Investing.com - Les cours du brut ont légèrement progressé pour la seconde semaine consécutive sur fond d'échanges sans tendance claire, les investisseurs revenant sur le marché afin de couvrir des positions courtes en prévision de l'expiration des contrats pour juin alors que s'apaisaient les craintes d'un ralentissement de la demande de la part des Etats-Unis.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 99.94 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, gagnant 1.4% sur la semaine.
Ceux pour juin ont quand à eux expiré au même moment, s'établissant à 99.49 USD.
Les prix ont engrangé 1% lors d'échanges volatils vendredi, alors qu'un afflux de couvertures de position à court terme le faisait s'extraire en milieu de journée de son creux de la matinée. L'expiration des échéances est souvent propice aux sessions imprévisibles, les acteurs cherchant à liquider leurs positions ou à modifier leurs portefeuilles.
L'or noir a aussi été tiré vers le haut lorsque l'agence américaine d'information sur l'énergie a fait savoir dans son rapport hebdomadaire que le total de la consommation de pétrole et de produits pétroliers nationale, un bon indicateur de la demande, avait bondi de 5.2% en avril, pour totaliser 19.9 millions de barils par jour.
Les besoins attendus en essence automobile ont également contribué à soutenir les prix, le pays s'apprêtant à entrer dans la saison des voyages automobiles d'été.
Le pic des besoins en essence des Etats-Unis se situe en effet après la fête du memorial day de fin mai et prend fin lors du labour day de début septembre, les deux jours fériés en question se situant cette année le 30 mai et le 5 septembre.
Les cours avaient montré des signes de faiblesse jeudi, suite à la publication de résultats montrant un ralentissement de la croissance de l'activité manufacturière de la région médiane de la façade atlantique du pays, tandis qu'une baisse inattendue des ventes de maisons d'occasion pour avril ajoutait aux craintes concernant le rythme de la reprise nationale.
Les informations selon lesquelles le récent tremblement de terre et ses conséquences avaient précipité le Japon dans la récession au premier trimestre n'ont rien arrangé, le pays du soleil levant restant le troisième consommateur mondial de brut.
Les chiffres officiels dévoilés mercredi avaient par ailleurs indiqué que le total des réserves d'or noir américaines avait perdu 15 000 barils la semaine passée, contredisant la prévision d'une hausse de 1.5 millions de barils. Le total des stocks d'essence a toutefois pris 119 000 barils, mais cette augmentation est là aussi resté largement inférieure au million de barils envisagé.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juillet ont trébuché de 0.1% pour descendre à 112.36 USD du baril dans le même temps, soit 12.42 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juillet se sont échangés à 99.94 USD le baril à la clôture des marchés de vendredi, gagnant 1.4% sur la semaine.
Ceux pour juin ont quand à eux expiré au même moment, s'établissant à 99.49 USD.
Les prix ont engrangé 1% lors d'échanges volatils vendredi, alors qu'un afflux de couvertures de position à court terme le faisait s'extraire en milieu de journée de son creux de la matinée. L'expiration des échéances est souvent propice aux sessions imprévisibles, les acteurs cherchant à liquider leurs positions ou à modifier leurs portefeuilles.
L'or noir a aussi été tiré vers le haut lorsque l'agence américaine d'information sur l'énergie a fait savoir dans son rapport hebdomadaire que le total de la consommation de pétrole et de produits pétroliers nationale, un bon indicateur de la demande, avait bondi de 5.2% en avril, pour totaliser 19.9 millions de barils par jour.
Les besoins attendus en essence automobile ont également contribué à soutenir les prix, le pays s'apprêtant à entrer dans la saison des voyages automobiles d'été.
Le pic des besoins en essence des Etats-Unis se situe en effet après la fête du memorial day de fin mai et prend fin lors du labour day de début septembre, les deux jours fériés en question se situant cette année le 30 mai et le 5 septembre.
Les cours avaient montré des signes de faiblesse jeudi, suite à la publication de résultats montrant un ralentissement de la croissance de l'activité manufacturière de la région médiane de la façade atlantique du pays, tandis qu'une baisse inattendue des ventes de maisons d'occasion pour avril ajoutait aux craintes concernant le rythme de la reprise nationale.
Les informations selon lesquelles le récent tremblement de terre et ses conséquences avaient précipité le Japon dans la récession au premier trimestre n'ont rien arrangé, le pays du soleil levant restant le troisième consommateur mondial de brut.
Les chiffres officiels dévoilés mercredi avaient par ailleurs indiqué que le total des réserves d'or noir américaines avait perdu 15 000 barils la semaine passée, contredisant la prévision d'une hausse de 1.5 millions de barils. Le total des stocks d'essence a toutefois pris 119 000 barils, mais cette augmentation est là aussi resté largement inférieure au million de barils envisagé.
Sur le marché ICE, les futures de Brent sur le brut pour juillet ont trébuché de 0.1% pour descendre à 112.36 USD du baril dans le même temps, soit 12.42 USD de mieux que leurs homologues américaines.