Investing.com - Les options sur l'or n'ont presque pas reculé ce mercredi, se maintenant dans une fourchette étroite après avoir bondi de plus de 1% la veille, sur fond de regain de popularité des valeurs refuge.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 659.55 USD de l'once en début de séance européenne, trébuchant de seulement 0.07%.
Ils avaient précédement oscillé entre 1 654.65 USD, leur pire cours du jour, et 1 661.55 USD, leur meilleur, après avoir atteint mardi les 1 663.95 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 3 avril.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 613.55 USD, leur plancher du lendemain, et de rencontrer de la résistance à 1 685.25, leur plafond du 2.
La journée d'hier les a en effet vus s'envoler de plus de 1%, leur attrait en tant qu'investissement sûr étant revenu au premier plan sur fond de crainte que l'Espagne ne devienne le prochain membre de la zone euro à avoir besoin d'une bouée de sauvetage.
L'angoisse concernant les coûts des emprunts du pays est en effet montée d'un cran ce mardi, après que les taux de ses bons décennaux aient culminé à 6.01%, leur plus haut niveau depuis novembre.
Cette augmentation est survenue après que le ministre de l'économie Luis de Guindos ait refusé d'exclure l'idée d'un plan de secours international, tandis que Miguel Angel Fernandez Ordonez, gouverneur de la Banque d'Espagne, déclarait que les établissement financiers nationaux pourraient nécessiter une recapitalisation au cas où l'économie faiblirait davantage qu'il n'est déjà redouté.
Ces nouvelles pervenaient par ailleurs sur fond de peur grandissante concernant les perspectives de croissance mondiales, et particulièrement celles des Etats-Unis et de la Chine, les deux plus grosses économies de la planète.
Les experts de HSBC Holdings ont pour leur part déclaré que le métal jaune pourrait être "en train de se distinguer des investissements risqués et de retrouver son rôle de refuge traditionnel".
Les acteurs des marchés acquéraient généralement du métal précieux lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année dernière, mais cette relation s'est révélée moins certaine depuis septembre, celui-ci évoluant dans le sillage des autres actifs liés aux risques.
Les prix ont également continué à profiter de l'attente d'une demande renforcée de la part de l'Inde, premier consommateur au monde, après que les orfèvres du pays aient mis fin ce week-end à trois semaines de grève.
Cet évènement est survenu après que Pranab Mukherjee, premier ministre du pays, se soit engagé à remettre en question la mise en place de nouveaux prélèvements sur le métal précieux.
Ces 21 jours d'action ont malmené le marché aurifère national, suite à l'annonce d'un doublement à 4% des droits de douane sur celui-ci et d'une taxe d'accise de 0.3% sur la plupart des bijoux.
Les prix devraient du coup connaître un coup de fouet à court terme, alors que le festival hindou d'Akshaya Tritiya, un de plus propices aux achats de métal précieux, doit débuter le 24 avril.
La saison des mariages a par ailleurs commencé dans certaines régions du pays, et l'or y tient généralement une place importante.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs grignoté 0.15% pour grimper à 31.72 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.27% pour se retrouver à 3.66 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 659.55 USD de l'once en début de séance européenne, trébuchant de seulement 0.07%.
Ils avaient précédement oscillé entre 1 654.65 USD, leur pire cours du jour, et 1 661.55 USD, leur meilleur, après avoir atteint mardi les 1 663.95 USD, leur valeur la plus élevée depuis le 3 avril.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 613.55 USD, leur plancher du lendemain, et de rencontrer de la résistance à 1 685.25, leur plafond du 2.
La journée d'hier les a en effet vus s'envoler de plus de 1%, leur attrait en tant qu'investissement sûr étant revenu au premier plan sur fond de crainte que l'Espagne ne devienne le prochain membre de la zone euro à avoir besoin d'une bouée de sauvetage.
L'angoisse concernant les coûts des emprunts du pays est en effet montée d'un cran ce mardi, après que les taux de ses bons décennaux aient culminé à 6.01%, leur plus haut niveau depuis novembre.
Cette augmentation est survenue après que le ministre de l'économie Luis de Guindos ait refusé d'exclure l'idée d'un plan de secours international, tandis que Miguel Angel Fernandez Ordonez, gouverneur de la Banque d'Espagne, déclarait que les établissement financiers nationaux pourraient nécessiter une recapitalisation au cas où l'économie faiblirait davantage qu'il n'est déjà redouté.
Ces nouvelles pervenaient par ailleurs sur fond de peur grandissante concernant les perspectives de croissance mondiales, et particulièrement celles des Etats-Unis et de la Chine, les deux plus grosses économies de la planète.
Les experts de HSBC Holdings ont pour leur part déclaré que le métal jaune pourrait être "en train de se distinguer des investissements risqués et de retrouver son rôle de refuge traditionnel".
Les acteurs des marchés acquéraient généralement du métal précieux lors de l'arrivée de mauvaises nouvelles en provenance du vieux continent au cours de la majeure partie de l'année dernière, mais cette relation s'est révélée moins certaine depuis septembre, celui-ci évoluant dans le sillage des autres actifs liés aux risques.
Les prix ont également continué à profiter de l'attente d'une demande renforcée de la part de l'Inde, premier consommateur au monde, après que les orfèvres du pays aient mis fin ce week-end à trois semaines de grève.
Cet évènement est survenu après que Pranab Mukherjee, premier ministre du pays, se soit engagé à remettre en question la mise en place de nouveaux prélèvements sur le métal précieux.
Ces 21 jours d'action ont malmené le marché aurifère national, suite à l'annonce d'un doublement à 4% des droits de douane sur celui-ci et d'une taxe d'accise de 0.3% sur la plupart des bijoux.
Les prix devraient du coup connaître un coup de fouet à court terme, alors que le festival hindou d'Akshaya Tritiya, un de plus propices aux achats de métal précieux, doit débuter le 24 avril.
La saison des mariages a par ailleurs commencé dans certaines régions du pays, et l'or y tient généralement une place importante.
Les futures sur l'argent pour mai ont par ailleurs grignoté 0.15% pour grimper à 31.72 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont gagné 0.27% pour se retrouver à 3.66 USD la livre dans le même temps.