Investing.com - Les options sur l'or étaient en légère baisse ce vendredi, rabotant leur progression hebdomadaire après que l'agence Fitch ait revu à la baisse sa notation monétaire de l'Italie et de l'Espagne, poussant les investisseurs à liquider leurs positions afin de compenser les pertes subies sur les autres marchés.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 639.85 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, réalisant une progression hebdomadaire de 0.84%, la première en un mois.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 USD, leur pire cours depuis , avec % d'augmentation.
L'Italie s'est ainsi vue ramenée de AA- vers A+ et l'Espagne de deux crans vers AA+ vers AA- par l'agence de notation, invoquant l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro et la situation fiscale des deux pays.
Sa collègue Moody's a pour sa part remis en cause sa notation de la Belgique en vue d'une possible dégradation, prétextant des difficultés concernant l'approvisionnement en liquidités à long terme et un endettement public important.
Ces nouvelles auraient dû augmenter l'attrait du métal précieux en tant que valeur refuge, mais les investisseurs ont souvent dû encaisser les plus-values réalisées avec afin de boucher les trous provenant d'ailleurs.
Les cours avaient par ailleurs grimpé à l'ouverture de la séance de vendredi, suite à la révélatiion de chiffres de l'emploi américain dépassant largement les attentes.
Le département d'état au travail a en effet annoncé la création de 103 000 emplois privés non agricoles en septembre, soit près du double des 53 000 espérés, et 99 000 révisés sur les deux mois précédents, le taux de chômage restant toutefois stable à 9.1%.
La Deutsche Bank allemande a toutefois déclaré dans un article paru vendredi s'attendre à ce que les cours restent soutenus malgré ce faux pas, en raison de la persistance de l'angoisse d'un défaut de paiement grec, et de l'inquiétude concernant les perspectives de croissance économique mondiale.
Ils avaient notamment bondi de 0.8% jeudi après que la Banque Centrale Européenne ait annoncé des mesures destinées à augmenter les liquidités à disposition des prêteurs de la zone euro, tandis que la Banque d'Angleterre annonçait une nouvelle série de mesures d'assouplissement monétaire.
Le début de semaine leur avait aussi été favorable, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait déclaré que la reprise américaine avait été bien moins solide qu'espéré par celle-ci, assurant qu'elle restait par ailleurs prête à faire davantage pour la stimuler.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs rebondi de 3.94% pour grimper à 31.16 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 4.98% pour se retrouver à 3.284 USD la livre dans le même temps.
L'article de fin de seaien de la banque germanique précisait: "L'or continuera à offrir de meilleures performances que l'argent et le cuivre dans un contexte où la croissance occidentale se trouve remmise en question", entraînant une baisse de la demande industrielle pour ces deux derniers.
L'évolution de la situation en zone euro devrait monopoliser les attentions la semaine prochaine, sur fond de peur que la Grèce ne se retrouve en défaut de paiement, tandis que les investisseurs attendront vendredi le volume des ventes au détail américaines afin d'évaluer la vigueur de la relance nationale.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour décembre se sont échangés à 1 639.85 USD de l'once à la clôture des échanges de vendredi, réalisant une progression hebdomadaire de 0.84%, la première en un mois.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 USD, leur pire cours depuis , avec % d'augmentation.
L'Italie s'est ainsi vue ramenée de AA- vers A+ et l'Espagne de deux crans vers AA+ vers AA- par l'agence de notation, invoquant l'aggravation de la crise de la dette souveraine de la zone euro et la situation fiscale des deux pays.
Sa collègue Moody's a pour sa part remis en cause sa notation de la Belgique en vue d'une possible dégradation, prétextant des difficultés concernant l'approvisionnement en liquidités à long terme et un endettement public important.
Ces nouvelles auraient dû augmenter l'attrait du métal précieux en tant que valeur refuge, mais les investisseurs ont souvent dû encaisser les plus-values réalisées avec afin de boucher les trous provenant d'ailleurs.
Les cours avaient par ailleurs grimpé à l'ouverture de la séance de vendredi, suite à la révélatiion de chiffres de l'emploi américain dépassant largement les attentes.
Le département d'état au travail a en effet annoncé la création de 103 000 emplois privés non agricoles en septembre, soit près du double des 53 000 espérés, et 99 000 révisés sur les deux mois précédents, le taux de chômage restant toutefois stable à 9.1%.
La Deutsche Bank allemande a toutefois déclaré dans un article paru vendredi s'attendre à ce que les cours restent soutenus malgré ce faux pas, en raison de la persistance de l'angoisse d'un défaut de paiement grec, et de l'inquiétude concernant les perspectives de croissance économique mondiale.
Ils avaient notamment bondi de 0.8% jeudi après que la Banque Centrale Européenne ait annoncé des mesures destinées à augmenter les liquidités à disposition des prêteurs de la zone euro, tandis que la Banque d'Angleterre annonçait une nouvelle série de mesures d'assouplissement monétaire.
Le début de semaine leur avait aussi été favorable, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait déclaré que la reprise américaine avait été bien moins solide qu'espéré par celle-ci, assurant qu'elle restait par ailleurs prête à faire davantage pour la stimuler.
Les futures sur l'argent pour décembre ont par ailleurs rebondi de 3.94% pour grimper à 31.16 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont engrangé 4.98% pour se retrouver à 3.284 USD la livre dans le même temps.
L'article de fin de seaien de la banque germanique précisait: "L'or continuera à offrir de meilleures performances que l'argent et le cuivre dans un contexte où la croissance occidentale se trouve remmise en question", entraînant une baisse de la demande industrielle pour ces deux derniers.
L'évolution de la situation en zone euro devrait monopoliser les attentions la semaine prochaine, sur fond de peur que la Grèce ne se retrouve en défaut de paiement, tandis que les investisseurs attendront vendredi le volume des ventes au détail américaines afin d'évaluer la vigueur de la relance nationale.