Investing.com - Les options sur l'or ont plutôt bien résisté ce mercredi, alors que les opérateurs attendaient les résultats de la rencontre des déccideurs de la Réserve Fédérale attendue dans la journée.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 1 641.85 USD le baril en début de séance européenne, reculant de 0.1%.
Ils avaient auparavant oscillé dans une bande limitée entre 1 643.75 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 1 641.45 USD, leur plus élevé.
Les chances étaient grandes qu'ils trouvent du soutien à court terme à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 658.95 USD, leur plafond du 16 avril.
Les acteurs des marchés guettaient ce qui ressortira dans l'après-midi des deux jours de réunion d'orientation politique de la banque centrale américaine.
Il est en effet attendu qu'elle confirme son intention de maintenir ses taux proches de zéro jusqu'à la fin de l'année 2014, mais son l'attitude concernant d'éventuelles injections de capitaux sera au centre de débats.
Certains espèrent qu'elle pourrait montrer des signes préfigurant une troisième série d'achats d'obligations destinée à soutenir l'économie nationale.
La précédente avait affaibli le billet vert et propulsé en septembre les cours vers un sommet historique à plus de 1 920 USD.
L'augmentation du volume d'argent facile peut encourager le métal précieux, car la surabondance de capitaux met un frein à la valorisation des monnaies de papier, augmentant son intérêt en tant que garde-fou contre l'inflation.
Il avait d'ailleurs atteint son sommet pour l'année 2012 aux alentours de 1 790 USD fin février, après que la Fed ait déclaré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro au moins jusqu'à là fin de l'année 2014.
Les prix étaient remontés hier, avec le soulagement découlant du succès des adjudications de dettes des Pays-Bas d'hier, au lendemain de l'implosion du gouvernement du pays en raison de désaccords sur les coups budétaires à effectuer.
Toute velléité de flambée demeurait jugulée par le fait que les empruts espagnols avaient quand à eux vu leurs coûts quasiment doubler lors d'une manoeuvre similaire, tandis que ceux de l'Italie atteignaient leur plus haut niveau depuis janvier.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur sûre, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'effet positiff sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de l'étalon américain lui ont plutôt nui.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs grignoté 0.1% pour grimper à 30.84 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.15% pour se retrouver à 3.676 USD la livre dans le même temps.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 1 641.85 USD le baril en début de séance européenne, reculant de 0.1%.
Ils avaient auparavant oscillé dans une bande limitée entre 1 643.75 USD, leur cours le plus élevé du jour, et 1 641.45 USD, leur plus élevé.
Les chances étaient grandes qu'ils trouvent du soutien à court terme à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 658.95 USD, leur plafond du 16 avril.
Les acteurs des marchés guettaient ce qui ressortira dans l'après-midi des deux jours de réunion d'orientation politique de la banque centrale américaine.
Il est en effet attendu qu'elle confirme son intention de maintenir ses taux proches de zéro jusqu'à la fin de l'année 2014, mais son l'attitude concernant d'éventuelles injections de capitaux sera au centre de débats.
Certains espèrent qu'elle pourrait montrer des signes préfigurant une troisième série d'achats d'obligations destinée à soutenir l'économie nationale.
La précédente avait affaibli le billet vert et propulsé en septembre les cours vers un sommet historique à plus de 1 920 USD.
L'augmentation du volume d'argent facile peut encourager le métal précieux, car la surabondance de capitaux met un frein à la valorisation des monnaies de papier, augmentant son intérêt en tant que garde-fou contre l'inflation.
Il avait d'ailleurs atteint son sommet pour l'année 2012 aux alentours de 1 790 USD fin février, après que la Fed ait déclaré que ses taux d'intérêt demeureraient proches de zéro au moins jusqu'à là fin de l'année 2014.
Les prix étaient remontés hier, avec le soulagement découlant du succès des adjudications de dettes des Pays-Bas d'hier, au lendemain de l'implosion du gouvernement du pays en raison de désaccords sur les coups budétaires à effectuer.
Toute velléité de flambée demeurait jugulée par le fait que les empruts espagnols avaient quand à eux vu leurs coûts quasiment doubler lors d'une manoeuvre similaire, tandis que ceux de l'Italie atteignaient leur plus haut niveau depuis janvier.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur sûre, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'effet positiff sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de l'étalon américain lui ont plutôt nui.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs grignoté 0.1% pour grimper à 30.84 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.15% pour se retrouver à 3.676 USD la livre dans le même temps.