La Bourse de Paris devrait ouvrir sans grand changement jeudi matin, dans le sillage d'une séance calme en Asie et d'une consolidation de faible intensité à Wall Street.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin de mois - recule de 3,5% à 5264 points, annonçant une légère baisse au coup d'envoi des échanges.
La Bourse de New York a opté pour la prudence hier, tout en évitant de plonger dans l'aversion pour le risque malgré l'accumulation de lourds nuages géopolitiques à l'horizon.
Au coup de cloche final, le Dow Jones cédait 0,9% et le Nasdaq limitait ses pertes autour de 0,3%.
Les 'minutes' de la Fed n'ont pas réservé de grande surprise, mais semblent avoir pesé malgré tout sur les échanges, les membres du FOMC se déclarant plus convaincus de voir l'inflation atteindre l'objectif des 2%.
'En termes d'indicateurs économiques, la séance d'aujourd'hui s'annonce plutôt ennuyante', prévient ce matin l'équipe de stratégie de Danske Bank.
'Nous allons prendre connaissance des minutes de la réunion de la BCE de la fin du mois de mars, mais nous ne sommes pas convaincus qu'elles permettront de savoir quelle sera la prochaine étape du processus de normalisation monétaire de l'institution', indique la banque danoise.
Certains analystes techniques notent toutefois que le marché parisien semble avoir retrouvé une certaine 'sérénité' au cours des dernières séances, en revenant sur les bornes supérieures de sa moyenne mobile à 100 jours.
'A plus long terme, si les différents éléments techniques étaient amenés à s'aligner et à occulter tout effet négatif, comme l'excès de volatilité, l'indice parisien pourrait rapidement tutoyer le niveau symbolique des 5400 points', assure ainsi Kiplink Finance.
'Pour le moment, nous n'en sommes pas là', tempère le gestionnaire parisien.
Cette journée pourrait également être marquée par la poursuite du rallye haussier du pétrole, sur fond de tensions géopolitiques.
Après sa remontée des derniers jours, le baril américain WTI s'adjuge encore 0,3% pour culminer à 67 dollars, au plus haut depuis début décembre 2014.
Copyright (c) 2018 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin de mois - recule de 3,5% à 5264 points, annonçant une légère baisse au coup d'envoi des échanges.
La Bourse de New York a opté pour la prudence hier, tout en évitant de plonger dans l'aversion pour le risque malgré l'accumulation de lourds nuages géopolitiques à l'horizon.
Au coup de cloche final, le Dow Jones cédait 0,9% et le Nasdaq limitait ses pertes autour de 0,3%.
Les 'minutes' de la Fed n'ont pas réservé de grande surprise, mais semblent avoir pesé malgré tout sur les échanges, les membres du FOMC se déclarant plus convaincus de voir l'inflation atteindre l'objectif des 2%.
'En termes d'indicateurs économiques, la séance d'aujourd'hui s'annonce plutôt ennuyante', prévient ce matin l'équipe de stratégie de Danske Bank.
'Nous allons prendre connaissance des minutes de la réunion de la BCE de la fin du mois de mars, mais nous ne sommes pas convaincus qu'elles permettront de savoir quelle sera la prochaine étape du processus de normalisation monétaire de l'institution', indique la banque danoise.
Certains analystes techniques notent toutefois que le marché parisien semble avoir retrouvé une certaine 'sérénité' au cours des dernières séances, en revenant sur les bornes supérieures de sa moyenne mobile à 100 jours.
'A plus long terme, si les différents éléments techniques étaient amenés à s'aligner et à occulter tout effet négatif, comme l'excès de volatilité, l'indice parisien pourrait rapidement tutoyer le niveau symbolique des 5400 points', assure ainsi Kiplink Finance.
'Pour le moment, nous n'en sommes pas là', tempère le gestionnaire parisien.
Cette journée pourrait également être marquée par la poursuite du rallye haussier du pétrole, sur fond de tensions géopolitiques.
Après sa remontée des derniers jours, le baril américain WTI s'adjuge encore 0,3% pour culminer à 67 dollars, au plus haut depuis début décembre 2014.
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