Investing.com - Les options sur le brut ont conclu avec un sursaut de près de 2%, pour s'établir à leur plus haut niveau depuis mai 2011, le spectre d'une action militaire des Etats-Unis en Syrie alimentant l'angoisse d'une perturbation des flux autour de la Méditeranée.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 110,26 USD le baril à la clôture des transactions, avec une avancée de 1,75%, après avoir terminé à 108,37 USD la veille, avec un bond de 1,05%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 106,55 USD, leur plancher du 3 septembre, et rencontrer de la résistance à 112,22 USD, leur pic du 28 août.
Ils auront ainsi amassé 2,35% pour leur seconde ascension hebdomadaire consécutive, sur fond de tensions causées par l'hypothèse d'une intervention contre le gouvernement de Bachar el-Assad.
Le président russe Vladimir Poutine a notamment mis en garde vendredi les Etats-Unis contre toute idée de frappes militaires sans l'assentiment des Nations Unies.
Il a ajouté lors de la conférence de presse de clôture de la réunion à Moscou du groupe des 20 pays les plus développés que la Russie "aiderait" la Syrie en cas d'attaque extérieure.
Barack Obama, président des Etats-Unis, demeurait cependant partisan de frappes limitées, qui seraient destinées à la punir de son utilisation alléguée d'armes chimiques contre sa propre population.
Le parlement américain reprendra demain du service après cinq semaines de vacances, afin de se prononcer à ce sujet.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds de la région.
Celle-ci est en effet responsable de près de 35% du volume mondial extrait en 2012.
Une implication de l'Iran, sixième plus gros membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, est particulièrement redoutée.
Des membres de l'état-major américain ont affirmé vendredi avoir intercepté en provenance de Téhéran un ordre d'attaquer l'ambassade des Etats-Unis a Bagdad et leurs infrastructures destiné aux insurgés irakiens en cas d'offensive contr Damas.
Les cours ont aussi progressé après que les résultats décevants provenant du front de l'emploi aient forcé les observateurs à revoir à la baisse les probabilités d'une réduction imminente des coups de pouce la Réserve Fédérale.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
La dernière séance les avait vus plonger jusqu'à 1.361,80 USD, leur pire niveau en deux semaines, avant d'établir un pic journalier après que le département d'état au travail américain ait compté 169.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 180.000 était espérée.
Le total précédent de 162.000 était quand à lui revu vers le bas jusqu'à 104.000, et celui de juin était raboté depuis 188.000 vers 172.000.
Le taux de chômage cependant fondu des 7,4% de juillet à 7,3% dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties de population active.
Le billet vert demeurait sur la sellette en raison du suspense savamment entretenu au sujet du moment où la Réserve Fédérale commencera à fermer les vannes de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, certains estimant une telle éventualité pour sa réunion des 17 et 18 septembre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait quand à lui de 0,6% pour se situer à 82,18.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les chiffres des ventes au détail des Etats-Unis et le baromètre de l'humeur de leurs consommateurs attendus vendredi ne seront pas à négliger afin de prendre le pouls de l'économie.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont pour leur part empoché 0,55% vendredi pour grimper à 115,89 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un frémissement de 1,6%, pour s'établir à 5,63 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus faible depuis .
La banque française Société Générale avait déclaré le mois passé qu'ils pourraient s'envoler jusqu'à 150 USD en cas de perturbation des flux gravitant autour de la méditerranée.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour octobre se sont échangés à 110,26 USD le baril à la clôture des transactions, avec une avancée de 1,75%, après avoir terminé à 108,37 USD la veille, avec un bond de 1,05%.
Les chances étaient grandes de les voir trouver du soutien à 106,55 USD, leur plancher du 3 septembre, et rencontrer de la résistance à 112,22 USD, leur pic du 28 août.
Ils auront ainsi amassé 2,35% pour leur seconde ascension hebdomadaire consécutive, sur fond de tensions causées par l'hypothèse d'une intervention contre le gouvernement de Bachar el-Assad.
Le président russe Vladimir Poutine a notamment mis en garde vendredi les Etats-Unis contre toute idée de frappes militaires sans l'assentiment des Nations Unies.
Il a ajouté lors de la conférence de presse de clôture de la réunion à Moscou du groupe des 20 pays les plus développés que la Russie "aiderait" la Syrie en cas d'attaque extérieure.
Barack Obama, président des Etats-Unis, demeurait cependant partisan de frappes limitées, qui seraient destinées à la punir de son utilisation alléguée d'armes chimiques contre sa propre population.
Le parlement américain reprendra demain du service après cinq semaines de vacances, afin de se prononcer à ce sujet.
La Syrie a beau ne pas être un producteur majeur, les observateurs redoutent que la guerre civile durant depuis déjà deux ans fasse tache d'huile et affecte ainsi les poids lourds de la région.
Celle-ci est en effet responsable de près de 35% du volume mondial extrait en 2012.
Une implication de l'Iran, sixième plus gros membre de l'Organisation des Pays Exportateurs de Pétrole, est particulièrement redoutée.
Des membres de l'état-major américain ont affirmé vendredi avoir intercepté en provenance de Téhéran un ordre d'attaquer l'ambassade des Etats-Unis a Bagdad et leurs infrastructures destiné aux insurgés irakiens en cas d'offensive contr Damas.
Les cours ont aussi progressé après que les résultats décevants provenant du front de l'emploi aient forcé les observateurs à revoir à la baisse les probabilités d'une réduction imminente des coups de pouce la Réserve Fédérale.
Ses apports de capitaux sont généralement vus comme un des facteurs cruciaux dans l'augmentation des prix des matières premières, en raison de leur tendance à affaiblir le billet vert.
La dernière séance les avait vus plonger jusqu'à 1.361,80 USD, leur pire niveau en deux semaines, avant d'établir un pic journalier après que le département d'état au travail américain ait compté 169.000 créations de postes au cours du mois dernier, alors qu'une addition de 180.000 était espérée.
Le total précédent de 162.000 était quand à lui revu vers le bas jusqu'à 104.000, et celui de juin était raboté depuis 188.000 vers 172.000.
Le taux de chômage cependant fondu des 7,4% de juillet à 7,3% dans le même temps, une bonne nouvelle à tempérer car imputable aux sorties de population active.
Le billet vert demeurait sur la sellette en raison du suspense savamment entretenu au sujet du moment où la Réserve Fédérale commencera à fermer les vannes de ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, certains estimant une telle éventualité pour sa réunion des 17 et 18 septembre.
L'indice dollar, reflétant les performances de l'étalon américain par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, glissait quand à lui de 0,6% pour se situer à 82,18.
Les contrats sur le pétrole, libellés en dollars, ont tendance à monter quand ce dernier descend, les rendant moins coûteux pour les détenteurs d'autres devises.
Les chiffres des ventes au détail des Etats-Unis et le baromètre de l'humeur de leurs consommateurs attendus vendredi ne seront pas à négliger afin de prendre le pouls de l'économie.
L'attention était désormais rivée sur les prochains résultats, en quête d'indices sur leurs orientations futures.
Toute amélioration renforcerait les chances d'une diminution des apports de capitaux de leur autorité monétaire.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour octobre ont pour leur part empoché 0,55% vendredi pour grimper à 115,89 USD du baril.
Leurs cours, établis à Londres, ont du coup terminé la semaine avec un frémissement de 1,6%, pour s'établir à 5,63 USD de mieux que leurs homologues américaines, leur écart le plus faible depuis .
La banque française Société Générale avait déclaré le mois passé qu'ils pourraient s'envoler jusqu'à 150 USD en cas de perturbation des flux gravitant autour de la méditerranée.