Investing.com - Les options sur l'or ont subi une forte pression baissière pour la seconde journée consécutive ce mercredi, plongeant à leur niveau le plus bas des deux dernières semaines après que le procès-verbal de la dernière réunion de la Réserve Fédérale ait montré qu'elle n'était guère disposée à mettre en place une troisième série d'assouplissements.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 637.05 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 2.1%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 635.95 USD, leur pire cours depuis le 22 mars, avec une dégringolade de 2.25%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 627.75 USD, leur plancher du 22 mars, et de rencontrer de la résistance à 1 682.65, son plafond d'hier.
La journée d'hier les avait vus sombrer de 2% après que le procès-verbal de la réunion du comité fédéral des marchés ouverts de mars ait laissé entendre que la banque centrale américaine avat peu de chances de mettre en place davaantage de mesures destinées à stimuler l'économie américaine à court terme.
Seuls deux de ses membres ont en effet suggéré que des "assouplissements quantitatifs" pouraient s'avérer nécessaires en cas de perte de vitesse de l'économie.
Lors de la réunion de janvier, "plusieurs" d'entre eux avaient estimé qu'elle pourrait accumuler davantage de titres à long terme et "un certain nombre des membres" avait envisagé l'idée en cas de détérioration des perspectives économiques.
Il ne semble pas avoir été question de nouvelles injections de capitaux lors de celle-ci.
Lors de leur discussion concernant l'économie, ils ont estimé qu'elle était "légèrement plus forte", mais que cela n'était pas significatif.
Les places boursières, les matières premières et les monnaies liées à la croissance ont toutes dérapé après ces révélations, tandis que le dollar U.S. réalisait un pic, les observateurs estimant que la Réserve Fédérale avait peu de chances d'acquérir de nouveaux actifs.
Le métal précieux avait coulé de près de 5% au cours des trois jours ayant suivi la rencontre de mars, laquelle avait donné une évaluation optimiste de l'état de l'économie américaine, réduisant ainsi l'attente d'une troisième série d'apport de capitaux de sa part.
Les propos récemment tenus par Ben Bernanke, son président, ont toutefois contribué à raviver cette hypothèse.
Les yeux seront tournés en fin de semaine vers les chiffres de l'emploi non agricole aux Etats-Unis, qui devraient apporter un éclairage nouveau sur le force de l'économie du pays et ses éventuels besoins en soutien.
Il était à noter qu'au niveau technique, une clôture de semaine au-dessous de la moyenne fluctuante à 55 semaines, qui se situe aux abords de 1 642 USD, dénoterait un mouvement de diminution des cours.
Les futures sur l'argent pour mai se sont par ailleurs effondrés de 3.2% pour se retrouver à 32.19 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 1.2% pour piquer du nez à 3.872 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour juin se sont échangés à 1 637.05 USD de l'once en début de séance européenne, cédant 2.1%.
Ils avaient précédement touché le fond à 1 635.95 USD, leur pire cours depuis le 22 mars, avec une dégringolade de 2.25%.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à court terme à 1 627.75 USD, leur plancher du 22 mars, et de rencontrer de la résistance à 1 682.65, son plafond d'hier.
La journée d'hier les avait vus sombrer de 2% après que le procès-verbal de la réunion du comité fédéral des marchés ouverts de mars ait laissé entendre que la banque centrale américaine avat peu de chances de mettre en place davaantage de mesures destinées à stimuler l'économie américaine à court terme.
Seuls deux de ses membres ont en effet suggéré que des "assouplissements quantitatifs" pouraient s'avérer nécessaires en cas de perte de vitesse de l'économie.
Lors de la réunion de janvier, "plusieurs" d'entre eux avaient estimé qu'elle pourrait accumuler davantage de titres à long terme et "un certain nombre des membres" avait envisagé l'idée en cas de détérioration des perspectives économiques.
Il ne semble pas avoir été question de nouvelles injections de capitaux lors de celle-ci.
Lors de leur discussion concernant l'économie, ils ont estimé qu'elle était "légèrement plus forte", mais que cela n'était pas significatif.
Les places boursières, les matières premières et les monnaies liées à la croissance ont toutes dérapé après ces révélations, tandis que le dollar U.S. réalisait un pic, les observateurs estimant que la Réserve Fédérale avait peu de chances d'acquérir de nouveaux actifs.
Le métal précieux avait coulé de près de 5% au cours des trois jours ayant suivi la rencontre de mars, laquelle avait donné une évaluation optimiste de l'état de l'économie américaine, réduisant ainsi l'attente d'une troisième série d'apport de capitaux de sa part.
Les propos récemment tenus par Ben Bernanke, son président, ont toutefois contribué à raviver cette hypothèse.
Les yeux seront tournés en fin de semaine vers les chiffres de l'emploi non agricole aux Etats-Unis, qui devraient apporter un éclairage nouveau sur le force de l'économie du pays et ses éventuels besoins en soutien.
Il était à noter qu'au niveau technique, une clôture de semaine au-dessous de la moyenne fluctuante à 55 semaines, qui se situe aux abords de 1 642 USD, dénoterait un mouvement de diminution des cours.
Les futures sur l'argent pour mai se sont par ailleurs effondrés de 3.2% pour se retrouver à 32.19 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont dérapé de 1.2% pour piquer du nez à 3.872 USD la livre dans le même temps.