à la baisse son estimation de croissance du produit intérieur brut nationale pour le troisième trimestre, passant de 2.5 à 2%.
Cette performances médiocre a alimenté les rumeurs de nouvelles mesures stimulatrices de la part de la Réserve Fédérale afin de donner un coup de fouet à la progression de l'économie.
LE compte-rendu de sa dernière réunion a d'ailleurs montré hier que quelques décideurs avaient incité son président Ben Bernanke a davantage d'assouplissements.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs plongé de 2.15% pour chuter à 32.23 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont glissé de 1.05% pour se retrouver à 3.298 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 706.85 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0.38%.
Ils avaient précédement culminé à 1 710.75 USD, leur pire cours des deux derniers jours, avec 0.61% d'augmentation.
L'or est généralement considéré comme une valeur sûre pendant les périodes de grandes turbulences financières, évoluant pourtant ces derniers mois de manière semblable aux actifs plus risqués comme les actions et les matières premières industrielles, mais cette parallélité a enfin cessé, le métal précieux revenant sur les talons du dollar U.S.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.35% de son côté pour se situer à 78.68.
La frilosité est revenue après que des journaux belges aient rapporté que la Belgique et la France tenaient de nouvelles négociations concernant un plan de secours déjà en place pour la banque Dexia, en grande difficulté, attisant la crainte que la France ne doive y tenir un rôle plus important.
Cette nouvelle a donné du grain à moudre à ceux craignant que la notation triple A de la seconde économie régionale ne soit en danger.
Les investisseurs ont également vu leur nervosité aggravée par l'indice des directeurs des achats du secteur manufacturier chinois, dérapant vers 48, valeur dénotant une régression, contre 51 en octobre.
Ce pire résultat depuis mars 2009 laissait à craindre un "atterrissage en catastrophe" de la deuxième économie du monde.
Le département d'état au commerce des Etats-Unis a pour sa part revu hier à la baisse son estimation de croissance du produit intérieur brut nationale pour le troisième trimestre, passant de 2.5 à 2%.
Cette performances médiocre a alimenté les rumeurs de nouvelles mesures stimulatrices de la part de la Réserve Fédérale afin de donner un coup de fouet à la progression de l'économie.
LE compte-rendu de sa dernière réunion a d'ailleurs montré hier que quelques décideurs avaient incité son président Ben Bernanke a davantage d'assouplissements.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs plongé de 2.15% pour chuter à 32.23 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont glissé de 1.05% pour se retrouver à 3.298 USD la livre dans le même temps.