Investing.com - Les options sur l'or ont subi un recul modeste ce mercredi, les observateurs guettant la diffusion de résultats américains cruciaux en cours de journée afin d'évaluer la vigueur de l'économie du pays et les éventuels besoins d'encouragements.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 684.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.2%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 675.95 USD, leur pire cours depuis deux jours, avec 0.47% de repli.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 675.65 USD, leur plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à court tere à 1 706.15, leur plafond du 13 mars.
Les spécialistes du marché aurifère attendent que le guvernement américain dévoile aujoud'hui le volume des commandes de biens durables afin de mieux juger de la solidité économique nationale et de la nécessité ou non de mettre en place de nouvelles mesures de stimulation de la croissance.
Lors d'un entretien pour la chaîne ABC News ayant eu lieu hier, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a averti que ces derniers n'étaient pas certains d'être sur la voie d'un rétablissement complet.
Il a ajouté: "Les dernières nouvelles ont été bonnes, mais je pense que nous devons rester prudents et nous assurer qu'elles le resteront, mais nous n'en sommes pas encore à pouvoir nous dire en toute confiance que la retour à la normale est assuré."
Il a salué l'éclaircie dûe aux dernières performances économiques, notamment les embauches et l'amélioration du moral des consommateurs et des entreprises.
Il a toutefois rappelé que l'immobilier demeurait "plutôt stagnant", que l'emploi à long terme demeurait problématique et que le taux de chômage de 8.3% demeurait trop élevé.
Les prix étaient remontés lundi à la suite de ses propos affirmant que "la poursuite de politiques souples" serait nécessaire afin d'apporter des évolutions profondes au marché de l'emploi américain, qu'il a estimé être encore "loin de son niveau normal" malgré de récentes améliorations.
Les observateurs ont estimé qu'il laissait entendre par là que la Fed garderait son cap actuel, et conforté l'hypothèse selon laquelle de nouveaux assouplissements de sa part étaient possibles.
Les "assouplissements quantitatifs" ont été un des facteurs décisifs ayant tiré l'or vers le haut l'année passée, car ils contribuaient à maintenir des taux d'intérêt et des coûts des emprunts faibles, rendant le métal précieux plus attractif que les actifs rapportant des taux ou des dividendes comme les obligations ou les actions.
Les prix ont subi une forte pressions baissière ces dernières semaines, plongeant de près de 6% depuis la fin février, les investisseurs abandonnant leurs positions à long terme après que la banque centrale américaine ait revu ses prévisions économiques à la hausse, les poussant à abandonner l'espoir d'une troisième série d'injections de capitaux de sa part.
Les experts du métal jaune continuaient à surveiller les conséquences de la grève nationale des joaillers et vendeurs d'or indiens, ayant entraîné un étouffement de la demande sur le marché physique de New Delhi au cours des deux semaines écoulées.
Pranab Mukherjee, ministre des finances de l'Inde, a exclu hier toute annulation du doublement les taxes à l'importation sur l'or, mais avoué envisager de prendre en compte les demandes des grévistes concernant la taxe sur l'or non poinçonné.
Les boutiques des bijoutiers sont restées closes depuis le 18 mars, pour protester contre la hausse à 4% des droits de douane sur les importations et la mise en place d'une taxe de 0.3% sur la plupart des bijoux.
Les vendeurs locaux estiment que l'import pourrait subir une plongée atteignant 35% en 2012, alors qu'un record à 969 tonnes avait été établi l'année dernière, le secteur risquant de connaître des temps difficiles à l'approche de la saison des mariages.
Le pays demeure le premier consommateur mondial.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs grignoté 0.1% pour grimper à 32.63 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 0.75% pour glisser à 3.851 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 684.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.2%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 675.95 USD, leur pire cours depuis deux jours, avec 0.47% de repli.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 675.65 USD, leur plancher de lundi, et de rencontrer de la résistance à court tere à 1 706.15, leur plafond du 13 mars.
Les spécialistes du marché aurifère attendent que le guvernement américain dévoile aujoud'hui le volume des commandes de biens durables afin de mieux juger de la solidité économique nationale et de la nécessité ou non de mettre en place de nouvelles mesures de stimulation de la croissance.
Lors d'un entretien pour la chaîne ABC News ayant eu lieu hier, Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a averti que ces derniers n'étaient pas certains d'être sur la voie d'un rétablissement complet.
Il a ajouté: "Les dernières nouvelles ont été bonnes, mais je pense que nous devons rester prudents et nous assurer qu'elles le resteront, mais nous n'en sommes pas encore à pouvoir nous dire en toute confiance que la retour à la normale est assuré."
Il a salué l'éclaircie dûe aux dernières performances économiques, notamment les embauches et l'amélioration du moral des consommateurs et des entreprises.
Il a toutefois rappelé que l'immobilier demeurait "plutôt stagnant", que l'emploi à long terme demeurait problématique et que le taux de chômage de 8.3% demeurait trop élevé.
Les prix étaient remontés lundi à la suite de ses propos affirmant que "la poursuite de politiques souples" serait nécessaire afin d'apporter des évolutions profondes au marché de l'emploi américain, qu'il a estimé être encore "loin de son niveau normal" malgré de récentes améliorations.
Les observateurs ont estimé qu'il laissait entendre par là que la Fed garderait son cap actuel, et conforté l'hypothèse selon laquelle de nouveaux assouplissements de sa part étaient possibles.
Les "assouplissements quantitatifs" ont été un des facteurs décisifs ayant tiré l'or vers le haut l'année passée, car ils contribuaient à maintenir des taux d'intérêt et des coûts des emprunts faibles, rendant le métal précieux plus attractif que les actifs rapportant des taux ou des dividendes comme les obligations ou les actions.
Les prix ont subi une forte pressions baissière ces dernières semaines, plongeant de près de 6% depuis la fin février, les investisseurs abandonnant leurs positions à long terme après que la banque centrale américaine ait revu ses prévisions économiques à la hausse, les poussant à abandonner l'espoir d'une troisième série d'injections de capitaux de sa part.
Les experts du métal jaune continuaient à surveiller les conséquences de la grève nationale des joaillers et vendeurs d'or indiens, ayant entraîné un étouffement de la demande sur le marché physique de New Delhi au cours des deux semaines écoulées.
Pranab Mukherjee, ministre des finances de l'Inde, a exclu hier toute annulation du doublement les taxes à l'importation sur l'or, mais avoué envisager de prendre en compte les demandes des grévistes concernant la taxe sur l'or non poinçonné.
Les boutiques des bijoutiers sont restées closes depuis le 18 mars, pour protester contre la hausse à 4% des droits de douane sur les importations et la mise en place d'une taxe de 0.3% sur la plupart des bijoux.
Les vendeurs locaux estiment que l'import pourrait subir une plongée atteignant 35% en 2012, alors qu'un record à 969 tonnes avait été établi l'année dernière, le secteur risquant de connaître des temps difficiles à l'approche de la saison des mariages.
Le pays demeure le premier consommateur mondial.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs grignoté 0.1% pour grimper à 32.63 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 0.75% pour glisser à 3.851 USD la livre dans le même temps.