Investing.com - Les options sur le brut n'ont que peu progressé ce mercredi, oscillant entre petits gains et légères pertes, tandis que les observateurs attendaient le rapport officiel de la semaine sur les réserves américaines, ainsi que la fin de la réunion des décideurs de la Réserve Fédérale.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 103.67 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.12%.
Ils avaient auparavant hésité entre 103.83 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 103.57 USD, le plus bas.
Les observateurs attendaient aussi l'inventaire hebdomadaires des réserves de pétrole brut et raffiné élaboré par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis était devrait en effet être publié en cours de journée.
Celui-ci devrait montrer une augmentation de 2.65 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, les menant à leur plus haut niveau depuis mai, ravivant la crainte d'une diminution des besoins du pays.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain ont quand à eux estimé après la clôture d'hier qu'elles avaient connu une fonte de 3.64 millions de barils dans le même temps, alors qu'il était attendue qu'elle s'en limite à 680 000.
Les acteurs des marchés guettaient ce qui ressortira dans l'après-midi des deux jours de réunion d'orientation politique de la banque centrale américaine.
Il est en effet attendu qu'elle confirme son intention de maintenir ses taux proches de zéro jusqu'à la fin de l'année 2014, mais son l'attitude concernant d'éventuelles injections de capitaux sera au centre de débats.
Certains espèrent qu'elle pourrait montrer des signes préfigurant une troisième série d'achats d'obligations destinée à soutenir l'économie nationale.
Les précédentes avaient entraîné un affaiblissement du dollar U.S. et une envolée des coûts des actions et des matières premières.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde avec près des 22% de la demande de la planète.
Goldman Sachs, une des banques d'investissement les plus en vue de Wall Street, a fait savoir dans un rapport publié hier que les cours devraient remmonter, la croissance de la demande étant plus rapide que celle de l'offre malgré la ralentissement de l'économie globale.
Elle a par ailleurs continué à recommander les contrats sur le West Texs Intermediate à échéance en septembre.
Les prix étaient remontés hier, avec le soulagement découlant du succès des adjudications de dettes des Pays-Bas d'hier, au lendemain de l'implosion du gouvernement du pays en raison de désaccords sur les coups budétaires à effectuer.
Toute velléité de flambée demeurait jugulée par le fait que les empruts espagnols avaient quand à eux vu leurs coûts quasiment doubler lors d'une manoeuvre similaire, tandis que ceux de l'Italie atteignaient leur plus haut niveau depuis janvier.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont arraché 0.05% pour grimper à 118.22 USD du baril dans le même temps, soit 14.55 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'angoisse d'une perturbation des livraisons contribuait à les soutenir, par peur d'une interruption de la production des puits du champ Buzzard, en Mer du Nord, les plus importants du Royaume-Uni.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 103.67 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 0.12%.
Ils avaient auparavant hésité entre 103.83 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 103.57 USD, le plus bas.
Les observateurs attendaient aussi l'inventaire hebdomadaires des réserves de pétrole brut et raffiné élaboré par l'Agence d'Information sur l'Energie des Etats-Unis était devrait en effet être publié en cours de journée.
Celui-ci devrait montrer une augmentation de 2.65 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, les menant à leur plus haut niveau depuis mai, ravivant la crainte d'une diminution des besoins du pays.
Les spécialistes de l'institut du pétrole américain ont quand à eux estimé après la clôture d'hier qu'elles avaient connu une fonte de 3.64 millions de barils dans le même temps, alors qu'il était attendue qu'elle s'en limite à 680 000.
Les acteurs des marchés guettaient ce qui ressortira dans l'après-midi des deux jours de réunion d'orientation politique de la banque centrale américaine.
Il est en effet attendu qu'elle confirme son intention de maintenir ses taux proches de zéro jusqu'à la fin de l'année 2014, mais son l'attitude concernant d'éventuelles injections de capitaux sera au centre de débats.
Certains espèrent qu'elle pourrait montrer des signes préfigurant une troisième série d'achats d'obligations destinée à soutenir l'économie nationale.
Les précédentes avaient entraîné un affaiblissement du dollar U.S. et une envolée des coûts des actions et des matières premières.
Les Etats-Unis restent les premiers consommateurs de pétrole au monde avec près des 22% de la demande de la planète.
Goldman Sachs, une des banques d'investissement les plus en vue de Wall Street, a fait savoir dans un rapport publié hier que les cours devraient remmonter, la croissance de la demande étant plus rapide que celle de l'offre malgré la ralentissement de l'économie globale.
Elle a par ailleurs continué à recommander les contrats sur le West Texs Intermediate à échéance en septembre.
Les prix étaient remontés hier, avec le soulagement découlant du succès des adjudications de dettes des Pays-Bas d'hier, au lendemain de l'implosion du gouvernement du pays en raison de désaccords sur les coups budétaires à effectuer.
Toute velléité de flambée demeurait jugulée par le fait que les empruts espagnols avaient quand à eux vu leurs coûts quasiment doubler lors d'une manoeuvre similaire, tandis que ceux de l'Italie atteignaient leur plus haut niveau depuis janvier.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont arraché 0.05% pour grimper à 118.22 USD du baril dans le même temps, soit 14.55 USD de mieux que leurs homologues américaines.
L'angoisse d'une perturbation des livraisons contribuait à les soutenir, par peur d'une interruption de la production des puits du champ Buzzard, en Mer du Nord, les plus importants du Royaume-Uni.