Investing.com - Les options sur l'or n'ont pas beaucoup progressé, restant confinées dans une bande étroite ce mardi, les observateurs guettant les ventes de dettes espagnoles devant avoir lieu en cours de journée, alors que l'inquiétude que le pays ne soit le prochain à recourir à une bouée de sauvetage se faisait palpable.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 649.65 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.01%.
Ils avaient précédement oscillé entre 1 646.25 USD, leur pire cours du jour, et 1 654.15 USD, leur meilleur.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 685.25 USD, leur plafond du 2.
L'Espagne doit en effet proposer pour 3 milliards d'euros de bons du trésor à 12 et 18 mois dans l'après-midi, alors que la crainte que son gouvernement ne puisse tenir ses objectifs de réduction des déficits se faisait ne plus en plus pressante face à la récession qui menace.
Le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles se soit élevé vers un nouveau sommet, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser pour la première fois depuis début décembre la barre des 6%.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des sémaphores de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant grâce à elles d'évaluer la capacité des membres de la zone euro à lever des fonds par eux-mêmes.
Le ministre des finances du Japon avait quand à lui déclaré en début de matinée que son gouvernement fournirait 60 milliards d'USD afin d'alimenter l'expansion des caisses du Fonds Monétaire International afin de protéger l'économie mondiale contre tout risque d'extension de la crise de la dette de la zone euro.
Le spectre d'une extension de la contamination européenne s'est renforcé ces dernières semaines, sur fond de craintes que l'Espagne ne doive demander un plan de secours.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent l'attrait de l'or en tant que valeur sûre, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'effet positiff sur lui au cours des mois les plus récents.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de l'étalon américain lui ont plutôt nui.
Le groupe d'experts londoniens GFMS avait pour sa part déclaré dans un rapport de fin de semaine dernière s'attendre malgré cette déconvenue à ce que les prix atteignent les 2 000 USD "avant le fin de l'année", invoquant justement les problèmes de dette espagnols, bien que les investisseurs désireux de trouver un refuge aient jusqu'ici peu mordu à l'hameçon.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.3% pour grimper à 31.45 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont cédé 0.65% pour se retrouver à 3.684 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 649.65 USD de l'once en début de séance européenne, grignotant 0.01%.
Ils avaient précédement oscillé entre 1 646.25 USD, leur pire cours du jour, et 1 654.15 USD, leur meilleur.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 613.55 USD, leur plancher du 4 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 685.25 USD, leur plafond du 2.
L'Espagne doit en effet proposer pour 3 milliards d'euros de bons du trésor à 12 et 18 mois dans l'après-midi, alors que la crainte que son gouvernement ne puisse tenir ses objectifs de réduction des déficits se faisait ne plus en plus pressante face à la récession qui menace.
Le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles se soit élevé vers un nouveau sommet, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser pour la première fois depuis début décembre la barre des 6%.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des sémaphores de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant grâce à elles d'évaluer la capacité des membres de la zone euro à lever des fonds par eux-mêmes.
Le ministre des finances du Japon avait quand à lui déclaré en début de matinée que son gouvernement fournirait 60 milliards d'USD afin d'alimenter l'expansion des caisses du Fonds Monétaire International afin de protéger l'économie mondiale contre tout risque d'extension de la crise de la dette de la zone euro.
Le spectre d'une extension de la contamination européenne s'est renforcé ces dernières semaines, sur fond de craintes que l'Espagne ne doive demander un plan de secours.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent l'attrait de l'or en tant que valeur sûre, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'effet positiff sur lui au cours des mois les plus récents.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de l'étalon américain lui ont plutôt nui.
Le groupe d'experts londoniens GFMS avait pour sa part déclaré dans un rapport de fin de semaine dernière s'attendre malgré cette déconvenue à ce que les prix atteignent les 2 000 USD "avant le fin de l'année", invoquant justement les problèmes de dette espagnols, bien que les investisseurs désireux de trouver un refuge aient jusqu'ici peu mordu à l'hameçon.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs rebondi de 0.3% pour grimper à 31.45 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont cédé 0.65% pour se retrouver à 3.684 USD la livre dans le même temps.