Investing.com - Les bourses européennes arboraient toujours un sourire ce jeudi après-midi, encouragées par des performances économiques positives de la part du bloc euro et de la Chine, ainsi que par l'espoir d'un accord imminent au sujet de la Grèce.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.51%, le CAC 40 français de 0.33%, et le DAX 30 allemand de 0.84%.
Il a en effet été annoncé que l'indice de l'activité manufacturière allemande avait redressé la tête depuis 46 vers 46.8 pour novembre, au lieu des 45.9 redoutés.
Les industries du bloc euro n'étaient pas en reste, s'élevant de 45.4 vers 46.2, contre 45.6 envisagés.
Mais ses services se rétractaient depuis 46 jusqu'à 45.7 sur la même période, alors qu'un frémissement à 46.1 était attendu.
Il avait auparavant été révélé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre, rassurant ainsi ceux qui craignaient une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
L'ambiance avait été ragaillardie après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré de son côté qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
Leurs pourparlers d'hier avec le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtés à une impasse, privant ainsi Athènes de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
La finance gardait la pèche, la France voyant BNP Paribas et la Société Générale empocher respectivement 0.65 et 0.11%, surpassées par les Deutsche Bank et Commerzbank allemandes avec 1.34 et 3.49%.
La périphérie était également de la fête, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant 0.88 et 1.21%, les espagnols BBVA et Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0.71 et 0.7%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.57%, tiré vers le haut par des extracteurs de matières premières à l'honneur.
Le cuivrier Xstrata a émergé de 2.48%, son rival Kazakhmys n'étant pas loin avec 2.11%, Vedanta Resources et le sidérurgiste Evraz non plus avec 1.99 et 4.37%
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.93 et 0.92%, alors qu'Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, bondissait de 1.64% alors que son collègue BP se contentait de 0.39%.
La City resserrait les rangs, Lloyds Banking arrachant finalement 0.22%, HSBC Holdings grignotant 0.48%, Barclays 0.55% et la Royal Bank of Scotland 0.9%.
SABMiller s'envolait par contre de 6.95% après avoir revendiqué 17% de rentrées supplémentaires, pour un total de 3.17 milliards d'USD, dépassant ainsi les estimations des analystes.
Il ne fallait pas non plus négliger EasyJet, seconde compagnie aérienne à prix cassés du continent, s'élevant de 1.32% après que Barclays ait cessé de l'estimer décevante, constatant que la compagnie avait à la fois "augmenté ses recettes et diminué ses coûts hors carburant".
Le volume des transactions d'aujourd'hui devrait toutefois être limité, les places américaines demeurant closes en raison de la fête de Thanksgiving.
L'Espagne a pour sa part émis pour 3.38 milliards de bons du trésor à trois et cinq ans, à des taux en baisse, soulageant iansi la pression la poussant à recourir à la main tendue par ses partenaires.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 progressait de 0.51%, le CAC 40 français de 0.33%, et le DAX 30 allemand de 0.84%.
Il a en effet été annoncé que l'indice de l'activité manufacturière allemande avait redressé la tête depuis 46 vers 46.8 pour novembre, au lieu des 45.9 redoutés.
Les industries du bloc euro n'étaient pas en reste, s'élevant de 45.4 vers 46.2, contre 45.6 envisagés.
Mais ses services se rétractaient depuis 46 jusqu'à 45.7 sur la même période, alors qu'un frémissement à 46.1 était attendu.
Il avait auparavant été révélé que l'indice des directeurs des achats manufacturiers de la Chine établi par HSBC s'était hissé de 49.5 définitifs vers 50.4 pour novembre, rassurant ainsi ceux qui craignaient une perte de vitesse de la seconde économie mondiale.
L'ambiance avait été ragaillardie après que la chancelière allemande Angela Merkel ait déclaré de son côté qu'un accord de déblocage de la tranche d'aides que la Grèce attend depuis un certain temps pourrait toujours être trouvé une fois que les membres de l'Eurogroupe reprendraient les négociations lundi.
Leurs pourparlers d'hier avec le Fonds Monétaire International se sont en effet heurtés à une impasse, privant ainsi Athènes de sa bouée de sauvetage, en raison des désaccords concernant la meilleure façon de réduire le fardeau de sa dette à un niveau gérable.
La finance gardait la pèche, la France voyant BNP Paribas et la Société Générale empocher respectivement 0.65 et 0.11%, surpassées par les Deutsche Bank et Commerzbank allemandes avec 1.34 et 3.49%.
La périphérie était également de la fête, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant 0.88 et 1.21%, les espagnols BBVA et Banco Santander leur emboîtant le pas avec 0.71 et 0.7%.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a conquis 0.57%, tiré vers le haut par des extracteurs de matières premières à l'honneur.
Le cuivrier Xstrata a émergé de 2.48%, son rival Kazakhmys n'étant pas loin avec 2.11%, Vedanta Resources et le sidérurgiste Evraz non plus avec 1.99 et 4.37%
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas en reste avec 0.93 et 0.92%, alors qu'Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, bondissait de 1.64% alors que son collègue BP se contentait de 0.39%.
La City resserrait les rangs, Lloyds Banking arrachant finalement 0.22%, HSBC Holdings grignotant 0.48%, Barclays 0.55% et la Royal Bank of Scotland 0.9%.
SABMiller s'envolait par contre de 6.95% après avoir revendiqué 17% de rentrées supplémentaires, pour un total de 3.17 milliards d'USD, dépassant ainsi les estimations des analystes.
Il ne fallait pas non plus négliger EasyJet, seconde compagnie aérienne à prix cassés du continent, s'élevant de 1.32% après que Barclays ait cessé de l'estimer décevante, constatant que la compagnie avait à la fois "augmenté ses recettes et diminué ses coûts hors carburant".
Le volume des transactions d'aujourd'hui devrait toutefois être limité, les places américaines demeurant closes en raison de la fête de Thanksgiving.
L'Espagne a pour sa part émis pour 3.38 milliards de bons du trésor à trois et cinq ans, à des taux en baisse, soulageant iansi la pression la poussant à recourir à la main tendue par ses partenaires.