Investing.com - Les options sur l'or étaient à la fête pour la seconde session d'affilée ce mardi, s'élevant vers un pic des trois derniers jours de cotation, sur fond d'espoir que les décideurs de la zone euro agissent de manière à soutenir l'économie troublée de la région et fournissent une solution au problème du surendettement régional.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 82.53 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 2.85%.
Ils avaient auparavant culminé à 82.6 USD, leur cours le plus élevé depuis le 22 septembre, avec un bond de 2.93%.
Le moral des investisseurs avait repris des couleurs sur fond de rumeurs d'assouplissement de la politique monétaire de la Banque Centrale Européenne, après qu'un de ses hauts représentants ait avoué que la possibilité d'une baisse des taux ne pouvait être exclue.
Un des décideurs de la Banque Centrale Européenne a aussi déclaré hier que les 440 milliards du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen pourraient être utilisés comme garantie pour emprunter à cette dernière, soulageant les craintes liées au manque de liquidités.
Le bloc où la monnaie unique a cours a représenté, d'après les données de British Petroleum, près de 16% de la consommation d'or noir en 2010.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné des Etats-Unis afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer mercredi une augmentation de 2.2 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en engranger 1 million.
De timides achats d'opportunité ont également eu lieu, après que les cours aient plongé hier sous les 77.11 USD du baril, leur valeur la plus basse en sept semaines.
La banque d'affaires britannique Barclays a pour sa part affirmé lundi: "Beaucoup des évolutions actuelles subies par les prix sont dûes à l'ambiance frileuse de l'économie qui met aussi à mal toutes les autres matières premières, créant un effet de cascade impliquant des seuils techniques, des chutes précipitées et une absence de considération des facteurs économiques fondamentaux."
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont engrangé 1.66% pour grimper à 105.67 USD du baril dans le même temps, soit 23.14 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour novembre se sont échangés à 82.53 USD le baril en première partie de séance européenne, gagnant 2.85%.
Ils avaient auparavant culminé à 82.6 USD, leur cours le plus élevé depuis le 22 septembre, avec un bond de 2.93%.
Le moral des investisseurs avait repris des couleurs sur fond de rumeurs d'assouplissement de la politique monétaire de la Banque Centrale Européenne, après qu'un de ses hauts représentants ait avoué que la possibilité d'une baisse des taux ne pouvait être exclue.
Un des décideurs de la Banque Centrale Européenne a aussi déclaré hier que les 440 milliards du Mécanisme de Stabilisation Financière Européen pourraient être utilisés comme garantie pour emprunter à cette dernière, soulageant les craintes liées au manque de liquidités.
Le bloc où la monnaie unique a cours a représenté, d'après les données de British Petroleum, près de 16% de la consommation d'or noir en 2010.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné des Etats-Unis afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer mercredi une augmentation de 2.2 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée, tandis que ceux d'essence devraient en engranger 1 million.
De timides achats d'opportunité ont également eu lieu, après que les cours aient plongé hier sous les 77.11 USD du baril, leur valeur la plus basse en sept semaines.
La banque d'affaires britannique Barclays a pour sa part affirmé lundi: "Beaucoup des évolutions actuelles subies par les prix sont dûes à l'ambiance frileuse de l'économie qui met aussi à mal toutes les autres matières premières, créant un effet de cascade impliquant des seuils techniques, des chutes précipitées et une absence de considération des facteurs économiques fondamentaux."
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour novembre ont engrangé 1.66% pour grimper à 105.67 USD du baril dans le même temps, soit 23.14 USD de mieux que leurs homologues américaines.