Investing.com - Les options sur l'or se sont maintenues aux abords de leur pic des deux deernières semaies lors d'échanges limités à une fourchette étoire de ce lundi, leur popularité reprenant des couleurs dans l'attente de nouveaux apports de capitaux par la Réserve Fédérale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 663.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.1%.
Ils avaient précédement évolué entre 1 666.15 USD, leur meilleur cours du jour, et 1 662.45 USD, leur pire, après avoir culùiné vendredi à 1 668.35 USD, leur plus haut niveau depuis le 13 avril.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 623.95 USD, leur plancher du 23 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 679.15 USD, leur plafond déjà évoqué.
Le département d'état au commerce a en effet indiqué vendredi que le produit intérieur brut américain avait augmenté de seulement 2.2% au cours de la période de trois mois achevée en mars, soit nettement moins que les 2.5% espérés, et les 3% précédents.
La réduction des dépenses gouvernementales et des investissements des entreprises ont ainsi surpassé l'augmentation de la demande provenant des consommateurs.
Ces résultats médiocres permettaient de penser que le Réserve Fédérale pourrait injecter davantage de liquidités pour soutenir la première économie mondiale, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait laissé en début de semaine dernière la porte ouverte à de nouvelles mesures de stimulation économique suite à la réunion d'orientation de celle-ci, affirmant que ses décideurs étaient prêts à "faire davantage" au besoin.
Les signes avant-coureurs d'assouplissements sont généralement bénéfiques pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateurs de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
L'étalon américain s'est d'ailleurs retrouvé sous une forte pression baissière, alors que règnait l'idée du maintien d'une politique monétaire assouplie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.05% de son côté pour se situer à 78.76, sa valeur la plus faible depuis le premier mars.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
La précédente série d'achats d'actifs avait affaibli la devise des Etats-Unis et propulsé en septembre les cours vers un sommet historique à plus de 1 920 USD.
Les opérateurs attendaient désormais de connaître les performances du marché de l'emploi du pays, dont la révélation est prévue our vendredi.
Ils les surveilleront en effet afin d'évaluer les chances pour que de nouvelles injections de capitaux aient lieu.
Les prix ont aussi bénéficié du regain de recherche de valeurs refuge dans l'angoisse que l'Espagne soit le prochain membre de la zone euro à nécessiter un plan de secours international.
Il avait effectivement été révélé en fin de semaine que l'économie nationale était retombée en récession, s'étant rétractée de 0.3% au cours des trois premiers mois de l'année 2012.
Ces informations s'ajoutaient au fait que l'agence de Standard & Poor's avait rabaissé jeudi de deux crans son estimation de la fiabilité monétaire à long terme de l'Espagne depuis A vers BBB+, et mise sous une perspective négative, invoquant les difficultés induites par la récession nationale dans la quête de réduction d'un des plus gros déficits régionaux par le gouvernement.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs cédé 0.15% pour descendre à 31.37 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.85% pour se retrouver à 3.857 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 663.25 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 0.1%.
Ils avaient précédement évolué entre 1 666.15 USD, leur meilleur cours du jour, et 1 662.45 USD, leur pire, après avoir culùiné vendredi à 1 668.35 USD, leur plus haut niveau depuis le 13 avril.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 623.95 USD, leur plancher du 23 avril, et de rencontrer de la résistance à 1 679.15 USD, leur plafond déjà évoqué.
Le département d'état au commerce a en effet indiqué vendredi que le produit intérieur brut américain avait augmenté de seulement 2.2% au cours de la période de trois mois achevée en mars, soit nettement moins que les 2.5% espérés, et les 3% précédents.
La réduction des dépenses gouvernementales et des investissements des entreprises ont ainsi surpassé l'augmentation de la demande provenant des consommateurs.
Ces résultats médiocres permettaient de penser que le Réserve Fédérale pourrait injecter davantage de liquidités pour soutenir la première économie mondiale, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait laissé en début de semaine dernière la porte ouverte à de nouvelles mesures de stimulation économique suite à la réunion d'orientation de celle-ci, affirmant que ses décideurs étaient prêts à "faire davantage" au besoin.
Les signes avant-coureurs d'assouplissements sont généralement bénéfiques pour le métal jaune, celui-ci étant considéré comme un accumulateurs de valeur sûr, et un rempart contre l'inflation.
L'étalon américain s'est d'ailleurs retrouvé sous une forte pression baissière, alors que règnait l'idée du maintien d'une politique monétaire assouplie.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a glissé de 0.05% de son côté pour se situer à 78.76, sa valeur la plus faible depuis le premier mars.
La faiblesse de la monnaie des Etats-Unis bénéficie généralement à l'or, les matières premières aux prix libellés en dollars se retrouvant moins coûteuses pour les détenteurs d'autres devises, augmentant ainsi leur attrait en tant qu'investissement alternatif.
La précédente série d'achats d'actifs avait affaibli la devise des Etats-Unis et propulsé en septembre les cours vers un sommet historique à plus de 1 920 USD.
Les opérateurs attendaient désormais de connaître les performances du marché de l'emploi du pays, dont la révélation est prévue our vendredi.
Ils les surveilleront en effet afin d'évaluer les chances pour que de nouvelles injections de capitaux aient lieu.
Les prix ont aussi bénéficié du regain de recherche de valeurs refuge dans l'angoisse que l'Espagne soit le prochain membre de la zone euro à nécessiter un plan de secours international.
Il avait effectivement été révélé en fin de semaine que l'économie nationale était retombée en récession, s'étant rétractée de 0.3% au cours des trois premiers mois de l'année 2012.
Ces informations s'ajoutaient au fait que l'agence de Standard & Poor's avait rabaissé jeudi de deux crans son estimation de la fiabilité monétaire à long terme de l'Espagne depuis A vers BBB+, et mise sous une perspective négative, invoquant les difficultés induites par la récession nationale dans la quête de réduction d'un des plus gros déficits régionaux par le gouvernement.
Les futures sur l'argent pour juillet ont par ailleurs cédé 0.15% pour descendre à 31.37 USD de l'once, mais celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.85% pour se retrouver à 3.857 USD la livre dans le même temps.