Investing.com - Les options sur l'or étaient en difficulté ce lundi, se retrouvant aux abords d'un creux des deux dernières semaines, l'angoisse d'un retour de la crise de la dette en zone euro poussant les investisseurs à éviter les valeurs les plus risquées et à privilégier la sécurité relative du billet vert.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 633.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.55%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 632.55 USD, leur pire cours depuis leur ornière de deux semaines du 19 avril, avec 0.61% de régression.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 621.25 USD, leur plancher du 5 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 658.95 USD, leur plafond du 16.
La monnaie unique s'est retrouvée sur la sellette en raison des incertitudes découlant des élections présidentielles françaises, après que le président sortant Nicolas Sarkozy ait réalisé une piètre performance au premier tour contre son rival François Hollande.
Celui-ci a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscale de la zone euro afin d'aider à stimuler la croissance, au lieu de se contenter de politiques d'austérité strictes.
L'hésitation régnait aussi après que les parlementaires des Pays-Bas aient échoué dans leur quête d'un consensus concernant les coupes budgétaires nécessaires pour ramener les déficits nationaux dans les clous des 3% du PIB imposés par l'Union Européenne.
Le gouvernement devrait démissionner dans les prochains jours, provoquant des élections anticipées cette année, s'ajoutant ainsi à la liste des gouvernements du continent poussé svers la porte de sortie par sa crise financière.
Les frais des emprunts décennaux espagnols ont contribué à la tendance en dépassant à nouveau les 6% lors des premiers échanges, culminant à 6.05%.
L'épouvantail d'une extension de la contamination européenne a repris du service ces dernières semaines, dans l'angoisse d'un possible recours de l'Espagne à un plan de sauvetage.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur sûre, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'effet positiff sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de l'étalon américain lui ont plutôt nui, l'indice dollar, reflétant les performances de ce dernier par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, grimpant de 0.37% de son côté pour se hisser à 79.58.
Le récent rapprochement du métal jaune avec la monnaie unique l'a rendu vulnérable, risquant ainsi une plongée en cas d'aggravation de la crise de la dette de la zone euro en raison de leurs évolutions conjointes des dernièrse semaines écoulées.
Les prix se sont cantonnés ces derniers jours à une fourchette étroite, alors que les observateurs demeuraient dans l'expectative d'un signal de remontée.
Les observateurs guetteront les deux jours de réunion de la Réserve Fédérale devant avoir lieu la semaine prochaine, dans l'attente de signes avant-coureurs de stimulations monétaires supplémentaires, laquelle est généralement bénéfique pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateurs de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs dégringolé de 0.95% pour sombrer à 31.42 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 1.65% pour se retrouver à 3.646 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 633.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.55%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 632.55 USD, leur pire cours depuis leur ornière de deux semaines du 19 avril, avec 0.61% de régression.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 621.25 USD, leur plancher du 5 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 658.95 USD, leur plafond du 16.
La monnaie unique s'est retrouvée sur la sellette en raison des incertitudes découlant des élections présidentielles françaises, après que le président sortant Nicolas Sarkozy ait réalisé une piètre performance au premier tour contre son rival François Hollande.
Celui-ci a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscale de la zone euro afin d'aider à stimuler la croissance, au lieu de se contenter de politiques d'austérité strictes.
L'hésitation régnait aussi après que les parlementaires des Pays-Bas aient échoué dans leur quête d'un consensus concernant les coupes budgétaires nécessaires pour ramener les déficits nationaux dans les clous des 3% du PIB imposés par l'Union Européenne.
Le gouvernement devrait démissionner dans les prochains jours, provoquant des élections anticipées cette année, s'ajoutant ainsi à la liste des gouvernements du continent poussé svers la porte de sortie par sa crise financière.
Les frais des emprunts décennaux espagnols ont contribué à la tendance en dépassant à nouveau les 6% lors des premiers échanges, culminant à 6.05%.
L'épouvantail d'une extension de la contamination européenne a repris du service ces dernières semaines, dans l'angoisse d'un possible recours de l'Espagne à un plan de sauvetage.
Bien que les périodes d'incertitudes économiques stimulent généralement l'attrait de l'or en tant que valeur sûre, la crise de la dette de la zone euro n'a guère eu d'effet positiff sur lui au cours des derniers mois.
L'affaiblissement de l'euro et la vigueur de l'étalon américain lui ont plutôt nui, l'indice dollar, reflétant les performances de ce dernier par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, grimpant de 0.37% de son côté pour se hisser à 79.58.
Le récent rapprochement du métal jaune avec la monnaie unique l'a rendu vulnérable, risquant ainsi une plongée en cas d'aggravation de la crise de la dette de la zone euro en raison de leurs évolutions conjointes des dernièrse semaines écoulées.
Les prix se sont cantonnés ces derniers jours à une fourchette étroite, alors que les observateurs demeuraient dans l'expectative d'un signal de remontée.
Les observateurs guetteront les deux jours de réunion de la Réserve Fédérale devant avoir lieu la semaine prochaine, dans l'attente de signes avant-coureurs de stimulations monétaires supplémentaires, laquelle est généralement bénéfique pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateurs de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs dégringolé de 0.95% pour sombrer à 31.42 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 1.65% pour se retrouver à 3.646 USD la livre dans le même temps.