Rien à faire : pour le Brent, la barre des 50 dollars reste hors de portée en cette fin de semaine. Ce midi en Europe, le baril de Brent de mer du Nord livrable en septembre grappillait 0,8% à 46,8 dollars, le WTI américain d'échéance août prenant 0,9% à 45,6 dollars.
Certaines des dernières nouvelles fondamentales sont plutôt positives pour les cours. L'Agence internationale de l'Energie (AIE) a ainsi calculé qu'en 2015 et en 2016, les compagnies pétrolières auront réduit leurs investissements de 300 milliards de dollars, soit - 42%. Une première en 30 ans !
Les exploitants de pétrole de schiste nord-américains qui ont assumé à eux seuls environ la moitié de la chute des dépenses. Si les prix restent à leur niveau actuel, l'AIE s'attend toutefois à un rebond des investissements en 2017, commente-t-on chez Aurel BGC.
Autre problème : l'AIE rappelle aussi que le cartel de l'Opep, avec entre 31 et 32 millions de barils de brut extraits chaque jour, n'avait jamais autant produit depuis... 1975.
Dans ce contexte, le recul conforme aux attentes des stocks pétroliers américains la semaine passée (- 2,2 millions de barils) est passé inaperçu.
A noter : l'Energy Information Agency (EIA) a également fait état d'une nette baisse des extractions pétrolières américaines hebdomadaires en date du 7 juillet : elles sont passées en huit jours de 8,622 à 8,428 millions de barils/jour, a indiqué l'agence fédérale. Soit son plus bas niveau depuis la deuxième semaine de mai 2014.
Pour mémoire, les Etats-Unis extrayaient 9,2 millions de barils/jour en début d'année.
EG
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Certaines des dernières nouvelles fondamentales sont plutôt positives pour les cours. L'Agence internationale de l'Energie (AIE) a ainsi calculé qu'en 2015 et en 2016, les compagnies pétrolières auront réduit leurs investissements de 300 milliards de dollars, soit - 42%. Une première en 30 ans !
Les exploitants de pétrole de schiste nord-américains qui ont assumé à eux seuls environ la moitié de la chute des dépenses. Si les prix restent à leur niveau actuel, l'AIE s'attend toutefois à un rebond des investissements en 2017, commente-t-on chez Aurel BGC.
Autre problème : l'AIE rappelle aussi que le cartel de l'Opep, avec entre 31 et 32 millions de barils de brut extraits chaque jour, n'avait jamais autant produit depuis... 1975.
Dans ce contexte, le recul conforme aux attentes des stocks pétroliers américains la semaine passée (- 2,2 millions de barils) est passé inaperçu.
A noter : l'Energy Information Agency (EIA) a également fait état d'une nette baisse des extractions pétrolières américaines hebdomadaires en date du 7 juillet : elles sont passées en huit jours de 8,622 à 8,428 millions de barils/jour, a indiqué l'agence fédérale. Soit son plus bas niveau depuis la deuxième semaine de mai 2014.
Pour mémoire, les Etats-Unis extrayaient 9,2 millions de barils/jour en début d'année.
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