Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce jeudi matin, à l'approche des prises de cap imminentes des banques centrales de la région.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,4%, le CAC 40 français de 0,1%, et le DAX 30 allemand de 0,7%.
Le goût pour les valeurs audacieuses était revenu après que la banque centrale des Etats-Unis n'ait donné aucun signe d'une réduction prochaine de ses coups de pouce.
La Réserve Fédérale a en effet achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que le croissance demeurait "modérée".
Le moral a aussi profité d'une bonne surprise provenant des industries de la Chine.
L'indice des directeurs d'achats manufacturiers établi les autorités chinoises, qui frémissait depuis 50,1 vers 50,3 pour juillet.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement.
L'attention se concentrait désormais sur la Banque Centrale Européenne, qui s'apprêtait à annoncer son taux directeur, lequel sera suivi de la traditionnelle conférence de presse de son président Mario Draghi.
Parmi les bonnes nouvelles, on pouvait noter les magasins allemands Metro, bondissant de 6,2%, après avoir revendiqué 276 millions d'euros de bénéfices pour le second trimestre, dépassant ainsi les 269,2 millions anticipés.
Sur le front de la finance, le français Société Générale encaissant 5,9% après avoir vu ses bénéfices faire mieux que doubler au second trimestre.
Son compariote Sanofi faisait moins bien du côté de l'industrie pharmaceutique, dégringolant de 6% après avoir dû revoir à la baisse ses projections de profit pour l'année en cours.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,4%, à l'oorée du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre, le second sous l'égide de son nouveau gouverneur, Mark Carney.
Le Lloyds Banking Group encaissait 6,5% grâce à son premier semestre profitable en trois ans.
Mais tout n'était cependant pas rose, le poids lourd des hydrocarbures Royal Dutch Shell coulant de 4,4% après avoir enregistré une baisse de ses profits supérieure aux craintes entre début mai et fin juin.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes après que la banque centrale des Etats-Unis ait entretenu le suspense sur le momennt où elle réduirait la voilure de ses injections de liquidités.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,5%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,5% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,5% également.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
Leurs chiffres de l'emploi de demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,4%, le CAC 40 français de 0,1%, et le DAX 30 allemand de 0,7%.
Le goût pour les valeurs audacieuses était revenu après que la banque centrale des Etats-Unis n'ait donné aucun signe d'une réduction prochaine de ses coups de pouce.
La Réserve Fédérale a en effet achevé hier ses deux jours de réunion en affirmant qu'elle poursuivrait ses 85 milliards d'USD mensuels de rachats de prêts hypothécaires et d'obligations nationales, précisant que le croissance demeurait "modérée".
Le moral a aussi profité d'une bonne surprise provenant des industries de la Chine.
L'indice des directeurs d'achats manufacturiers établi les autorités chinoises, qui frémissait depuis 50,1 vers 50,3 pour juillet.
Toute valeur de l'indice supérieure à 50 dénote une croissance du secteur et inversement.
L'attention se concentrait désormais sur la Banque Centrale Européenne, qui s'apprêtait à annoncer son taux directeur, lequel sera suivi de la traditionnelle conférence de presse de son président Mario Draghi.
Parmi les bonnes nouvelles, on pouvait noter les magasins allemands Metro, bondissant de 6,2%, après avoir revendiqué 276 millions d'euros de bénéfices pour le second trimestre, dépassant ainsi les 269,2 millions anticipés.
Sur le front de la finance, le français Société Générale encaissant 5,9% après avoir vu ses bénéfices faire mieux que doubler au second trimestre.
Son compariote Sanofi faisait moins bien du côté de l'industrie pharmaceutique, dégringolant de 6% après avoir dû revoir à la baisse ses projections de profit pour l'année en cours.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,4%, à l'oorée du conseil d'orientation de la Banque d'Angleterre, le second sous l'égide de son nouveau gouverneur, Mark Carney.
Le Lloyds Banking Group encaissait 6,5% grâce à son premier semestre profitable en trois ans.
Mais tout n'était cependant pas rose, le poids lourd des hydrocarbures Royal Dutch Shell coulant de 4,4% après avoir enregistré une baisse de ses profits supérieure aux craintes entre début mai et fin juin.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes après que la banque centrale des Etats-Unis ait entretenu le suspense sur le momennt où elle réduirait la voilure de ses injections de liquidités.
Les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,5%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,5% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,5% également.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'une étude de l'institut de gestion des approvisionnements sur l'état du secteur secondaire national.
Leurs chiffres de l'emploi de demain seront aussi sous surveillance, en quête d'indices supplémentaires sur les évolutions de leur marché du travail.