Investing.com - Les options sur l'or étaient à la baisse pour la troisième journée consécutive ce mercredi, la crainte de nouvelles mesures hypothétiques de durcissement monétaire de la part de la Chine afin de lutter contre l'inflation galopante ayant diminué la demande pour le métal précieux.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 536.55 USD de l'once en fin de séance asiatique, cédant 0.12%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 531.45 USD, leur pire cours du jour, à 0.4% de baisse.
La Banque Populaire de Chine a en effet déclaré mardi dans son rapport monétaire du premier trimestre que l'économie du pays subissait "une pression croissante de l'inflation à l'exportation", rappelant que la stabilité des prix et de l'inflation attendue était sa première priorité.
La Chine reste le second demandeur d'or au monde, en ayant importé d'après le Shanghai Gold Exchange environ 209 tonnes en 2010, contre seulement 45 en 2009.
Le Wall Street Journal a également fait savoir aujourd'hui que George Soros et John Burbank, gestionnaires multimilliardaires de fonds de pension auraient vendu d'après des sources internes de l'or et de l'argent après en avoir acheté d'importantes quantités ces deux dernières années.
Les cours sont toutefois restés bien soutenus malgré ce recul, la crise de la dette de la zone euro restant dans toutes les mémoires après que le Portugal ait annoncé recevoir une aide de secours à hauteur de 78 milliards d'euros, de la part de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs gagné 0.25% pour grimper à 41.84 USD de l'once dans le même temps, après être tombées jusqu'à 41.63, leur pire niveau des trois dernières semaines.
Les prix du métal gris s'étaient effondrés hier de 5.1% après que le CME Group, opérateur de la Comex, ait remonté pour la troisième fois en un peu plus d'une semaine la quantité de liquidités devant être déposées par les traders afin de pouvoir prendre des positions spéculatives, poussant les petits investisseurs hors du marché de l'argent en raison de la hausse des frais encourus pour l'établissement des contrats sur les options.
Le CME a ainsi fait prendre à ce qu'elle appelle la marge initiale près de 12% pour l'amener à 16 200 USD par contrat, après l'avoir déjà remontée à 14 513 USD vendredi, et alors qu'elle se situait à 4 250 USD il y a un an.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 536.55 USD de l'once en fin de séance asiatique, cédant 0.12%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 531.45 USD, leur pire cours du jour, à 0.4% de baisse.
La Banque Populaire de Chine a en effet déclaré mardi dans son rapport monétaire du premier trimestre que l'économie du pays subissait "une pression croissante de l'inflation à l'exportation", rappelant que la stabilité des prix et de l'inflation attendue était sa première priorité.
La Chine reste le second demandeur d'or au monde, en ayant importé d'après le Shanghai Gold Exchange environ 209 tonnes en 2010, contre seulement 45 en 2009.
Le Wall Street Journal a également fait savoir aujourd'hui que George Soros et John Burbank, gestionnaires multimilliardaires de fonds de pension auraient vendu d'après des sources internes de l'or et de l'argent après en avoir acheté d'importantes quantités ces deux dernières années.
Les cours sont toutefois restés bien soutenus malgré ce recul, la crise de la dette de la zone euro restant dans toutes les mémoires après que le Portugal ait annoncé recevoir une aide de secours à hauteur de 78 milliards d'euros, de la part de l'Union Européenne et du Fonds Monétaire International.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs gagné 0.25% pour grimper à 41.84 USD de l'once dans le même temps, après être tombées jusqu'à 41.63, leur pire niveau des trois dernières semaines.
Les prix du métal gris s'étaient effondrés hier de 5.1% après que le CME Group, opérateur de la Comex, ait remonté pour la troisième fois en un peu plus d'une semaine la quantité de liquidités devant être déposées par les traders afin de pouvoir prendre des positions spéculatives, poussant les petits investisseurs hors du marché de l'argent en raison de la hausse des frais encourus pour l'établissement des contrats sur les options.
Le CME a ainsi fait prendre à ce qu'elle appelle la marge initiale près de 12% pour l'amener à 16 200 USD par contrat, après l'avoir déjà remontée à 14 513 USD vendredi, et alors qu'elle se situait à 4 250 USD il y a un an.